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samedi 5 mars 2011

menus propos et souvenirs de lecture en suivant l'éphéméride...

Bonjour tout le monde,
Juste un coup d'oeil sur les souvenirs de lecture, je manque de temps... mais pour la bonne cause, du monde attendu pour le repas de ce midi...
naissances

C'est un étrange ensemble que cet " empire " constitué en quelques années par le comte d'Anjou Geoffroy Plantagenêt et son fils Henri II. Il est le fruit de conquêtes, mais aussi d'une habile diplomatie, de mariages avantageux et d'une bonne part de chance. On y voit sous le même pouvoir l'Aquitaine, la Normandie, l'Angleterre, l'Irlande et parfois l'Écosse. À l'occasion, le regard des Plantagenêts se porte sur le Languedoc, sur l'Empire germanique, sur la Méditerranée. Cela ne forme pas un État. Souverain en Angleterre, le Plantagenêt est vassal sur le continent. Un conflit de trois siècles avec le Capétien résulte de cette inadaptation des structures féodales aux réalités politiques. L'unité de gouvernement ne tient qu'à la personne du roi-duc. Les hommes, les langues, les cultures reflète des identités différentes, que ne traduisent pas moins les institutions du monde laïque et les attitudes de l'Église. Et si la mer est une route, elle est aussi un obstacle au milieu de l'empire. De hautes figures traversent cette histoire : Aliénor d'Aquitaine, Richard Coeur de Lion, le Prince Noir, Thomas Becket ou Simon de Montfort. Mais il est aussi des troubadours, des romanciers et des historiens. Et l'on voit ici des citadins qui deviennent des bourgeois et là des moines qui se font éleveurs de moutons. Quand s'achève le temps des Plantagenêts, il ne reste de l'empire continental qu'une Guyenne si loin de l'Angleterre. C'est alors que le conflit avec la France prend d'autres proportions, avec d'autres enjeux et une couleur désormais nationale. Mais à mesure que disparaît un empire, un autre naît, un empire économique aux dimensions de l'Europe. Cette histoire est aussi celle des routes et des marchés du sel et du vin, de la laine et des draperies, des esterlins...

Afficher l'image en taille réelleDétails sur le produitAliénor d'Aquitaine de Régine Pernoud 
La chronique scandaleuse s'est emparée très tôt du personnage d'Aliénor d'Aquitaine. Les Français lui auraient-ils gardé rancune d'avoir abandonné la couronne de France pour celle d'Angleterre. Cette réputation fâcheuse masque pourtant une personnalité hors pair. Admirablement attentive à son temps, toujours prête à faire face aux situations de crise, elle se montra capable d'organiser la défense d'une forteresse, d'administrer non seulement son duché, mais tout un royaume, et de prévoir l'importance qu'allait prendre, au xiiie siècle, la bourgeoisie des villes.
de Philippe Delorme 
Afficher l'image en taille réelleDétails sur le produitAliénor d'Aquitaine de Jean Markale 

1871 : Rosa Luxembourg, communiste polonaise († 15 janvier 1919).
de Alain Guillerm
En ces temps où le marxisme s'est effondré sous les crimes de Staline, Mao et autres, Rosa Luxemburg est la seule personnalité qui laisse vivante l'idée d'une révolution antitotalitaire et autogestionnaire. Née en 1871, dans une Pologne annexée par la Russie des tsars, cette révolutionnaire, femme, juive et Polonaise, refusa de se cantonner à cette triple condition pour choisir sa vie, ses hommes, son métier. Après des études à Varsovie et un séjour en Suisse, elle s'installe à Berlin, en 1898, et débute une carrière au sein du SPD, la social-démocratie allemande, la plus puissante et supposée la plus radicale d'Europe. Internationaliste, parlant couramment plusieurs langues, elle vivra deux ans à Paris, où elle publie un journal en polonais, La Cause ouvrière. La Première Guerre mondiale et le vote des crédits militaires par le SPD allaient constituer pour elle un tournant décisif : seule, aux côtés du député Karl Liebknecht, elle s'oppose à cette décision et fonde, avec quelques dissidents, le mouvement spartakiste. Emprisonnée à de nombreuses reprises pour ses déclarations pacifistes, elle n'en continue pas moins de défendre ses idées, sous le pseudonyme de Junius. Dans une brochure écrite en 1918, elle salue la Révolution d'Octobre mais en dénonce déjà les excès, notamment la terreur exercée par le régime bolchevik sur les opposants. Peu après sa libération, elle participe à la fondation du parti communiste allemand, le KPD (Ligue Spartakus). Mais elle est assassinée, le 15 janvier 1919 lors d'émeutes ouvrières, sur l'ordre des sociaux-démocrates majoritaires. Voici retracés le destin, les combats et les idées de celle qui écrivait : " La liberté de penser, c'est toujours la liberté de celui qui pense autrement ".

