|
encore perdu le mot de passe de twitter ! plus qu'à le re-demander une fois de plus et de me désabonner... trop de trucs et de machins où je perds du temps... et puis choisir entre facebook et google+ serait une bonne chose...
le livre en cours...
la pétition ... http://www.facebook.com/event.php?eid=212135755521941
acheté chez mon libraire Librairie Du Pincerais
117 Rue Général de Gaulle -
78300 Poissy
Arrivée poussivement à la page 325... et pourtant l'histoire est intéressante...
éphéméride 12 novembre
.954 : Sacre à Reims du roi des Francs Lothaire.
..souvenir de lecture et de théatre télévisé...http://lesquotidiennesdeval.over-blog.com/article-un-challenge-victor-hugo-85719228.html
premier maire de Paris est guillotiné.
Jean-Sylvain Bailly est le petit-fils de Nicolas Bailly, peintre du roi et garde des tableaux de la Couronne qui le destinait à la peinture.Nicolas Bailly est le fils de Jacques Bailly qui était aussi un peintre.N.Bailly préfère les lettres et les sciences. Il travaille d’abord pour le théâtre, mais lié àLacaille, il s’intéresse très tôt à l’astronomie et fait construire un observatoire sur le toit du Louvre à Paris. Ses observations astronomiques lui valent son élection à l’Académie des sciences en 1763. Peu avant la révolution, il aide Alexandre Lenoir à sauvegarder le patrimoine français.
Son Histoire de l’Astronomie, œuvre littéraire autant que scientifique, lui ouvre les portes de l’Académie française, où il est élu membre en 1783, grâce à la persévérance de son ami Buffon et malgré l'opposition de d'Alembert. Après son exécution, il ne sera remplacé que lors de la création de la seconde classe de l’Institut de France, en 1803, par Emmanuel Joseph Sieyès. C'est Arago qui prononce son éloge à l’Académie des sciences en 1844.-wikipédia
1890 : « Toast d'Alger ».
Le prélat, à 65 ans, jouit en France et dans le monde d'un immense prestige dû à son ouverture d'esprit et à son action missionnaire. Il a fondé les Pères blancs et les Soeurs missionnaires de Notre-Dame d'Afrique. Deux ans plus tôt, en 1888, il s'est aussi lancé dans une vigoureuse campagne contre l'esclavage...
Le pape Léon XIII souhaite en finir avec les querelles sans fin entre l'Église catholique et les dirigeants laïques de la IIIe République, qui divisent la France et empêchent les catholiques de participer à la vie politique de leur pays. Il fait donc appel au cardinal pour amorcer le Ralliement des catholiques au «gouvernement actuel de leur pays».
C'est le fameux «toast d'Alger» :
«Quand la volonté d'un peuple s'est légalement affirmée, quand la forme d'un gouvernement n'a rien de contraire aux principes qui seuls peuvent faire vivre les nations chrétiennes et civilisées ; quand, pour tenter d'arracher son pays aux abîmes qui les menacent, il faut l'adhésion à cette forme de gouvernement, le moment vient de déclarer, enfin, l'épreuve faite et de sacrifier tout ce que la conscience et l'honneur ordonnent à chacun de nous de sacrifier pour le salut de la religion et de la patrie. C'est ce que j'enseigne autour de moi. Et ce que je souhaite voir enseigner en France par tout notre clergé et, en parlant ainsi, je suis certain de n'être désavoué par aucune voix autorisée».
«Quand la volonté d'un peuple s'est légalement affirmée, quand la forme d'un gouvernement n'a rien de contraire aux principes qui seuls peuvent faire vivre les nations chrétiennes et civilisées ; quand, pour tenter d'arracher son pays aux abîmes qui les menacent, il faut l'adhésion à cette forme de gouvernement, le moment vient de déclarer, enfin, l'épreuve faite et de sacrifier tout ce que la conscience et l'honneur ordonnent à chacun de nous de sacrifier pour le salut de la religion et de la patrie. C'est ce que j'enseigne autour de moi. Et ce que je souhaite voir enseigner en France par tout notre clergé et, en parlant ainsi, je suis certain de n'être désavoué par aucune voix autorisée».
Mais avant que le toast n'ait produit la réconciliation attendue, l'Affaire Dreyfus va raviver la fracture entre militants catholiques et laïcs ! Il faudra encore beaucoup d'années, une quinzaine, avant que les extrémistes des deux camps ne laissent la place à une cohabitation de bon aloi, fondée sur la séparation des Églises et de l'État.- http://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=18901118
est exclu du Parti communiste de l'Union soviétique.
