Proies de Mo Hayder
537 pages
- Editeur : Pocket (9 juin 2011)
- Novembre dans le Somerset. Alors qu'elle déposait ses courses dans le coffre de sa voiture, une femme est jetée au sol par un individu affublé d'un masque de père Noël qui prend la fuite à bord du véhicule.
- Selon la police, pour qui il ne s'agit que d'un banal fait divers, l'agresseur ne s'est sans doute pas rendu compte de la présence d'une fillette sur la banquette arrière. Mais, tandis que l'enfant reste introuvable et qu'une deuxième petite fille disparaît dans les mêmes circonstances, le scénario s'assombrit. Le ravisseur ne tarde d'ailleurs pas à se mettre en contact avec la police…
Dans cette nouvelle enquête du commissaire Jack Caffery et du sergent Flea Marley, Mo Hayder prend un malin plaisir à manipuler son lecteur en jouant avec ses peurs les plus primaires.
suite de Rituel et Skin. On découvre très très vite le coupable. Encore une histoire de violence sur des enfants... mais qui finit relativement bien. Jeu du chat et de la souris entre Jack Caffery et Flea Marley et toujours l'énigmatique "marcheur"...
se laisse lire, sans plus - Pourquoi lire ce genre de livre, si prévisible lorsque l'on est pas fan ??? j'ai le même problème avec Grangé. Parfois je me demande si ce n'est pas du voyeurisme.
Dans cette série, le seul personnage qui m'intéresse un peu est "le marcheur", et je reste sur ma faim. Je me demande si un jour nous aurons l'histoire complète de cet homme.
A part totalybrune, dont l'avis n'est pas plus positif que le mien... je n'ai vu que de bonnes critiques pour ce livre. Donc, avant de rejeter ce livre, lire ce que les autres blogeurs en disent...
Enfant terrible, elle quitte brutalement sa famille à l’âge de 16 ans pour enchaîner les petits boulots dans la capitale. À 26 ans, après dix années de vie mouvementée sur fond de « sexe, drogue et rock’n’roll », elle décide, un aller simple en poche, de s’envoler pour l’empire du Soleil-Levant. Une fois arrivée à Tokyo, c’est la désillusion. Mo Hayder mène une existence austère, vit dans une seule pièce et n’en sort que pour aller travailler. Elle y exerce les métiers de barmaid, éducatrice et enfin professeur d’anglais. Attirée par le cinéma d’animation, elle quitte à 28 ans le Japon pour les États-Unis afin d’y suivre des études de cinéma. Le caractère violent de ses réalisations lui interdisant tout espoir de large diffusion, Mo Hayder décide de retourner en Angleterre. Elle y occupera un poste dans la sécurité comme « garde du corps » puis se consacrera entièrement à l’écriture. Elle vit désormais avec sa fille et son compagnon.
Marquée à vie par les expériences traumatisantes dont ont été victimes plusieurs de ses proches, elle reconnaît volontiers sa fascination pour le morbide et la cruauté qui hantent ses livres. Birdman (Presses de la Cité, 2000), son premier roman, est devenu en très peu de temps un best-seller et s’est vendu à 130 000 exemplaires en Grande-Bretagne. Avec Tokyo, Mo Hayder confirme son statut unanimement reconnu d’étoile montante du roman noir. Elle a reçu pour ce roman le Grand Prix des lectrices de Elle 2006 catégorie Policier.
Plusieurs de ses romans (Birdman, L'Homme du soir, Rituel, Skin et Proies) mettent en scène l'inspecteur Jack Caffery, de la brigade criminelle du sud de Londres et Phoebe Marley, surnommée Flea, plongeuse pour la police de Bristol.-wikipédia
site de l'auteurhttp://www.mohayder.net/
ils en parlent...
http://totalybrune.canalblog.com/archives/2011/09/03/21932057.html : J'aime bien cette auteur cependant tous ces romans n'ont pas la qualité de Tokyo que j'avais adoré.
4 commentaires:
Je suis encore traumatisée par la lecture de Tokyo, alors je vais attendre un peu pour lire autre chose de Mo Hayder, mais quand j'aurai de nouveau envie, je crois que je lirai cette trilogie :)
On devine rapidement le coupable ? Bof...
bonjour Alex,
Dès le début de l'enquête !!!
bises
bonjour Estelle,
franchement, pas la meilleure ! "Skin" était vraiment barbant.
En fait, si je les lis c'est simplement parce que mon homme aime et donc achète... mais je vais probablement faire l'impasse sur cet auteur. Trop de violence gratuite,
bises
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