1910 : Paul Guth, écrivain français († 29 octobre 1997).

En 1953, Paul Guth publie Les Mémoires d'un Naïf, premier roman à succès d'une chronique qui comptera sept volumes. Il y raconte la vie de son personnage récurrent, le Naïf, professeur de français, qui sous une grande naïveté, cache une imagination fertile. Dans cette série , on retrouve Les Mémoires d'un Naïf (1953 - Prix Courteline), Le Naïf sous les drapeaux (1954), Le Naïf aux quarante enfants (1955), Le Naïf locataire (1956 - Grand prix du roman de l'Académie française ), Le mariage du Naïf (1965), Le Naïf amoureux(1968) et enfin Saint Naïf (1970). -http://www.jesuismort.com/biographie_celebrite_chercher/biographie-paul_guth-10651.php?&mettreEnCache=oui

1944 : Elisabeth Badinter, philosophe française.
Après L'Amour en plus, histoire de l'amour maternel, Elisabeth Badinter aborde le problème de l'ambition féminine à travers le destin de deux grandes dames du XVIIIe siècle. Madame du Châtelet, qui fut la compagne de Voltaire, traduisit le grand ?uvre de Newton et fut l'égale des savants de ce temps. Madame d'Epinay, amie de Grimm, imagina une nouvelle pédagogie, critique de Rousseau, et traça le destin des futures mères. Ces deux ambitieuses, au sens le plus noble du terme, refusaient d'accepter les limites que la société leur assignait. Elles voulurent se donner toutes les chances dont elles se sentaient capables, en dépit de leur sexe. Madame du Châtelet incarne l'ambition personnelle, Madame d'Epinay, l'ambition maternelle, deux figures entre lesquelles se partage la vie des femmes. Emilie, Emilie, un livre passionnant qui nous conduit au c?ur du XVIIIe siècle sans perdre de vue le présent actuel.

1952 : Robin Hobb, écrivaine américain de fantasy.
rien lu, mais mon fils si...

décès


1876 : Marie d'Agoult (Daniel Stern), écrivaine française d'origine allemande (° 31 décembre 1805).
de Claude Aragonnes 

1944 : Max Jacob, poète français (° 12 juillet 1876).
Afficher l'image en taille réelleDétails sur le produitMax Jacob de Béatrice Mousli

1953 : Iocif Vissarionovitch Dougashvili, dit Staline, président de l'URSS (° 21 décembre 1879).
Afficher l'image en taille réelleDétails sur le produitLe Fantôme de Staline de Vladimir Fédorovski
Les archives de l'ex-URSS étant désormais accessibles, il est maintenant possible de dresser un portrait plus précis de Staline, le tyran rouge. A la lumière d'une longue enquête, Vladimir Fédorovski apporte également un nouvel éclairage sur la personnalité ambiguë de Vladimir Poutine, l'homme fort de la Russie d'aujourd'hui, plus de quatre-vingt-dix ans après la révolution bolchévique. Un regard neuf sur la Russie.
de Hélène Carrère d'Encausse
Durant un quart de siècle, Staline va dominer la scène politique soviétique et détenir un pouvoir sans égal. Seul, dans le passé, Pierre le Grand a exercé sur ce pays immense une autorité aussi forte, voire cruelle, pour changer les hommes et le monde qui les entoure.
En vingt-cinq ans, l'Union Soviétique se couvre d'usines, de chantiers, et de camps ; une nouvelle Révolution a lieu, économique et sociale, une guerre effroyable survient.
Staline a fait régner sur son pays un ordre implacable, l'ordre par la terreur, dont ce livre retrace l'histoire et tente de montrer les mécanismes.
L'ordre stalinien s'inscrit dans une double perspective. Il est tributaire de l'histoire russe, toujours déchirée entre la spécificité de la Russie, son asiatisme, et la volonté des réformateurs d'en faire un pays d'Occident. Il est marqué aussi par l'histoire européenne du XXe siècle, qui voit la montée des totalitarismes.
Despote russe, didacteur européen, tels sont les visages de Staline que dissimulent l'homme d'Etat et le chef de guerre venu en 1945 signer à la table des vainqueurs dans le camp des défenseurs de la liberté.