De tous les événements inattendus, le plus inattendu c'est la vieillesse.
Né dans une famille de paysans juifs, Léon Trotski, de son vrai nom Lev Davidovitch Bronstein, adhère, alors qu'il est étudiant en droit, à l'idéologie social-démocrate. Cette prise de position est à l'origine de son arrestation, à l'âge de 19 ans, puis de sa déportation en Sibérie. Il s'enfuit en Angleterre où il rencontre Lénine. Mais au congrès de Londres de 1903, il se rallie aux menchéviques, une faction du parti ouvrier social-démocrate russe opposée aux bolcheviques. Pendant la révolution de 1905, il préside leSoviet ou conseil de Saint-Pétersbourg, mais il est arrêté. Il parvient encore à s'échapper, puis s'exile notamment àVienne où il fonde le journal La Pravda. Il crée la théorie de la révolution permanente, une révolution bourgeoise et prolétarienne qui doit gagner d'autres pays afin d'éliminer leféodalisme. Il retourne en Russie après dix années d'exil et rallie finalement les bolcheviques. Il devient l'un des protagonistes de la révolution d'Octobre. A 29 ans, il estcommissaire du peuple à la Guerre. Durant la guerre civilerusse, il fonde et dirige l'Armée rouge. S'opposant à l'arrivée au pouvoir de Staline, il est relevé de ses fonctions et exclu du parti. Il s'exile une nouvelle fois, à Alma-Ata puis est expulsé d'URSS. En 1933, il s'installe en France, puis enNorvège et au Mexique en 1936. Deux ans plus tard, Léon Trotski fonde la IVe Internationale mais est assassiné à la demande de Staline, à l'âge de 61 ans.
souvenir de lecture...Ma vie de Léon Trotsky
1933 : En Allemagne, des élections non libres
pour le renouvellement du Reichstag ont lieu ;
le NSDAP (parti nazi) obtient la majorité absolue.
Aux élections fédérales de mars 1933, le parti national-socialiste obtient 17,28 millions de voix représentant 43,9 % du corps électoral. Il n'a donc pas la majorité absolue, ce qui constitue un demi-échec, vu les conditions du scrutin. Dès le lendemain des élections, les SA s'attaquent aux gouvernements locaux qui ne sont pas aux ordres du NSDAP. Ils envahissent les gouvernements locaux, les directions de la police régionale où ils hissent le drapeau national-socialiste. Aussitôt, Frick considère que le gouvernement local n'est plus en mesure de maintenir l'ordre dans le Land et nomme à sa place un commissaire du Reich nazi. Les partisans d'Hitler déstabilisent ainsi le pouvoir légal pour pouvoir le remplacer. Le stratagème est utilisé à Hambourg le 5 mars, à Brême, Lübeck le 6, en Hesse le 7, en Saxe, Würtemberg et Bade le 8. Seule la Bavière tente de résister mais se soumet le 16 mars au pouvoir national-socialiste. Certains conservateurs finissent par protester contre les violences de SA. Mais Hitler prend ouvertement leur défense et menace à mots couverts les protestataires.
Goebbels, désormais ministre de l'éducation du peuple et de la propagande, met au point les derniers stratagèmes pour désarmer toute opposition. Lors d'une cérémonie à la mise en scène soignée, Hitler rend hommage devant toutes les forces sociales et religieuses, sauf les partis de gauche, aux « martyrs » du parti national-socialiste. Il s'agenouille ensuite devant le président Hindenburg, symbole de l'Allemagne éternelle. Cette mise en scène, filmée et radiodiffusée dans toute l'Allemagne donne aux Allemands un sentiment d'unité. Le 20 mars, les nationaux-socialistes obtiennent le soutien du Zentrum. Le 23 mars, le Reichstag, réuni à l'opéra Kroll, est entouré par les SA et les SS qui exigent le vote des pleins pouvoirs pour leur chef. Il lui faut réunir les deux tiers des suffrages des députés. Hitler lui-même apparaît en tenue de SA. Seuls les 94 députés du Parti social-démocrate (SPD) osent s'opposer (les députés communistes étant emprisonnés). 444 députés votent l'« acte d'habilitation ». La Gleichschaltung (« mise au pas » du pays) est en marche. Le même jour est ouvert à Dachau, en Bavière, le premier camp de concentration. Il reçoit les opposants politiques.
