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jeudi 8 septembre 2011

Vincent Wackenheim - Petit éloge de la première fois

.Petit éloge de la première foisPetit éloge de la première fois de Vincent Wackenheim

Bien sûr, on songe inévitablement à la première expérience sexuelle, mais qu'en est-il des inventeurs, des explorateurs et autres aventuriers de tous genres ? Ne sont-ils pas des spécialistes des premières fois ? Dans un genre différent, saviez-vous qu'A la recherche de temps perdu était un manuel des premières fois ?
 A la fin du volume, quelques pages blanches où chaque lecteur pourra inscrire sa propre "litanie des premières fois". Plein de fantaisie et d'humour, ce Petit éloge vous fera rire aux larmes !

citation : les premières fois permettent de briller en société - voilà une fonction utile.


.un auteur satirique, parfois loufoque mais toujours drôle et fin... bref un auteur que j'aime bien depuis la lecture de La Revanche des otaries ... qui fut un grand coup de coeur ! confirmé d'ailleurs par  La gueule de l'emploi ... inutile de dire que Coucou, était aussi sur ma liste pour un prochain achat... j'espère seulement qu'il va arriver bien vite... en attendant, j'ai rencontré l'auteur sur facebook... et il m'a offert son délicieux Petit éloge de la première fois , dédicacé en plus... et il a eu le bon goût de me l'envoyer pile pour mon anniversaire... 
Dire que je l'ai lu serait peu... je l'ai dévoré et adoré... et de nouveau un grand coup de coeur ! 

 Petit éloge de la première fois donc, pas seulement ce que vous pensez... plein de premières fois, que ce soit l'aviation, la science, et l'histoire... le tout avec un petit sourire malicieux, on y apprends beaucoup de choses tout azimut, de façon ludique et amusante... sans compter les dialogue du narrateur et de sa famille... ça fourmille, ça fuse dans tous les sens... impossible de poser ce livre cinq minutes, trop envie de savoir ce qu'il va nous inventer... 
En plus, côté littérature, Proust vu par Wackenheim, un vrai délice... pour un peu, je relirai de suite ce cher Marcel...
Vous en citer un peu ? pas possible ou il faudrait tout recopier... et puis l'acheter ne vous ruinera même pas ! 
Né en 1959 en Alsace, Vincent Wackenheim choisit finalement de loger sa petite famille à Paris.
Ecrivain et éditeur, il prend régulièrement l’autobus, l’idéal pour croquer avec humour le monde qui l’entoure. De là, quelques romans, les derniers, Coucou, La Revanche des otaries, La Gueulede l’emploi, tous parus au Dilettante.



prochaine lecture pour être à jour... 
entre la semaine prochaine et le 25 décembre...
En une série de 92 fort courts chapitres, minutieux et acérés comme des dents de rouages, la vie d’un gardien, d’un gardien d’immeuble : loge proprette, fenêtre à ras la rue, courrier pour chacun, rêve d’aventures. Mais notre homme a un double fond, quand il n’est pas dans l’escalier, il est cadre dans une boîte à coucou. 
Coucou : « le cartel des pauvres ». En cette société horlogère, tâche lui est confiée d’en améliorer les performances, d’en affûter la stratégie et surtout d’en baisser les coûts. Alors, que faire ? Coucou en plastique ? Coucou évidé de son mécanisme ? Coucou en kit ? Le règne du coucou sans coût est à venir.
Et sa vie défile entre cogitations commerciales, songeries poivrées avec les passantes de l’entrée et visées pour couper court aux coûts du coucou. 
La faune qui hante l’immeuble, du sémillant au sinistre, circule devant la loge du coucoutier comme des jacquemarts au fronton d’une mairie : pittoresque et prévisible, orné de petits noms charmants (Modi et Gliani, Stock-Option, etc.). Mais l’ennui est une plante grimpante qui fait qu’un jour notre homme envoie tout balader et qu’une dernière visite en fraude dans l’immeuble lui réservera une ultime surprise, inattendue : COUCOU !

rien que lire le résumé... je m'impatiente ! espérons que mon fils ne se trompe pas de livre cette année encore... et oui, il est aussi en retard pour mon anniversaire... 

et encore cher Vincent ,
encore un bon moment en votre compagnie,
plus qu'à attendre le prochain
en toute amitié

revue de presse : émissions littéraires

Revue de presse - qu'allons-nous écouter à la radio et à la télévision cette année ?