1993 : Cyril Collard, écrivain, acteur et réalisateur français (° 19 décembre 1957).
Il a 30 ans. Il aime des garçons ; Samy, à moitié voyou ; Jamel, fils de l'Islam et de Coca-Cola. Et les corps anonymes qui s'emparent de lui dans les rites pervers des nuits fauves. Il aime des filles de passage. Et Laura. Il veut tout. Ou peut-être rien. Il est séropositif. Lâcheté ou panique, il ne l'a pas dit à Laura, la première fois qu'ils ont fait l'amour. Il l'a peut-être contaminée. Elle a 17 ans. Elle l'aime, sans mesure, jusqu'à la folie, usant de tout pour ne pas le perdre : prières, violences, mensonges, chantages. Ils se prennent et se déprennent dans un rythme serré de clip où les rues basculent devant les motos, où la caméra vidéo filme les ombres et les lumières de la ville, où le répondeur téléphonique hache les mots de la passion. Avec, soudain, de lentes plages de mémoire - celles de l'adolescence, du sang arabe, de lieux solaires. Alors, un nouvel ordre s'établit : menacé de mort, il naît au monde qui l'entoure, à l'amour fou de ce qui est. Il est vivant. Le film Les nuits fauves, dont Cyril Collard a assumé l'adaptation, la réalisation et la musique, où il joue le rôle vedette aux côtés de la jeune Romane Bohringer, est devenu un " film-culte ".

2008 : Jean-Pierre Bayard, docteur ès lettres, ingénieurhistorien et écrivain français (° 7 février 1920).
Dans plus de cent églises, principalement en France, on a découvert des statues médiévales de la Vierge Marie avec son enfant, dont les visages et les mains sont très bruns ou noirs. Elles sont en général petites (de 30 à 70 centimètres), situées dans un lieu humide, près d'une source entourée de bois. Mais quelle est donc leur signification ? Ces statuettes ont été fabriquées entre les Xe et XIVe siècles, et l'auteur a pu recueillir des récits sur leur provenance exacte : on les a retrouvées soit en labourant, soit en gardant un troupeau, dans le lit d'une rivière ou dans un buisson...
Après cinquante ans de recherches, Jean-Pierre Bayard dresse une liste de 450 sites où le souvenir d'une Vierge noire a été conservé. Il établit surtout un rapprochement entre le culte de ces Vierges et celui de la Déesse mère, dont le Néolithique a livré d'émouvantes représentations.

Né en 1920, Jean-Pierre Bayard a mené une carrière d'ingénieur des Travaux publics tout en poursuivant une quête intense des valeurs traditionnelles. Docteur ès lettres d'université, directeur de plusieurs collections d'ouvrages ésotériques, il est l'auteur de plus de cinquante livres traitant de la symbolique et de la Tradition, cherchant toujours à unir le matériel au spirituel, notre mode de vie contemporain à la pensée de nos plus anciens ancêtres, en s'appuyant sur les légendes, le folklore et les thèmes initiatiques. En historien des religions, il analyse nos plus anciennes racines, nos archétypes et nos rites. Il est attaché à la plus grande rigueur : ses nombreux articles dans la presse, conférences, émissions de radio et livres sont toujours traités dans un large esprit de spiritualité humaniste, s'appuyant sur une étude approfondie de la connaissance initiatique.

Grâce à ses talents de cuisinier et son charisme indolent, Gabriel - à peine débarqué dont ne sait où - tisse des liens très forts avec les habitants d'une petite ville de Bretagne : une bien belle réceptionniste d'hôtel, deux junkies au bout du rouleau et surtout José, le patron du Faro, dont la femme est à l'hôpital. pareil au panda en peluche échoué sur le comptoir du Faro, Gabriel offre sa personne et son temps à celles et ceux qui viennent à lui, plus surpris ou séduits que méfiants. Et pourtant, s'ils savaient... Une fois de plus, Pascal Garnier déploie ici tout son charme.

vendredi 4 mars 2011

menus propos et souvenirs de lecture en suivant l'éphéméride...