1948 : Le tribunal de Tōkyō (pendant du tribunal de Nuremberg) rend son verdict ; huit accusés sont condamnés à la peine capitale, la plupart des autres à la réclusion à perpétuité.-wikipédia
.
Peu après son mariage, Stanton assiste à une scène qui la frappe durablement et joue un rôle fondamental dans son parcours militant. En guise de voyage de noce, le jeune couple se rend à Londres pour la Convention internationale contre l’esclavage de 1840. À leur grande stupeur, les représentantes des délégations de Boston et de Philadelphie se voient dans un premier temps refuser l’entrée de la réunion, au motif qu’elles sont des femmes. Les protestations de quelques délégués et des heures de débats houleux leur ouvrent finalement les portes de la salle mais les femmes sont tenues de s’asseoir derrière un rideau qui les soustrait à la vue des participants masculins ; la prise de parole leur est bien entendu interdite. Elles sont rejointes par deux militants américains, William Lloyd Garrison et Nathaniel Peabody Rogers qui, arrivés au milieu du débat, choisissent de partager leur infortune par solidarité18. Venue pour accompagner son mari, Elizabeth partage l’indignation des déléguées officielles et se rapproche à cette occasion de Lucretia C. Mott, une militante d’expérience venue de Philadelphie, avec qui elle tisse des liens durables.
Stanton organise avec Lucretia Mott et quelques autres la « Convention des droits de la femme », qui se tient à Seneca Falls les 19 et 20 juillet 1848 et constitue l'acte fondateur du mouvement pour les droits des femmes aux États-Unis. Elle y fait adopter un manifeste intitulé la Déclaration des droits et des sentiments dans lequel elle est parvenue à faire inclure la revendication du suffrage féminin.
Pendant les années 1850, le droit de vote partage les préoccupations de Stanton avec la question de la réforme du statut des femmes mariées. Elle reprend à cette occasion le flambeau porté par certaines pionnières, comme Ernestine Rose, dans les années 183019. La jouissance de ses biens et de son salaire par l’épouse, le droit à l'héritage ou encore l’autonomie juridique sont autant de points sur lesquels Stanton s’attache à attirer l’attention du législateur. Elle s’attaque même à la libéralisation du divorce, domaine dans lequel elle fait figure de pionnière.
La rencontre avec Susan B. Anthony, orchestrée par Amelia Bloomer, est l’origine d’une association féconde. Pendant plusieurs décennies, les deux femmes travaillent de concert, se partageant les rôles en fonction de leur tempérament mais surtout des contraintes matérielles qui pèsent sur Stanton. Cette dernière mène en effet de front une carrière de mère et une carrière militante qui, à mesure qu’elle s’engage sur plusieurs fronts, exige un disponibilité toujours plus importante. Son journal est ainsi émaillé de scènes cocasses où elle doit simultanément faire face aux débordements de ses jeunes garçons et aux injonctions d’Anthony lui pressant de lui rendre au plus vite son prochain discours20. Dans ce partage des tâches, Stanton joue le rôle de rédactrice tandis qu'Anthony se fait la porte-parole du mouvement, parcourant le pays en tout sens pour y répandre les idées jetées sur le papier par sa comparse.
Elle est nommée présidente de la « radicale » National Woman Suffrage Association qu'elle fonda avec Susan B. Anthony, puis de celle qui lui succéda, la National American Woman Suffrage Association (NAWSA).
Elle est décédée le 26 octobre 1902, avant d'avoir pu assister à l'aboutissement du combat de toute sa vie avec l'adoption par le Congrès des États-Unis en 1919 de l'amendement sur le droit de vote des femmes. - wikipédia
1817 : Bahá'u'lláh,
Le bahaïsme aussi connu sous le nom de religion bahá’íe (prononcer baˈhaːʔiː), béhaïsme ou de foi bahá'ie est une religion monothéiste dont le but est d'unir l'humanité dans sa diversité (cette perspective se retrouve déjà chez le poète saint Kabir né au XVe siècle en Inde). Il a été fondé par le Persan Mirzâ Husayn 'Alî (1817-1892) en 18631. Ce nom est dérivé du surnom donné à son fondateur : Bahá'u'lláh (en arabe, « Gloire de Dieu » ou « splendeur de Dieu »). Les bahá'is sont les disciples de Baha'u'llah. Ils s'organisent autour de plus de 100 000 centres (répertoriés par le centre mondial de Haïfa) à travers le monde, et leurs écrits sont publiés en plus de 800 langues. En 2007, cette religion comptait environ 7 millions de membres appartenant à plus de 2100 groupes ethniques, répartis dans plus de 189 pays2. Son centre spirituel (lieu de pèlerinage) et administratif est situé à Haïfa et Acre, en Israël.
