Anna a beau être divorcée et avoir trouvé en Sacha son âme soeur, son ex-mari doit d'abord lui accorder le guet, le divorce religieux juif, pour pouvoir céder à ses pulsions amoureuses sans être considérée comme une femme adultère.
citations :
Mais où commence l'adultère ? Au premier regard ? Au premier baiser ? A la première caresse ?L'adultère commence au premier regard, en effet : celui que votre mari ne vous accorde plus.
Je n’étais pas aliénée par la loi, mais par ma décision d’obéir à la loi. Ce n’était que parce que j’acceptais ce système que j’en étais la victime
Anna vit à Paris avec sa fille. Divorcée civilement depuis 3 ans de Simon, elle est profondément religieuse et désire que son mariage soit également annulé religieusement. Elle souhaite refaire sa vie avec Sacha Steiner et avoir un enfant de lui. Devenu agounah (femme adultère), elle craint d'avoir un enfant tenu pour mamzer (batard).
Mais Simon la fait chanter, en lui faisant miroiter un guet qu'il lui refuse toujours.
Nous suivons ses démarches auprès de son ex-mari, des rabbins, et d'avocat. Elle finira par se rendre en Israël pour obtenir ce guet auprès d'un Beth Din (tribunal rabbinique).
Heureuse et croyant enfin être libérée, elle présente son annulation au rabbins de Paris, qui le lui refusent, ils ne sont pas obligés d'appliquer les décisions du Beth Din d'Israël. En leurs présence, son mari accepte finalement de lui remettre le guet... avec la mention : "Et te voici permise à tout homme ... sauf à Sacha Steiner...
La porte se referme sur le ventre rond de Anna...
.moyen - intéressant du point de vue des embûches qui attendent les femmes juives voulant divorcer religieusement. Par contre l'histoire elle-même me semble empreinte d'une très grande naïveté.
Assez étonnant pour une femme du XXIème siècle, vivant à Paris et ayant fait de bonnes études, de la voir ainsi démunie face à la religion et être autant écrasée sous le poids des traditions.
Autant, cela m'avait paru presque normal dans "la répudiée" où l'épouse était soumise à la communauté de Mea Shearim, autant là, je trouve le trait fortement exagéré. Mais cela reste un roman agréable à lire, et au moins quelques découverte sur les femmes dans le judaïsme.
Une grande préférence pour son cycle de Quram.
http://www.parolesdefemmes.org/index.php?option=com_content&view=article&id=90:le-statut-de-la-femme-en-debat-dans-le-judaisme&catid=48:communiques&Itemid=56
citations :
Mais où commence l'adultère ? Au premier regard ? Au premier baiser ? A la première caresse ?L'adultère commence au premier regard, en effet : celui que votre mari ne vous accorde plus.
Je n’étais pas aliénée par la loi, mais par ma décision d’obéir à la loi. Ce n’était que parce que j’acceptais ce système que j’en étais la victime
Anna vit à Paris avec sa fille. Divorcée civilement depuis 3 ans de Simon, elle est profondément religieuse et désire que son mariage soit également annulé religieusement. Elle souhaite refaire sa vie avec Sacha Steiner et avoir un enfant de lui. Devenu agounah (femme adultère), elle craint d'avoir un enfant tenu pour mamzer (batard).
Mais Simon la fait chanter, en lui faisant miroiter un guet qu'il lui refuse toujours.
Nous suivons ses démarches auprès de son ex-mari, des rabbins, et d'avocat. Elle finira par se rendre en Israël pour obtenir ce guet auprès d'un Beth Din (tribunal rabbinique).
Heureuse et croyant enfin être libérée, elle présente son annulation au rabbins de Paris, qui le lui refusent, ils ne sont pas obligés d'appliquer les décisions du Beth Din d'Israël. En leurs présence, son mari accepte finalement de lui remettre le guet... avec la mention : "Et te voici permise à tout homme ... sauf à Sacha Steiner...
La porte se referme sur le ventre rond de Anna...
.moyen - intéressant du point de vue des embûches qui attendent les femmes juives voulant divorcer religieusement. Par contre l'histoire elle-même me semble empreinte d'une très grande naïveté.
Assez étonnant pour une femme du XXIème siècle, vivant à Paris et ayant fait de bonnes études, de la voir ainsi démunie face à la religion et être autant écrasée sous le poids des traditions.