Bonjour tout le monde,
encore une belle journée... 
un peu la flemme de continuer ma pal noire... 

je vais aller en cuisine préparer le repas de ce soir...

petit coup d'oeil sur les souvenirs de lecture...
1152 : Frédéric Barberousse est choisi empereur d’Allemagne, succédant à son oncle Conrad III.
de Ivan Gobry
Afficher l'image en taille réelleDétails sur le produitBaudolino de Umberto Eco 
Baudolino, un jeune paysan fantasque et menteur, fait la conquête de Frédéric Barberousse et devient son fils adoptif. Baudolino fabule, invente, et, comme par miracle, tout ce qu'il imagine devient histoire. Ainsi, il écrit la lettre mythique du Prêtre Jean, qui promettait à l'Occident un royaume fabuleux dans le lointain Orient gouverné par un roi chrétien, et qui fit rêver de nombreux voyageurs, dont Marco Polo. Aventure picaresque, roman-histoire d'où émergent en germe les problèmes de l'Italie contemporaine, récit fantastique, théâtre d'inventions hilarantes, ce livre célèbre la force du mythe et de l'utopie.

1193 : Mort de Salah ad-Din, fondateur de la dynastie ayyoubide.
de Geneviève Chauvel

Qui connaît Saladin aujourd'hui ? Au XIIe siècle pourtant, ce nom fit trembler la Chrétienté. Dans les mémoires arabes, il résonne encore comme un symbole d'unité et de lutte de l'Islam contre l'Occident. 
Né dans une famille kurde, à Takrit, en Irak, dans le même village où naîtra huit cents ans plus tard un certain Saddam Hussein, le jeune Youssef, cadet de famille, vassal entre les vassaux, se sentait davantage attiré par l'aventure spirituelle que par la guerre et les vanités du monde. Obéissant à la volonté divine, il sera néanmoins obligé de se forger une âme de rassembleur et de conquérant pour reprendre Jérusalem, la ville sacrée, occupée par les Croisés depuis 1099. Devenu malgré lui le célèbre «Salah-ed-Din», sultan d'Egypte, de Syrie, de Mésopotamie et du Yémen, il parviendra après trente ans de luttes à rallier sous sa bannière couleur soleil ses voisins arabes divisés, puis à les entraîner, à la tête d'une armée colossale, sur les chemins de la Guerre Sainte et de la victoire. 
Dans ce passionnant récit peuplé de héros, de traîtres, de rois, de reîtres, de sages, de fous sanglants que nimbent les noms magiques de Bagdad, Damas, Beyrouth, Le Caire, Byzance, St Jean d'Acre... c'est Saladin lui-même selon une reconstitution historique rigoureuse qui raconte son prodigieux destin d'homme de paix, condamné à se battre jusqu'à son dernier souffle et à affronter deux conceptions de Dieu, alors que, pensait-il, il n'existait qu'un Dieu unique pour rassembler tous les hommes. 
La grandeur d'âme, la clémence de Saladin bousculent bien des idées reçues. Elles permettent surtout de découvrir, non sans stupeur, l'envers trop souvent occulté des Croisades. Saladin n'est pas mort. Depuis plus de huit siècles son souvenir et son exemple entretiennent un incendie qui ne pourra s'éteindre tant que l'Islam et l'Occident ne manifesteront pas la réelle et mutuelle volonté de se comprendre.
de Amin Maalouf
En partant pour les croisades, ces preux chevaliers avaient bonne conscience : ils portaient leur croix sur le dos et la divine parole en Orient. L’Orient, c’était la terre promise. Ils pillèrent la terre, violèrent les femmes, massacrèrent les hommes, au nom de la chrétienté.
Ces barbares furent combattus tout ausi férocement du côté de l’islam, où se trouvait la civilisation la plus avancée, mais aussi les rivalités et « la torpeur du monde arabe ». Et Jérusalem, Damas, Beyrouth, connurent l’enfer.

1429 : Jeanne d'Arc arrive à Chinon, pour rencontrer le roi Charles VII.
Afficher l'image en taille réelleDétails sur le produitCharles VII et son mystère de Philippe Erlanger
Trente-neuf années de règne : plus que la présence au pouvoir de tous les présidents de la Ve République réunis, de Charles de Gaulle à François Mitterrand ; plus que la durée cumulée de la Restauration et de la Monarchie de Juillet. Entre 1422 et 1461, Charles VII gouverne tour à tour une France déchirée par la guerre, occupée aux trois quarts, exsangue, puis l'État le plus fort et le plus unifié d'Europe. Jamais peut-être, l'expression « miracle politique » n'a eu plus de sens, si bien que le temps de Charles « le Bien Servi » apparaît comme un pivot de notre histoire nationale. Bien sûr, il y eut le miracle politique, psychologique et spirituel de Jeanne d'Arc et de son épopée, et Philippe Erlanger, avec; son souci méticuleux des archives, en donne la mesure. - Mais également la métamorphose d'un roi et d'un royaume, héritiers des désastres causés par Charles VI le Fou, forgeant la centralisation monarchique, une armée de métier, rétablissant l'ordre financier et la prospérité alimentaire, s'ouvrant aux prémices de la Renaissance. Et pour renforcer ce mystère, il y a la personnalité de Charles VII, analysée en détail par l'auteur, ce roi capable de surmonter les infortunes d'une enfance dominée parle malheur, de compter sur l'aide indispensable de femmes d'exception - Yolande d'Aragon, Jeanne d'arc, Agnès Sorel - et de s'entourer d'une cohorte de serviteurs mus par une cause exceptionnelle : la formation d'une patrie. 

