*.suite de l'histoire de France, en feuilleton... avant d'entamer la partie des grandes invasions... le temps de terminer ce livre de Brékilien... bien que côté "dates", c'est vraiment le grand écart entre la période Versingétorix et Louis le Débonnaire... alors tant pis, je continue le livre malgré tout ...
de Yann Brékilien
L'histoire se passe sous le règne de Louis le Débonnaire...
Awenn, 7 ans, fils du noble ruiné Rigwalt, et son ami Gurgos, fils d'un paysan aisé, découvre la liaison entre le père de l'un et la mère de l'autre...
en ce temps là, l'adultère était péché mortel... pour pénitence, Rigwalt décide d'entreprendre un long pèlerinage vers Rome...et décide de vouer son fils à D-ieu...
Pour ne pas quitter son ami, Gurgos demande à sa mère de le laisser devenir moine avec Awenn...
Les deux enfants sont donc confié au monastère de Loc-menec'h.
7 ans plus tard, Awenn ayant réussit ses examens, sachant lire et écrire, et placé au scriptorum. Là, il découvert des livres portant le même cachet que celui de sa bague (remise à lui par sa grand-mère agonisante)...
Il découvre par la même occasion, que la Bretagne a été libre, et avait un roi... Morvan.
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article 1
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en savoir plus :
Louis Ier dit le Pieux ou « le Débonnaire » est né en 778 et mort le 20 juin 840 sur une île du Rhin à Ingelheim-Am-Rhein près de Mayence en Allemagne1. Il a été inhumé auprès de sa mère en l'abbaye Saint-Arnould de Metz2.
Il est né en été 778, en l'absence de son père Charlemagne, qui entreprend alors une expédition militaire vers l'Espagne. Sa mère, Hildegarde de Vintzgau, le met au monde à la villa Cassinogilum, Chasseneuil-du-Poitou3, dans l'actuel département de la Vienne. Son frère jumeau, Lothaire, meurt peu après.
Louis le Pieux est roi d'Aquitaine (781-814) et empereur d'Occident (814-840). Son règne est marqué par de nombreuses menaces sur l'unité de l'Empire carolingienlégué par son père Charlemagne : ses fils se révoltent contre lui, et il doit faire face aux raids des Vikings. Durant cette période, les ambitions des aristocrates s'affirment de plus en plus, menaçant le pouvoir impérial.
Morvan, ou Murman, (750 ? - 822 ?), peut être considéré comme le premier roi d'une Bretagne unifiée. Le surnom Lez-Breizh (littéralement hanche, soutien de la Bretagne) donné à Morvan ne date que du début du xixe siècle1.
Originaire des environs de Priziac (Morbihan), il régna sur le Vannetais, la Domnonée et le Léon. Son château aujourd'hui disparu se trouvait probablement sur la colline de Minez Morvan dans la contrée de Le Faouët-Langonnet. Cette zone des landes de Lanvaux est d'ailleurs connu de nos jours sous l'appellation touristique de Pays du Roi Morvan.
Son terroir fut le théâtre d’une bataille sanglante lors de laquelle Morvan résista victorieusement aux armées franques de Louis le Débonnaire. Ses exploits sont relatés dans le Barzaz Breiz2, mais nous connaissons également le témoignage du chroniqueur franc Ermold Le Noir.
En effet, aux alentours de 800, deux zones divisent la Bretagne : la zone bretonne (la Domnonée, le Léon, la Cornouaille, le Broërec) contre la zone gallo-franque oumarches de Bretagne (Rennes, Nantes). Pour renforcer leurs positions, les rois carolingiens tendaient à multiplier le peuplement franc de la Bretagne et à guerroyer contre les comtés bretons en perpétuelle révolte contre le tribut qu'on voulait leur imposer. La puissante autorité carolingienne dut faire campagne en 786, 799, 811... Les chefs bretons régulièrement battus furent incapables de s'unir devant l'ennemi commun jusqu'au jour où ils s'entendirent pour reconnaître comme chef Morvan obligeant Louis à intervenir.
Après la défaite, Louis le Débonnaire organisa en personne la réplique et poursuivit Morvan jusqu'en Langonnet. Le premier roi breton fut tué en 818 dans un lieu non identifié à ce jour mis probablement quelque part entre Priziac et Carhaix1.
règle de saint colomban
Rédigée entre 591 et 610 à l'intention des monastères continentaux d'Annegray, Luxeuil et Fontaines que le roi mérovingien Gontran lui avait demandé de réformer ; elle insiste sur les vertus des moines. Cette règle est d’abord en vigueur à l’abbaye de Luxeuil, la première fondée par saint Colomban (594), puis à celles de Lure et de Fontaine-lès-Luxeuil. Lorsque Colomban doit quitter Luxeuil, il s’établit à Eustaise, puis fonde les monastères de Bobbio et 18 autres : Jouarre, abbaye de Remiremont. La règle connaît un certain succès, et près de 90 monastères l’adoptent : soit fondations des disciples de Colomban (comme Attala, Gall etColomban le Jeune), soit imitation1. Elle est de même utilisée par des monastères féminins ou doubles.
Mais, extrêmement sévère, parfois imprécise1, elle est modifiée ou abandonnée : dès 628, la règle de saint Benoît est associée à celle de saint Colomban dans les monastères qui en relèvent. En 745, le concile des Francs, dirigé par saint Boniface de Mayence, préconise l’adoption de la règle bénédictine pour tous les monastères du royaume. La règle n’est jamais utilisée dans les îles Britanniques.
Cependant, lors de sa réforme au ixe siècle, saint Benoît d'Aniane reprend quelques articles de la règle de saint Colomban qu’il incorpore à la règle de saint Benoît.
Le concile de Chalon est réuni pour statuer sur la question du calcul de la date de Pâques qui est fixée différemment par l’Église romaine et les Irlandais. L'Église franque suit le canon ou cycle pascal déterminé pour 532 ans, à partir de la 28e année de l'ère, en 457 ou 462 par Victorin d'Aquitaine, qui utilise le calendrier julien. Il a été adopté par le concile d'Orléans de 541. Le calendrier irlandais est calculé à partir du comput de saint Anatole évêque de Laodicée qui vivait en Syrie au iiie siècle (vers 276). Colomban s'oppose aux évêques mérovingiens, ne cède pas, en appelle au pape, Grégoire Ier.
suivi de lecture...
bibliographie :
Peur sur Lutèce de Patrick Demory
Lutèce, capitale des Gaules, janvier 358 de l'ère chrétienne. Victorieuses des envahisseurs alamans, les légions du César Julien passent un hiver de repos sur les bords de la Seine. Le César lui-même a été rejoint par son épouse, Hélène, qui porte en son sein un enfant, peut-être un futur empereur. Mais même au plus froid de l'hiver, peut-on jamais trouver la paix ? Dans les faubourgs de la cité des Parisii, des jeunes femmes agonisent dans d'atroces souffrances, victimes d'une maladie étrange. Sortilège ou empoisonnement ? Magie noire ou complot ? Comme celle du César, toutes ces femmes étaient enceintes... Après le Feu de Mithra, le centurion Marcus Pius et ses hommes enquêtent à nouveau dans la Lutèce antique.
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