Revue de presse - le Magazine littéraire

Lors de la présentation des nouvelles grilles, les patrons de chaînes et de stations, à commencer par les directeurs du service public Jean-Luc Hees et Rémy Pflimlin, ont mis l’accent sur l’importance du débat… Y compris dans le domaine de la culture et de la création où la littérature occupe toujours une place maîtresse aux côtés des autres arts.
07/09/2011 | Actualité  La rentrée littéraire sur les ondes - Elizabeth Tchoungui présente son émission Avant Premières ©France 2 - ©
La valse des ondes ouvre ainsi grand les bras aux talk-shows et aux émissions à chroniques. Sur France 2, la deuxième partie de soirée du mercredi sera consacrée aux Avant-premières d’Elisabeth Tchoungui qui proposeront un panorama complet de l’actualité culturelle et artistique. La littérature en sera le «navire amiral» selon les termes de l’animatrice - également romancière -  puisque parmi les quatre invités figureront souvent deux écrivains - Sylvain Tesson et Sophie Fontanel pour la première le 7 septembre. Au titre de «chroniqueurs», l’ancienne animatrice des Maternelles préfère celui de «signatures culturelles» ou de prescripteurs. Car France Télévisions tente de fédérer tous les publics en s’appuyant sur les voix d’autorité d’auteurs reconnus : Régis Jauffret, Charles Dantzig, Diane Ducret, Véronique Olmi (qui fait paraître prochainement chez Grasset Vérités et autres malentendus), ou encore Christophe Ono-Dit-Biot, directeur adjoint de la rédaction du Point. La chaîne déprogramme en revanche la Semaine critique de Franz-Olivier Giesbert qui retrouve France 5 où il animera à partir du 14 octobre à 20h35 une mensuelle consacrée auxGrandes Questions de 2012.  Le directeur du Point y offrira un éclairage philosophique sur les grands thèmes de la campagne présidentielle en compagnie d’intellectuels et de philosophes. Chaque émission sera tournée dans un lieu différent en adéquation avec le thème traité. Plus mondain, Guillaume Durand devrait reprendre le concept du dîner télévisé de Thierry Ardisson sur Paris Première et recevoir des personnalités qui font l’actualité une fois par semaine à son domicile (Rive droite et non plus au 93 Faubourg Saint-Honoré). 

Si Café Picouly n’a pas été reconduit par France 5, La Grande Librairie reprend à partir du 1er septembre tous les jeudis à 20h35 en direct et dans un nouveau décor. Petite nouveauté : François Busnel (qui continue, par ailleurs, ses Grands Entretiens sur France Inter chaque jour à 17h) s’évadera du plateau une fois par mois pour partir à la rencontre d’un auteur américain : Paul Auster, Joyce Carol Oates, Toni Morrison, Philip Roth ou encore Douglas Kennedy. 