1493 : L'explorateur Christophe Colomb arrive d'Amérique sur son navire La Niña à Lisbonne.

1519 : L'explorateur Hernán Cortés débarque au Mexique.

1699 : Les Juifs sont chassés de Lübeck en Allemagne.

1800 : Introduction de l'élevage du mouton en Australie.

1848 : Décret de la seconde abolition (définitive) de l'esclavage en France par le sous-secrétaire d'État à la Marine Victor Schoelcher (première abolition : 1794, rétabli parNapoléon Bonaparte, Premier Consul, en 1802).
 de Nelly Schmidt

1912 : Londres : Les suffragettes détruisent les vitres du domicile de plusieurs hommes politiques.

.1914 : Paris : Le Dr Fillâtre sépare deux sœurs siamoises.

1931 : Le Mahatma Gandhi signe un accord avec le vice-roi des Indes prévoyant la libération des prisonniers politiques et permettant que le sel soit librement utilisé par les couches les plus pauvres de la population.

1936 : Premier vol du dirigeable « Zeppelin LZ 129 Hindenburg ».

1988 : Inauguration de la Pyramide du Louvre dans la cour Napoléon du Louvre, à Paris.
da Vinci Code...
naissance :

1188 : Blanche de Castille, (née le 4 mars 1188 à PalenciaCastille - morte le 27 novembre 1252 à Melun), reine de France, est la fille d'Alphonse VIII de Castille et d'Aliénor d'Angleterre, elle-même fille d'Aliénor d'Aquitaine et d'Henri II Plantagenêt : elle est donc la nièce du roi Jean sans Terre. Comme prévu dans le traité du Goulet signé entre les rois de France et d'Angleterre cette même année, elle est mariée à Port-Mort en 1200 au futur Louis VIII, fils de Philippe-Auguste.

Afficher l'image en taille réelleDétails sur le produitBlanche de Castille de Philippe Delorme 
Afficher l'image en taille réelleDétails sur le produitLa reine Blanche de Régine Pernoud
Afficher l'image en taille réelleDétails sur le produitLa Vie de Saint-Louis de Joinville
Le livre de Joinville est l'un des textes historiques les plus intéressants et les plus attachants que nous ait laissés le Moyen Age. L'auteur raconte ce qu'il a personnellement connu du règne de saint Louis (1226-1270), essentiellement la croisade en Egypte et le séjour en Terre sainte ; il se fait l'écho des propos édifiants du roi, qu'il vit souvent depuis leur retour en France, et de quelques-unes de ses décisions les plus remarquables. Mais Joinville parle presque autant de lui-même que du roi, le sujet de son livre. À côté de la haute figure de saint Louis se dessine celle, bien vivante, du chroniqueur. Nous avons ainsi, sur les façons de sentir et de penser d'un homme du XIIIe siècle, un éclairage incomparable.

1394 : Henri le Navigateur, troisième fils du roi Jean Ier de Portugal, initiateur des grandes explorations portugaises († 13 novembre 1460).

Ce roman se déroule au XVe siècle autour d'une véritable icône de l'histoire du Portugal, l'infant Henri le Navigateur. Il ne s'agit pas vraiment d'une fiction car il se fonde sur des chroniques médiévales. L'oubli d'une partie importante de ces événements, y compris dans la mémoire portugaise, suscite des interrogations. Serait-ce que ce pan de l'histoire renvoie de ce prince l'image peu flatteuse d'un croisé fanatique, doublé d'un marchand d'esclaves sans scrupules ?
En 1415, les Portugais prennent Ceuta, cité musulmane du détroit de Gibraltar. Le prince y entend parler de la fabuleuse richesse de l'empereur du Mali et décide alors de prendre contact avec lui par la mer pour éviter de traverser le territoire des Maures. Pour réaliser son projet, il fonde l'Ecole de Sagres et y fait venir le cartographe juif majorquin, Jafuda Cresques. Ainsi débutent les grands périples maritimes du XVe siècle. L'écuyer du prince, c'est Rail Pimentel, qui part à l'aventure sur la " Mer ténébreuse " : il nous fait participer au passage du cap Bojador en 1434 (le plus grand exploit maritime de l'époque), à la quête du Prêtre Jean, à la découverte des îles atlantiques et de la côte africaine. Sur fond de fanatisme religieux et de razzia d'esclaves, nous assistons ainsi au premier contact des Européens avec des peuples jusque-là complètement inconnus.