Autant, cela m'avait paru presque normal dans "la répudiée" où l'épouse était soumise à la communauté de Mea Shearim, autant là, je trouve le trait fortement exagéré. Mais cela reste un roman agréable à lire, et au moins quelques découverte sur les femmes dans le judaïsme.
Une grande préférence pour son cycle de Quram.
http://www.parolesdefemmes.org/index.php?option=com_content&view=article&id=90:le-statut-de-la-femme-en-debat-dans-le-judaisme&catid=48:communiques&Itemid=56
coup d'oeil dans le dictionnaire
le guet
Dans la loi juive (« halakhah ») c’est le mari et non un Tribunal civil ou rabbinique qui prononce ou accorde le divorce religieux (« guet »). Si l’homme refuse de donner le « guet » à son épouse, celle-ci devient une « agounah », littéralement une femme ancrée à son statut marital pour une période qui peut-être indéterminée
Certes, la femme peut, elle aussi, initier cette procédure de divorce religieux, en demandant le « guet » à son mari, auprès d’un Tribunal rabbinique. Elle peut également refuser le « guet » mais dans un cas comme dans l’autre – refus du mari de donner le « guet » ou refus de l’épouse de l’accepter - les conséquences ne sont pas les mêmes pour l’homme et pour la femme.
En effet, lorsque l’époux n’accorde pas le divorce religieux à sa femme ou que celle-ci le refuse, l’homme peut avoir des rapports affectifs et sexuels avec une autre femme non mariée, cette relation ne sera pas sanctionnée comme un acte adultérin. Et si des enfants naissent de cette union, ils ne seront pas considérés comme illégitimes (« mamzérim ») ; statut qui les empêcherait de se marier avec d’autres Juif(ves).
Par contre, l’inverse n’est pas vrai, autrement dit, si une femme attend le divorce religieux que son mari ne lui accorde pas ou si elle refuse d’accepter le « guet » : elle ne peut avoir de relations affectives et sexuelles avec un autre homme à moins de commettre un acte adultérin. De surcroît, des enfants nés de cette union seraient considérés comme illégitimes (« mamzérim »).
Il faut ajouter à cette dissymétrie originelle de la loi juive que l’homme doit donner le « guet » de son plein gré et non de façon forcée. A défaut de quoi, le « guet » serait invalide.
Pour lire la suite : http://judaismes.canalblog.com/tag/divorce%20juif%20religieux%20(%22guet%20ou%20get%22)
la kétoubbah
A ketubah est a Mariage juif contrat. C'est le contrat officiel entre la jeune mariée et se toilette, qui sont considérés officiellement mariés le moment ils sont signés.
Ketubot (le pluriel pour le ketubah) ont beaucoup de différents modèles de langue et de conceptions, selon la croyance et les traditions des couples. Traditionnellement, la langue du ketubah formalise les diverses conditions par Torah d'un mari juif force de à de force son épouse (e.g. lui donnant à ressources proportionnées pour la robe, rapports sexuels), et stipule la somme à payer par lui en cas de divorce, ce qui est 200Zuz (une devise de Talmudic) - a généralement considéré la somme se soutenir financièrement pendant une année complète. Juifs Orthodoxesemployez traditionnellement cette langue dans leur ketubot, écrit dans l'araméen. Juifs Conservateurs combinez traditionnellement ce texte avec un paragraphe additionnel, a appelé la clause de Lieberman, quelles vues plus modernes d'ensembles sur le divorce. Juifs De Réforme etinterconfessionnel les couples optent souvent pour une langue plus égalitaire, semblable à la tonalité aux voeux de mariage, ce qui soulignent les valeurs sur lesquelles elles basent leur rapport et mariage (amour, compagnie, famille, tradition, etc...). Puisqu'il y a une variété de textes disponibles, betrothed des couples consultent souvent leur rabbin ou mariage officiant afin de déterminer quel texte de ketubah est droit pour eux.