Le fondateur de la foi bahâ'ie, Mirzā Husayn 'Ali, naît à Nur, dans la province iranienne du Mazanderan, le 12 novembre 1817, dans une famille noble, son père travaillait pour le gouvernement du shah d'Iran. À 27 ans, lorsque son père meurt, on lui propose de le remplacer à la cour du roi. Mais il refuse, afin de consacrer son temps à aider les opprimés, les malades et les pauvres, à soutenir la cause de la justice. À trente ans, il adhère au bâbisme. En 1852, il est arrêté puis envoyé en exil à Bagdad, qui dépend alors de l'Empire ottoman. Au terme de 10 années d'exil dans cette ville, c'est au cours des 12 jours du "festival de Riḍván", du 22 avril 1863 au 3 mai 1863, qu'il révèle à son entourage sa revendication d'être celui dont l'avènement a été annoncé par le Bâb— cette manifestation suprême de Dieu attendue par certaines religions monothéistes. Il commence alors à regrouper autour de lui des adeptes, avec l'intention de donner le jour à une religion mondiale, qui représenterait le « couronnement de toutes les religions ayant jusqu'alors existé » et serait sur terre la pierre angulaire d'un royaume de paix, de justice, de liberté et d'humanité. Il est alors contraint de quitter Bagdad pour se rendre à Constantinople, puis en 1864 à Andrinople et enfin en 1868 à Akka (Saint Jean d'Acre) en Palestine sous administration ottomane.
Bahá'u'lláh exerce sa prédication essentiellement par des écrits, rédigés dès 1863 - d'abord à Bagdad, puis à Andrinople et enfin à la prison de Saint-Jean-d'Acre (Akkâ), où il écrit son ouvrage principal (le Kitáb-i-Aqdas). À Andrinople en 1868, il adresse des messages écrits aux dirigeants les plus éminents de son temps, parmi lesquels le shâh de Perse, le tsar de Russie Alexandre II, la reineVictoria, l'empereur Guillaume Ier, Napoléon III et le pape Pie IX, qu'il exhorte à construire un monde totalement sans violence, à limiter leurs armements et à réaliser une paix mondiale généralisée et durable.
Bahá'u'lláh passe les quarante dernières années de sa vie en exil ou en prison. Ainsi, d'août 1868 jusqu'en 1877, il est enfermé dans le camp d'internement turc d'Akkâ, près de Haïfa. Puis il s'installe en dehors de cette ville à la campagne au manoir de Bahjí, où il s'éteint et est enterré le 29 mai 1892. Ce lieu est devenu la qiblih pour les baha'is, la direction vers laquelle ils se tournent pour accomplir le rite de la prière obligatoire (ṣalát).- wikipédia
1840 : Auguste Rodin, sculpteur français
Un art qui a de la vie ne reproduit pas le passé ; il le continue.
Sa statue d'Honoré de Balzac fit scandale (pour son apparence et sa préparation interminable) et la Société des gens de lettres, commanditaire de l'œuvre, la refusa. Rodin fit porter la sculpture dans sa villa de Meudon et c’est là que, quelques années plus tard, un jeune photographe allemand en découvrira la beauté et fera naître un mouvement d'opinion pour lui rendre sa juste place dans le monde de l'art. Ce n'est qu'en 1939 qu'un tirage en bronze en fut réalisé et érigé à Paris, boulevard Raspail. Rodin écrivait en 1908 : « Cette œuvre dont on a ri, qu’on a pris soin de bafouer parce qu’on ne pouvait pas la détruire, est la résultante de toute ma vie, le pivot de mon esthétique ».-wikipédia
.1875 : Aleister Crowley,
Fils d'une riche famille protestante fondamentaliste, il abjura la foi chrétienne à l'adolescence, après la mort de son père. À Cambridge, il changea son prénom d'Edward à Aleister et commença à s'intéresser à l'occultisme. Initié au sein de la Golden Dawn, il s'en détacha rapidement pour poursuivre sa propre voie ésotérique, basée sur une « magie sexuelle » sans tabou. Il dilapida sa fortune aux cours de ses recherches qui le menèrent partout dans le monde.
