Le beau et fougueux chevalier allemand, Lanz von Malberg, ne rêve que d'une chose : intégrer l'ordre militaire et religieux des chevaliers teutoniques. Au cours de l'été 1338, il quitte Mayence et prend le premier navire en partance pour l'Estonie.
Là, de terribles épreuves l'attendent, mais Lanz n'en aimera pas moins ce pays farouche dont ni l'évangélisation ni la force des armes n'ont su réprimer l'âme irréductiblement païenne. Aux prises avec les sortilèges qui émanent de ces contrées mystérieuses, le jeune homme se verra rapidement confronter aux survivances d'un autre âge.
Sous l'égide de la belle et sensuelle Yrmeline, commencera alors pour lui un éprouvant parcours initiatique dont il ne sortira pas indemne, tant l'amour qu'il conçoit pour elle le dévore. D'où Yrmeline tient-elle ses effrayants pouvoirs ? Quelle étrange et dangereuse société secrète a réussi à infiltrer les rangs de l'ordre teutonique ?
En tentant de démystifier le redoutable chef du Temple Noir, Lanz découvrira les vestiges d'une incroyable civilisation disparue et l'étonnant message que véhiculent les tablettes d'argile de l'antique Mésopotamie.
Sans le savoir, le héros de cette aventure hors du commun pourrait bien déchaîner les forces incommensurables de notre très lointain passé. Mais, heureusement, le vaillant seigneur pourra compter sur l'aide de Petras, un astucieux petit garçon et celle d'un vieil érudit breton dont les connaissances sont pour le moins surprenantes, elles aussi !
Au fil de ses tribulations, Lanz finira par découvrir le plus extraordinaire secret de tous les temps... Original et remarquablement documenté, ce premier tome d'une force rare saura tenir le lecteur en haleine jusqu'à la fin.
lecture commencée le 12 juillet 2011...
pour l'instant pas grand chose à en dire, on débute en France avec Bernard de Clairvaux et les Templiers... et un grand secret caché... puis l'histoire se déplace en Estonie avec les chevaliers teutoniques...
Donc une histoire où le merveilleux se mêle aux cavalcades et à l'amour d'une belle...
mais... pas seulement, l'auteur nous offre un vocabulaire que je n'ai que rarement rencontré... vaste culture et il me semble des recherches sérieuses et passionnantes. Alors, j'avoue que pour un début de lecture, j'apprécie vraiment son style.
pour la suite il vous faudra attendre un peu ou lire le livre... 13/07/11
Retour après réparation de l'ordinateur...et bien, terminé ce livre... et sous le charme !
j'ai vraiment crains au début d'avoir à faire à un livre très romantique sur fond historique comme il y en a tant ... et toujours aussi décevant. Et bien non ! pas du tout.
Surtout que Bleuette Diot nous fait découvrir tout un monde en puisant à l'origine des dieux. C'est bien fait, bien documenté, érudit et passionnant. Il me tarde de lire le tome 2 pour retrouver Ishtar et son combat contre les forces du mal.
ce qui ne m'a pas plu : l'index en fin de livre... mais pourquoi diable les éditeurs ne mettent-ils pas ça en bas de page pour faciliter la lecture !
Bleuette Diot réside actuellement dans le midi de la France. Toutefois, elle revendique haut et fort ses origines celtes et son attachement ci la Bretagne. Elle a enseigné le dessin et la peinture avant de se reconvertir exclusivement à l'écriture. Passionnée de littérature, d'histoire et d'ufologie, elle nous livre au travers de son premier roman une hypothèse confondante quant à nos origines sur terre. Afin de bâtir la trame mystique de son oeuvre, elle s'est librement inspirée des travaux du professeur Zecharia Sitchin, développés dans son livre "La douzième planète".
lecteurs
bibliographie, pour ceux qui sont intéressés par le sujet des templiers
challenges