Le ketubah est l'une des formes prédominantes d'art juif, ou judaica, trouvé dans la maison. Ketubot sont souvent accrochés en évidence dans la maison par les ménages mariés comme rappel quotidien de leurs voeux et responsabilités entre eux. Ketubot ont été faits dans un éventail de conceptions, habituellement suivant le goût et les modèles de l'ère et de la région dans lesquelles ils sont faits. Beaucoup de couples suivent la tradition juive du mitzvah de hiddur qui réclame les objets cérémonieux tels que le ketubah à rendre aussi beau comme possible. Ils choisissent une conception qui reflète leur goût artistique et leurs sentiments au sujet de mariage. Beaucoup de conceptions incorporent le symbolisme religieux ou séculaire, comme l'arbre de la vie, le Tenir le premier rôle de David, Jérusalem, ou images de nature.
agouna : Litt. « ancrée » à son mari. Sans l'acte de divorce (guet) que lui accorde son mari, une femme juive ne peut officiellement se remarier ; elle est dite alors agouna.
mamzer : Un mamzer (hébreu : ממזר) est un enfant né d'une relation illicite, définie par la Halakha soit comme un adultère, soit comme un inceste. Le mamzer a un statut spécial au sein du judaïsme.
Si une femme mariée a un enfant d'un autre homme
que son mari, l'enfant est considéré selon la Torah
comme mamzer "adultérin", et ni lui ni sa
descendance ne pourront épouser juifs / juives.
Selon la halakha le mamzer peut épouser un(e)
autre mamzer ou un(e) converti(e)
ils en parlent...
http://www.readingintherain.com/2011/06/et-te-voici-permise-a-tout-homme-e-abecassis/
http://www.francisrichard.net/article-et-te-voici-permise-a-tout-homme-d-eliette-abecassis-87485500.html
http://www.francisrichard.net/article-et-te-voici-permise-a-tout-homme-d-eliette-abecassis-87485500.html
Éliette Abécassis, née le 27 janvier 1969 à Strasbourg en France, est une femme de lettres française.
Ancienne élève de l'École normale supérieure, elle a obtenu l'agrégation de philosophie et enseigne la philosophie à la faculté de Caen. Son père,Armand Abécassis, enseigne la philosophie et est un historien renommé de la pensée juive. Elle-même est pratiquante et son éducation et sa vie sont baignées de la religion et de la culture juives.
Pour son premier roman Qumran, elle ne s'est pas contentée de ses connaissances préalables sur le monde hébreu, elle a poussé ses recherches jusqu'en Israël, à Jérusalem, à Qumran et est allée aussi aux États-Unis afin d'obtenir le plus de renseignements possibles. Les recherches auront duré trois années. Elles seront payantes : Qumran sort en 1996 et obtient immédiatement un succès énorme, il est alors traduit en dix-huit langues. Les principales maisons d'édition avaient refusé le manuscrit, jusqu'à ce que Ramsay, qu'Éliette Abécassis a pu connaître grâce à son père, accepte avec enthousiasme.
L'année suivante elle commence à enseigner la philosophie à Caen et publie L'Or et la cendre, l'histoire mystérieuse du meurtre d'un théologien berlinois, toujours aux éditions Ramsay.
En 1998, Éliette Abécassis écrit un essai sur le Mal et l'origine philosophique de l'homicide : Petite Métaphysique du meurtre aux PUF.
.En septembre 2000, elle publie son nouveau roman chez Albin Michel La Répudiée. Elle reçoit le Prix des écrivains croyants 2001 et est finaliste au Grand Prix du roman de l'Académie française et pour le Prix Fémina. Ce roman s'inspire du scénario qu'elle a écrit pour le film Kadosh du réalisateur israélien Amos Gitaï. Pour élaborer ce scénario, Éliette Abécassis a vécu six mois dans le quartier très orthodoxe de Jérusalem, Mea Shearim.
.En septembre 2000, elle publie son nouveau roman chez Albin Michel La Répudiée. Elle reçoit le Prix des écrivains croyants 2001 et est finaliste au Grand Prix du roman de l'Académie française et pour le Prix Fémina. Ce roman s'inspire du scénario qu'elle a écrit pour le film Kadosh du réalisateur israélien Amos Gitaï. Pour élaborer ce scénario, Éliette Abécassis a vécu six mois dans le quartier très orthodoxe de Jérusalem, Mea Shearim.