Les Mots de minuit font également peau neuve avec notamment un nouvel habillage et des rubriques plus nettes. Philippe Lefait nous en a confié le détail : une première partie de quinze minutes posera «Le Regard» sur une grande personnalité (Le Clézio par exemple) à l’occasion d’une interview intime, ou sur une question d’actualité (le traitement de la Shoah dans la littérature par les générations qui ne l’ont pas connue avec Mazarine Pingeot le 7 septembre ; l’exil de soi le 14 septembre avec notamment Denis Lachaud et Chahdortt. La deuxième partie accueillera trois invités (dont Philippe Lançon et Sorj Chalendon pour la première le 7 septembre). Enfin, le dernier segment intitulé «Le Choix» conseillera plus précisément un spectacle, un livre ou un film pour continuer de «sacraliser la lecture» comme se plait à le dire l’animateur. Rémy Pflimlin a laissé entendre que des comédiens de la Comédie Française liraient sur France 3 le dimanche soir de grands textes du répertoire pour nous accompagner en douceur vers le début de la semaine. Le séculaire Un livre un jour d’Olivier Barrot tout comme Dans quelle étagère ? de Monique Atlan continuent de s’agripper respectivement aux troisième et deuxième chaînes. Ce soir ou jamais devient hebdomadaire mais conserve sa formule.

Et pour cause, Frédéric Taddeï migre sur France Culture le dimanche à 20h où il reçoit un invité en Tête-à-tête pour une heure en vase clos. Les nouveautés sont en effet nombreuses sur l’antenne d’Olivier Poivre d’Arvor. Chaque soir à 21h Arnaud Laporte ouvre La Dispute à de grandes signatures de la presse sur l’actualité de tous les domaines artistiques. Les auditeurs sont également invités à se joindre à la mêlée. La première semaine de chaque mois, ce sont les artistes qui devraient à leur tout s’emparer de la parole pour renverser le point de vue. A chaque jour son thème : la littérature est à l’honneur le vendredi. Et tous les soirs à 19h55 à même le texte puisque Fabrice Luchini lit, scande, déclame, récite, habite les grandes oeuvres de la littérature française. En septembre le comédien a choisi « Un cœur simple » de Flaubert et quelques lettres de sa correspondance. 

Et selon le souhait du directeur de la station, les voix de jeunes talents résonnent sur les ondes. Les Ateliers de la nuit d’Aurélie Charon nous accompagnent vers Morphée de 23 h à minuit. L’émission est plus particulièrement consacrée à la fiction le mercredi et donne à entendre des textes contemporains, souvent inédits, de romanciers, poètes ou dramaturges (De l’autre côté de Jean Assens et Lorette Nobécourt le 7 septembre ; Le cri du sablier de Chloé Delaume le 14 sept ou encore La femme au rivage d’Isabelle Mestre le 21 septembre). Le Carnet d’or (le titre est un hommage au best-seller de Doris Lessing), animé par Augustin Trapenard, collaborateur du Magazine Littéraire, s’ouvre de 17 h à 18 h le samedi. Trois auteurs y confrontent leurs idées sur un thème ou une affinité commune. Raphaël Enthoven laisse la voix libre à la jeune Adèle Van Reeth sur Les Nouveaux Chemins de la connaissance du lundi au vendredi de 10h à 11h. La philosophie s’y adresse toujours à la fois aux experts et aux novices en s’appuyant sur des extraits de films, de musique ou d’archives en accord avec le thème de la semaine. Un journal de la philosophie passe l’actualité éditoriale au crible de la philo. Une spéciale Lacan est annoncée le 9 septembre. 

Sur Europe 1, Michel Field (toujours aux commandes d’Au Field de la nuit sur TF1 par ailleurs) concurrence Radio France en faisant le pari de la mondanité. Il donne Rendez-vous à l’Hôtel (Costes) aux personnalités artistiques dont le Tout-Paris raffole de 21h à 22h30 au quotidien.   

C’est « Ouvert la nuit » sur France Inter avec Alexandre Héraud, Tania de Montaigne et leurs chroniqueurs qui, deux heures durant (21h-23h), débattent des nouveautés de tous horizons entre bonne humeur communicative et intimité du début de la nuit. 