Il devint rapidement très controversé, tant pour ses mœurs sexuelles que pour ses idées occultes, mais aussi pour ses idées politiques. Germanophile, il devint indésirable en Grande-Bretagne avec la Première guerre mondiale. Il fut chassé de Sicile où il s'était installé, après divers scandales. Il continua ses errances. Il mourut d'une crise cardiaque liée à une bronchite chronique due à sa forte consommation de drogues. Il fut incinéré à Brighton et ses cendres auraient été perdues.
Aleister Crowley, joueur d'échecs, alpiniste, poète, peintre, astrologue, adepte des drogues, etc. est surtout connu pour ses écrits sur l'occultisme et particulièrement pour le Livre de la Loi, le livre sacré de Thelema. Crowley était également membre influent de plusieurs autres organisations occultes : l'A.'.A.'.et de l'Ordo Templi Orientis. Concernant cette dernière organisation, il participa même à la réécriture complète de ses rituels en fonction de la Loi de Thelema.
souvenir de lecture...
Dans le livre Au bonheur des ogres, Daniel Pennac identifie l'un des personnages (le professeur Léonard) comme étant la réincarnation d'Aleister Crowley.
Il incarne également un démon dans De bons présages des auteurs britannique Neil Gaiman et américain Terry Pratchett.
Crowley est également cité dans l'ouvrage de Dan Brown, Le Symbole perdu.
Egalement cité dans le roman d'Eric Giacometti et de Jacques Ravenne, Conjuration Casanova
..Il apparaît dans un chapitre du roman d'Ernest Hemingway, Paris est une fête. L'auteur le confond avec Hilaire Belloc.
..Il joue un rôle important dans le livre de Bob Garcia, Le testament de Sherlock Holmes , paru en 2005.
Le cimetière de Prague de Umberto Eco
1895 : Dolores Ibárruri dite la Pasionaria,
dirigeante du Parti communiste espagnol († 9 décembre 1989).
Mieux vaut mourir debout, que de vivre à genoux
Quand la guerre civile éclate en juillet, elle se dresse pour défendre la république avec le célèbre slogan «¡No pasarán!» (« Ils ne passeront pas »), prononcé, dès le 19 juillet, au balcon du ministère de l'Intérieur au moment de l'offensive franquiste contre Madrid. Au début de septembre, elle est en France pour une entrevue avec Léon Blum, qui, le 1er septembre, a opté pour la politique de non-intervention ; le 8 septembre, elle prononce un discours au Vélodrome d’Hiver.
Elle est élue vice-présidente des Cortes en 1937. Elle participe à plusieurs comités avec des figures telles que Palmiro Togliatti pour défendre la cause républicaine. Pour mettre fin à des critiques, son fils revient en Espagne et participe à la bataille de l'Ebre en 1938.
Par ailleurs, elle agit pour soutenir le moral des soldats républicains ou pour lutter contre les tendances défaitistes : ainsi, en 1938, elle dirige des manifestations à Barcelone devant les locaux du gouvernement républicain. C’est aussi elle qui, le 15 novembre 1938, à Barcelone, salue le rôle des Brigades internationales sur le point de quitter l’Espagne après leur dissolution.
Ces discours et actions lui assurent une grande popularité dans l’opinion communiste internationale et dans une partie de la population de la zone républicaine, notamment les femmes.
Cependant, au bout de trois ans d'affrontements sanglants, le gouvernement républicain doit reconnaître sa défaite et quitte le territoire espagnol ; les hostilités cessent le 1er avril 1939 avec l'entrée dans Madrid des forces franquistes.
1915 : Roland Barthes, écrivain
Je revendique le droit à l’ignorance
souvenir de lecture...Le degré zéro de l'écriture
1929 : Michael Ende, écrivain allemand
il y avait dans le monde des milliers et des milliers de formes de joie,
mais au fond toutes ces joies n'en faisaient qu'une : celle de pouvoir aimer
souvenir de lecture...L'Histoire sans fin
est un peintre allemand, membre du mouvement nazaréen.
mouvement artistique fondé au début du xixe siècle
par un groupe de six élèves artistes allemands.