En 2001, Le Trésor du temple relate la suite de Qumran sur les traces des Templiers : Ary Cohen et Jane Rogers se retrouvent pour enquêter sur le secret du temple de Jérusalem. La trilogie de Qumran emprunte avec talent la forme du roman d'aventure et de suspens mais dissimule dans les intrigues une véritable érudition et une réelle ambition métaphysique.
La même année, elle réalise le court-métrage «La nuit de noces» dont le scénario est co-écrit avec Gérard Brach.
En 2002 paraît le roman Mon père, qui raconte la remise en cause d'une relation père-fille idyllique tandis que Qumran est adapté en bande dessinée par Gémine et Makyo.
En 2003, son roman Clandestin raconte l'histoire d'un amour impossible. Il fait partie de la sélection des douze livres du Prix Goncourt.
En 2004, paraît le dernier volet de Qumran, La dernière tribu.
En 2005, avec son roman Un heureux événement, Éliette Abécassis aborde le thème de la maternité. Elle réalise également le documentaire-fictionTel Aviv la vie, avec Tiffany Tavernier.
En 2007, elle publie avec Caroline Bongrand, un essai sur les femmes d'aujourd'hui, intitulé Le Corset invisible.
En 2009, elle publie le roman Sépharade, dont l'héroïne dans sa quête existentielle va s'immerger dans le monde des juifs sépharades du Maroc.
En 2011, elle publie "Et te voici permise à tout homme" où elle raconte les difficultés d'obtenir le divorce religieux.
souvenir de lecture
La Répudiée - excellent
Le but de l'amour physique est la procréation. Ainsi le proclame le Talmud, ainsi en est convaincu Nathan qui a épousé Rachel il y a dix ans, sans lui donner d'enfants. Pour lui, dont les journées à Mea Shearim, quartier juif ultra-orthodoxe de Jérusalem, battent au rythme de l'étude et de la prière, la décision est évidente même si elle le torture : le jour de leur dixième anniversaire de mariage, il répudiera sa femme. Ce récit déchirant emprunte le ton des récits ancestraux. Discours épuré des débuts ou de la fin du monde, car chaque jour qui rapproche Rachel de la date fatale la fait osciller entre les deux. Son chant d'amour a la beauté du Cantique des cantiques, dont elle enveloppe, infiniment, l'homme qu'elle aime.
En 1999, Éliette Abécassis écrivit, avec Amos Gitaï, le scénario de Kadosh, dont La Répudiée est la fidèle réplique. Éliette Abécassis est aussi l'auteur de Qumran, un premier roman (écrit à l'âge de 27 ans) qui connut un vif succès, de L'Or et la Cendre (1997) et d'un essai, Petite Métaphysique du meurtre (1998).
Sépharade - moyen
Peut-on échapper à son destin ? A celui qu'on choisit pour vous ? se demande Esther Vital. Juive marocaine née à Strasbourg, écrasée par le poids de la tradition et de la famille, mais aussi déchirée par la nostalgie des paradis abandonnés - l'Espagne de Cordoue à Tolède, le Maroc, de Mogador à Fès -, Esther tente de savoir qui elle est, dans l'illusion de la liberté. Lorsqu'elle choisit l'amour comme évasion, tout ce à quoi elle pensait avoir échappé la rattrape. La veille de son mariage, vêtue de la robe pourpre des promises sépharades, Esther découvre les maléfices du mauvais oeil, et le terrible secret qui la marque... A travers cette quête des origines, Eliette Abécassis explore avec émotion et érudition l'histoire des juifs marocains, depuis l'Inquisition jusqu'à l'époque contemporaine, leurs rivalités, leur culture et leurs croyances. Voici le grand roman du monde sépharade.
Qumran - très bien
Archéologue, descendant direct d'Abraham, David Cohen est chargé par Shimon Delam, un chef de l'armée d'Israël, d'une mission bien peu évidente : retrouver l'un des célèbres rouleaux des Manuscrits de la Mer morte, perdu ou plus vraisemblablement volé. Ary, le fils de l'archéologue, va être le véritable héros de cette quête initiatique mais dangereuse. Au fil de son enquête, il va s'apercevoir que nombreux sont ceux qui s'intéressent à ces manuscrits, lesquels contiendraient surtout des explications surprenantes et difficiles à dévoiler sur l'origine du christianisme. Mais dans le monde entier, ceux qui s'intéressent à ces énigmes sont en danger de mort. C'est en tout cas ce que tend à prouver la découverte d'un premier corps crucifié. Comme Jésus...