Sur Le Mouv’, Le Plan B de Frédéric Bonnaud est ramené à une heure (au lieu de deux) toujours en formule quotidienne de 17h à 18h. L’animateur qui avoue « aimer faire parler les gens qui écrivent des livres » dresse chaque jour le portrait de son invité soutenu par le montage sonore d’Elsa Daynac. Enfin, la petite surprise nous vient de la super « nova » de Radio France. Chaque dimanche de 20h30 à 21h30, Fip livre ses musiques au sens littéral en racontant un ouvrage en chansons.


-Noémie Sudre - http://www.magazine-litteraire.com/content/newsletter_focus/article.html?id=19949Crédit photo : © Elizabeth Tchoungui présente son émission Avant Premières ©France 2


jeudi, c'est citation : Jules Renard

initiatrice : CHIFFONNETTE
Paresse : habitude prise de se reposer avant la fatigue.

Pierre-Jules Renard, dit Jules Renard, né à Châlons-du-Maine (Mayenne) le 22 février 1864 et décédé le 22 mai 1910 à Paris, est un écrivainfrançais.

Premier succès : Lorsque, en 1889, de jeunes écrivains fondent le Mercure de France, Renard est un des principaux actionnaires : il est à la fois critique et prosateur, rédacteur en chef et administrateur. Le succès arrive avec L'Écornifleur, publié en 1892Alphonse AllaisEdmond RostandCourteline, les GoncourtTristan BernardLucien Guitry et Sarah Bernard font partie de son entourage2. En 1894, il entre à laSociété des gens de lettres et rédige Le Vigneron dans sa vigne ainsi que Poil de Carotte . « Je cours les dangers du succès » note-t-il dans son Journal
derniers honneurs : Jules Renard est élu membre de l'académie Goncourt en octobre 1907, au fauteuil de Huysmans grâce à Octave Mirbeau, qui a dû menacer de démissionner pour assurer son succès. Il prend sa nouvelle charge très au sérieux et participe à toutes les réunions.
Sa mère se noie dans le puits de la maison familiale.
Sa pièce La Bigote suscite des polémiques.
Il meurt d'artériosclérose à l'âge de 46 ans.

mardi 6 septembre 2011

Le Renaudot établit ses premières sélections

le jury Renaudot a retenu au total quinze titres dans sa première sélection de romans, et huit titres dans sa première sélection d’essais.

La sélection de quinze romans :


Limonov, Emmanuel Carrère (P.O.L)
Du temps qu'on existait, Marien Defalvard (Grasset)
Kampuchéa, Patrick Deville (Seuil)
Un amour de frère, Colette Fellous (Gallimard)
Brut, Dalibor Frioux (Seuil)
L'art français de la guerre, Alexis Jenni (Gallimard)
Jayne Mansfield 1967, Simon Liberati (Grasset)
Paris en temps de paix, Gilles Martin-Chauffier (Grasset)
Du domaine des murmures, Carole Martinez (Gallimard)
Le système Victoria, Eric Reinhardt (Stock)
Le ravissement de Britney Spears, Jean Rolin (P.O.L)
Assommons les pauvres !, Shumona Sinha (L’Olivier)
Tout, tout de suite, Morgan Sportès (Fayard)
Vers la mer, Anne-Sophie Stefanini (Lattès)
Rien ne s'oppose à la nuit, Delphine de Vigan (Lattès)


La sélection de huit essais :
Faute d'identité, Michka Assayas (Grasset) ;
Le souvenir du monde : essai sur Chateaubriand, Michel Crépu (Grasset)
Agent de Soljénitsyne, Claude Durand (Fayard)
Fontenoy ne reviendra plus, Gérard Guégan (Stock)
Oublier Modiano, Marie Lebey (Léo Scheer), 
L'homme qui se prenait pour Napoléon : et autres essais pour une histoire politique de la folie, Laure Murat (Gallimard)
Historien public, Pierre Nora (Gallimard)
Dans les forêts de Sibérie, Sylvain Tesson (Gallimard)


source : http://www.livreshebdo.fr/actualites/DetailsActuRub.aspx?id=7234#7234