.impossible d'ouvrir le lien...
L’ordre de la Maison de Sainte-Marie-des-Teutoniques (Ordo Domus Sanctæ Mariæ Teutonicorum), plus connu sous le nom d’ordre des Chevaliers teutoniques(Deutscher Ritterorden ou Deutschritter-Orden en allemand), d’ordre Teutonique ou de maison des chevaliers de l'hôpital de Sainte-Marie-des-Teutoniques à Jérusalem (Haus der Ritter des Hospitals Sankt Marien der Deutschen zu Jerusalem, en allemand), est un ordre militaire chrétien issu du Moyen Âge.
Les armes de l’ordre sont constituées d'une croix de sable, chargée d’une croix potencée au champ d’argent. Saint Louis permit d’y adjoindre quatre fleurs de lys d’or.À l’origine simple communauté religieuse charitable venant en aide aux pèlerins chrétiens malades auprès de cet hôpital, il est réorganisé en
ordre militaire vers
1192 et obtient la reconnaissance officielle du pape
Innocent III en
1198. Il est composé pour l’essentiel de chevaliers allemands ou
teutons.
http://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=14100715
chevaliers teutoniques dans le château en brique rouge de Malbork en Pologne.
(blog.photos-libres.fr)
Bernard de Fontaine, abbé de Clairvaux (1090 ou 1091, château de Fontaine-lès-Dijon, Dijon – † 20 août 1153, abbaye de Clairvaux) est un moine et réformateurfrançais. Directeur de conscience de l'ordre cistercien, il recherche par amour du Christ la mortification la plus dure. Bernard fait preuve, toute sa vie durant, d'une activité inlassable pour instruire ses moines de Clairvaux, pour émouvoir et entraîner les foules, pour allier son ordre avec la papauté et pour élaborer une idéologie militante que son ordre et toute l'église catholique romaine mettront en oeuvre1.
C'est aussi un conservateur, qui se positionne en réaction contre les mutations de son époque (la « renaissance du xiie siècle »), marquée par une profonde transformation de l'économie, de la société et du pouvoir politique. Il joue un rôle déterminant dans la transposition de la croisade en « guerre sainte » contre les cathares. Il est canonisé par l'Église catholique romaine en 1174 et devient ainsi saint Bernard de Clairvaux.
L'Estonie est un des trois pays baltes mais la langue utilisée se rattache à une branche complète distincte de celles parlées en Lituanie et en Lettonie : l'estonien est une langue fennique, comme celles parlées en Finlande ou en Carélie (Russie), les langues fenniques font partie de la famille finno-ougrienne qui inclut les langues sames(Laponie linguistique).
De tout temps, l'Estonie s'est trouvée dans la sphère de culture européenne. Tallinn (Reval à l'époque) était, au Moyen Âge, la ville la plus orientale de la ligue hanséatique. Forte des diverses cultures qui se sont côtoyées et succédé du fait des occupations successives, l'Estonie s'est forgé une culture particulière faite de tolérance et de respect envers l'étranger, quels que soient son pays ou sa culture. L'Estonie compte de nombreuses minorités : les Russes représentent 25,7 % de la population. Viennent ensuite les Ukrainiens : 2,1 % de la population; 1,2 % de la population est biélorusse et 0,8 % finnoise... L'importance de la population russophone vient naturellement de l'occupation soviétique et de l'industrialisation forcenée dont l'Estonie avait fait l'objet à l'époque.

La religion sumérienne a influencé l'ensemble de la Mésopotamie pendant près de trois mille ans, ainsi que les onze premiers chapitres de la Bible3. Elle est une composante très importante de la vie, privée comme publique, des Sumériens et donne naissance à des représentations artistiques comme à des œuvres littéraires. Dans la conception sumérienne, le souverain n'est que le dépositaire de la divinité : sa fonction est sacerdotale aussi bien que politique.La religion sumérienne est caractérisée par son
polythéisme et son
syncrétisme. Son panthéon compte une grande variété de dieux, structurée en une hiérarchie stricte, calquée sur la société humaine.

Au sommet se trouve la triade cosmique constituée de :
- An (« dieu-ciel »), maître du ciel, roi des dieux, et sa parèdre Antum ;
- An (en sumérien), Anu (en akkadien), était considéré dans la mythologie mésopotamienne comme le dieu du ciel, de la végétation ainsi que de la pluie ; il était le père de tous les dieux. Il habitait un royaume dans les cieux ; on disait de lui qu'il avait le pouvoir de juger tous les criminels. Il était notamment le père d'Enlil et d'Enki.
Bien qu'initialement considéré comme le seigneur des dieux, il fut progressivement supplanté par
Enlil puis
Marduk, jusqu'à être relégué à un simple rôle de
métaphore pour désigner les cieux. On attribue souvent cette chute au déclin de la ville d'
Uruk, le lieu de son culte principal. Très rarement représenté dans l'art, ses attributs restent obscurs ; la
tiare pourrait le représenter de manière symbolique.
Enlil (« seigneur-air »), maître de la terre, démiurge, dieu protecteur de Nippur, et sa parèdre Ninlil ;
Enki (« seigneur-terre » ?), Ea pour les Sémites, maître des eaux douces, dont la ville sainte est Eridu.
Sous cette triade se trouvent les divinités astrales comme le dieu-lune
Nanna (
Sîn en
akkadien) et le dieu-soleil
Utu (
Shamash en akkadien) ; puis les dieux infernaux et les dieux guerriers ; puis les dieux de la nature et les dieux guérisseurs ; puis les dieux d'instruments (pioche, moule à briques, etc.) et enfin les esprits et autres démons.
Ce mythe sumérien est le plus fameux récit mettant en scène Inanna.Inanna, souveraine du « Grand Royaume d’En Haut », décide de descendre aux enfers pour supplanter sa sœur aînée
Ereshkigal, souveraine du Monde Inférieur. Elle entre dans le palais d’
Ereshkigal, traverse les Sept Portes et arrive nue, dénuée de tout pouvoir, devant sa sœur et les Sept Juges des Enfers (
Anunnaki), qui la tuent. Les dieux sont informés, mais la récusent pour son acte.
Enki façonne et envoie cependant deux messagers asexués en enfer, qui raniment Inanna avec le « breuvage de vie » et la « nourriture de vie ».
Obéissant à la loi selon laquelle quiconque pénètre en Enfer ne peut revenir sur Terre, les Anunnaki ne la laissent pas partir. Inanna doit fournir un remplaçant. Elle revient sur terre accompagnée de démons et cherche un remplaçant.
Après diverses recherches, elle trouve Dumuzi confortablement installé sur le trône de la cité et le désigne, par colère. Explication bien « humaine » qui cache un mystère de la mort rituelle du roi pour assurer la fertilité universelle.
Dans la version akkadienne, Ishtar et Tammuz sont les personnages du mythe. Il y semble qu'Ishtar aille en enfer, après la mort de Tammuz, pour ramener celui-ci. L’absence d’Ishtar stoppe toute reproduction, ce qui panique les dieux et les poussent à la libérer.
pour en savoir plus : http://fr.wikipedia.org/wiki/Personnages_de_la_mythologie_m%C3%A9sopotamienne