Depuis qu'un jeune bédouin les a trouvés par hasard dans une grotte en 1947, les Manuscrits de la Mer morte n'en finissent plus de susciter polémiques et débats d'experts. C'est cette toile de fond qui donne l'occasion à la toute jeune Eliette Abécassis (vingt-sept ans à la sortie de la première édition), agrégée de philosophie, d'élaborer un thriller théologique surprenant, au carrefour du roman d'aventures et de la réflexion sur les religions. L'enquête ramène sans cesse aux textes anciens, balaie plus de 5 000 ans d'Histoire... et a fait logiquement de ce livre un best-seller international, vendu à plus de 100 000 exemplaires. Cette réédition est publiée à l'occasion de la sortie du Trésor du temple, où l'on retrouve le jeune héros Ary et sa grande culture théologique.
Le Trésor du temple - bien
Avril 2000, désert de Judée. Un archéologue sacrifié sur un autel, près des grottes de Qumrân. Les services secrets israéliens en état d'alerte. Ary, le héros de Qumrân, est à nouveau plongé au cœur d'une des plus extraordinaires énigmes de l'Histoire, qui unit, au fil des siècles, les Esséniens, les Templiers et la secte des Assassins. Et, remontant du fond des âges, le mystère du trésor du Temple. Un thriller messianique où Eliette Abécassis, renouant avec l'univers romanesque qui a fait le succès international de Qumrân, allie avec virtuosité l'érudition historique et théologique au roman d'aventures.
La dernière tribu - bien
La dépouille d’un homme assassiné il y a 2000 ans vient d’être découverte dans un sanctuaire japonais de Kyoto. L’homme, qui vivait au Tibet avant d’être mystérieusement transporté au Japon tient encore dans sa main un fragment de manuscrit couvert d’une écriture hébraïque. Qui fut cet homme ? C’est à Ary Cohen, messie des Esséniens, scribe à Qumran, que la mission de découvrir son origine va être confiée. Au fil de son enquête, qui le conduit d’Israël au Japon puis au Tibet, Ary va peu à peu découvrir que la religion initiale du Japon, le shintoïsme, découle directement de la religion hébraïque, car lors de la dispersion des tribus d’Israël, l’une d’entre elle a atteint ce pays et perpétué dans l’exil son culte.
Parallèlement à cette quête rebondissant d’énigmes, en fausses pistes, Ary recherche désespérément la femme de sa vie, Jane. C’est pour elle qu’il a quitté les Esséniens. Or la jeune femme, agent de la C I A, se trouve également au Japon
Parallèlement à cette quête rebondissant d’énigmes, en fausses pistes, Ary recherche désespérément la femme de sa vie, Jane. C’est pour elle qu’il a quitté les Esséniens. Or la jeune femme, agent de la C I A, se trouve également au Japon
L'Or et la Cendre - bien
Qui a tué Carl Rudolf Schiller, un théologien berlinois de renommée mondiale, et coupé soigneusement son cadavre en deux ? Raphaël Zimmer, un jeune historien spécialisé dans la Seconde Guerre mondiale, se laisse convaincre par son ami, le journaliste Félix Werner, de l'aider dans son enquête. De Paris à Washington, de Rome à Berlin, ils vont rencontrer des théologiens juifs et catholiques, des historiens, rescapés des camps nazis, des résistants et d'anciens collaborateurs. Enfin apparaît Lisa Perlman, sculpteur, figure lumineuse dont Raphaël s'éprend, et dont la famille semble détenir des secrets qui pourraient permettre d'élucider ce meurtre. Mais au-delà de l'amour, Raphaël, Félix et tous les autres sont confrontés au problème terrifiant du Mal. Le Mal, qui, entre ceux qui tentent de dire la Shoah et ceux qui se murent dans le silence, ceux qui veulent croire encore en Dieu et ceux qui ont perdu la foi, continue à frayer son chemin dans le monde... Après l'immense succès de Qumran, Eliette Abécassis nous donne un deuxième roman passionnant comme un thriller, en même temps qu'une réflexion aiguë et lucide sur les valeurs et les désarrois de notre temps.
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