
- 137 pages
- Editeur : Editions Gallimard (1 septembre 2011)Collection : Folio 2€
- http://www.ledilettante.fr/fiche-auteur.asp?Clef=205
Bien sûr, on songe inévitablement à la première expérience sexuelle, mais qu'en est-il des inventeurs, des explorateurs et autres aventuriers de tous genres ? Ne sont-ils pas des spécialistes des premières fois ? Dans un genre différent, saviez-vous qu'A la recherche de temps perdu était un manuel des premières fois ?
A la fin du volume, quelques pages blanches où chaque lecteur pourra inscrire sa propre "litanie des premières fois". Plein de fantaisie et d'humour, ce Petit éloge vous fera rire aux larmes !
citation : les premières fois permettent de briller en société - voilà une fonction utile.
Dire que je l'ai lu serait peu... je l'ai dévoré et adoré... et de nouveau un grand coup de coeur !
Petit éloge de la première fois donc, pas seulement ce que vous pensez... plein de premières fois, que ce soit l'aviation, la science, et l'histoire... le tout avec un petit sourire malicieux, on y apprends beaucoup de choses tout azimut, de façon ludique et amusante... sans compter les dialogue du narrateur et de sa famille... ça fourmille, ça fuse dans tous les sens... impossible de poser ce livre cinq minutes, trop envie de savoir ce qu'il va nous inventer...
En plus, côté littérature, Proust vu par Wackenheim, un vrai délice... pour un peu, je relirai de suite ce cher Marcel...
Vous en citer un peu ? pas possible ou il faudrait tout recopier... et puis l'acheter ne vous ruinera même pas !

entre la semaine prochaine et le 25 décembre...
Coucou : « le cartel des pauvres ». En cette société horlogère, tâche lui est confiée d’en améliorer les performances, d’en affûter la stratégie et surtout d’en baisser les coûts. Alors, que faire ? Coucou en plastique ? Coucou évidé de son mécanisme ? Coucou en kit ? Le règne du coucou sans coût est à venir.
Et sa vie défile entre cogitations commerciales, songeries poivrées avec les passantes de l’entrée et visées pour couper court aux coûts du coucou.
La faune qui hante l’immeuble, du sémillant au sinistre, circule devant la loge du coucoutier comme des jacquemarts au fronton d’une mairie : pittoresque et prévisible, orné de petits noms charmants (Modi et Gliani, Stock-Option, etc.). Mais l’ennui est une plante grimpante qui fait qu’un jour notre homme envoie tout balader et qu’une dernière visite en fraude dans l’immeuble lui réservera une ultime surprise, inattendue : COUCOU !
rien que lire le résumé... je m'impatiente ! espérons que mon fils ne se trompe pas de livre cette année encore... et oui, il est aussi en retard pour mon anniversaire...
et encore
cher Vincent ,
encore un bon moment en votre compagnie,
plus qu'à attendre le prochain
en toute amitié