1634 : Kazimierz Łyszczyński, philosophe athée polonais († 30 mars 1689).



1878 : Arishima Takeo, écrivain japonais († 9 juin 1923).



1913 : Taos Amrouche, femme de lettres algérienne francophone et une chanteuse berbérophone, d'origine kabyle († 2 avril 1976).



décès


de Jean Lacouture 
Jean Lacouture a choisi de ressusciter le profil farouche et attachant d'un savant qui fut aussi un citoyen exemplaire de son siècle. De Figeac à Grenoble, de Saqqara à la Grande Statuaire du musée de Turin à la fournaise d'Abou-Simbel, de la Haute-Egypte à la pierre de Rosette, d'un frère trop paternel à des pharaons muets, on le verra ainsi livrer tous les combats dont peut foisonner une existence pleine et brève. La Révolution, l'amour d'une poétesse toscane, la bienveillance des dieux antiques, la ferveur pour Bonaparte et la fermeté devant Napoléon rythment cette vie. On en suivra ici les étapes, dans le sillage d'un être plus romanesque qu'aucun de ses contemporains, et qui osa, par enthousiasme, ajouter quelques millénaires à la mémoire du monde.

1852 : Nicolas Gogol, écrivain russe (° 1er avril 1809).

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1948 : Antonin Artaud (Antoine Marie Joseph Artaud), 51 ans, écrivain français (° 4 septembre 1896).
de Matthew G. (Matthew Gregory) Lewis et Antonin Artaud 

On le nomme "Monk" Lewis, tant cet écrivain a été marqué par sa créature scandaleuse. Le livre fut d'abord interdit par la censure et Lewis obligé d'en réviser l'édition. Il n'a que vingt ans lorsqu'il écrit Le Moine et confronte le lecteur avec l'Invisible d'une manière directe et brutale. Le Surnaturel y fait sauvagement irruption et s'impose ; d'où la réticence d'un Coleridge, déconseillant aux parents de mettre un tel livre dans les mains de leurs enfants.
Il connaissait bien la littérature allemande et traduisit plusieurs grands auteurs, tel Schiller. Il adaptera avec succès un roman de Zschokke, Le Bandit de Venise.
Il hérita d'une fortune importante à la mort de son père et, avec effroi, en découvrit les sources, dans les Indes Occidentales. Il mourut de fièvre jaune à son retour d'un second voyage, laissant un passionnant Journal qui dénonce le scandale des pratiques coloniales dont nul alors ne se souciait. Comme la plupart des auteurs "gothiques", Monk Lewis ne fut jamais en odeur de sainteté auprès des critiques et il fallut attendre des auteurs comme Artaud ou Breton pour que certains considèrent enfin Le Moine avec sérieux.
"Le souffle du merveilleux l'anime tout entier (...). J'entends que ce livre n'exalte du commencement à la fin, et le plus purement du monde, que ce qui de l'esprit arrive à quitter le sol et que, dépouillé d'une partie insignifiante de son affabulation romanesque, à la mode du temps, il constitue un modèle de justesse et d'innocente grandeur".



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le coin des gourmands...
Petits pois à l'ancienne

Préparation : 15 min
Cuisson : 30 min

Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 1 kg de petits pois frais non écossés
- 250 g de lardons fumés
- 1 oignon
- 1 coeur de laitue
- 30 g de beurre
- 1 morceau de sucre
Sel ,poivre

Ecosser les petits pois.

Dans une casserole, faire revenir les lardons dans du beurre. 

Lorsqu'ils commencent à colorer, ajouter l'oignon, le coeur de laitue et les petits pois. Recouvrir d'eau, puis ajouter le morceau de sucre, le sel et le poivre.

Laisser mijoter à feu doux, 30 minutes environ, jusqu'à ce que les petits pois soient tendres.