Ces six élèves souhaitaient ardemment un renouveau de la peinture allemande, qui avait vu successivement l'influence notable du romantisme germanique succéder à Dürer, suivi, dans l'histoire de l'art par le mouvement Sturm und Drang puis de l'art bourgeois du Biedermeir. L'époque était aussi mouvementée : après avoir vu passer l'Aufklärung (« Les Lumières »), la sécularisation des biens ecclésiastiques, l'absolutisme et la monarchie constitutionnelle, le Saint-Empire romain germanique finissait aux alentours de 1806, c'est-à-dire à peu près au même moment que naissait le mouvement nazaréen. Ces six élèves, artistes à Vienne, définirent l'idéal nazaréen : le renouveau de l'art par la religion, en s'inspirant de Dürer et de Raphaël. De Vienne, ils partirent ensuite pour Rome. Le mouvement nazaréen allait ainsi devenir rapidement un mouvement collectif des régions catholiques du sud. Les peintres nazaréens, influencés à la fois par le catholicisme et le romantisme se donnèrent pour objectif de renouveler l'art religieux par l'étude des anciens maîtres italiens et allemands. Ainsi l'un des fondateurs du mouvement, Franz Pforr, déclara :
« Mon inclination m'attire à l'époque du Moyen Âge où la dignité de l'homme se montre encore dans toute sa vigueur. »
Les artistes suivants effectuent un voyage en Italie fondateur d'un mouvement réclamant une évolution par rapport au néoclassicisme qui les lasse : Johann Friedrich Overbeck, Franz Pforr, Ludwig Vogel(Ludwig Vogel (de)) and Johann Konrad Hottinger (Johann Konrad Hottinger (de)), dans le monastère abandonné de Saint-Isidore, à Rome. Les rejoignent Philipp Veit, Peter von Cornelius, Julius Schnorr von Carolsfeld, Friedrich Wilhelm Schadow (entre autres. Ils rencontrent le paysagiste romantique autrichien Joseph Anton Koch, qui deviendra le chef de file. Carl Joseph Begas s'inspire d'eux. En 1827, Joseph von Führich (Joseph von Führich (de)) se joint au mouvement.
De parents enseignants, Chester Himes grandit dans leMissouri avant de partir suivre les cours de l'université de Ohio, fait rarissime à l'époque. Il travaille pour financer ses études en étant liftier ou barman. Jusqu'au jour où il tombe dans une cage d'ascenseur vide. L'accident le laisse légèrement handicapé mais ne l'empêche guère de mener une vie dissolue à l'université. Himes se fait alors arrêter pour vol. Condamné à vingt ans de prison, il y découvre la littérature et écrit ses premières nouvelles dénonçant le racisme américain. Libéré au bout de sept ans d'emprisonnement, il part travailler en Californie tout en continuant d'écrire pour plusieurs parutions. Son premier roman, 'S' il braille, lâche-le ...', est publié en 1945, sans succès. Loin d'être découragé, il persiste en signant d'autresromans portant sur la thématique de l'insertion douloureuse, voire impossible, des Noirs dans la société américaine : 'La Croisade de Lee Gordon', 'La Troisième Génération'... Il s'installe à Paris en 1953 où il connaît enfin la reconnaissance littéraire notamment grâce à des romans policiers, dont le célèbre 'La Reine des pommes' (1958). En 1965, il part vivre en Espagne où il décède à l'âge de 75 ans. Chester Himes s'est illustré par le réalisme et la clairvoyance de ses écrits qui le couronnent aujourd' hui comme un emblème de la littérature noire américaine.
souvenir de lecture....http://mazel-livres.blogspot.com/2008/06/chester-himes-le-paradis-des-cotes-de.html
lu dans la presse
La mer Morte au Proche-Orient, la grotte de Jeita au Liban ou la baie d'Along au Vietnam : ces célèbres sites figurent parmi les 28 lieux mythiques qui rivalisent pour ravir le titre de l'une des sept merveilles de la nature.
A l'origine de ce vote mondial, la fondation suisse New7Wonders, qui a permis aux citoyens du monde de choisir les "sept nouvelles merveilles de la nature". Lesopérations de vote ont pris fin vendredi matin. Une liste préliminaire des gagnants sera publiée à 19 h 7 GMT (20 h 7, à Paris), indique la fondation sur son site.
Cinq jours avant la fin des votes, 10 lieux figuraient en haut du classement : la mer Morte, le Grand Canyon aux Etats-Unis, la grande barrière de corail en Australie et Papouasie-Nouvelle-Guinée, la baie d'Along au Vietnam, la grotte de Jeita au Liban, l'île de Jeju en Corée du Sud, l'île de Komodo en Indonésie, la rivière souterraine dePuerto Princesa aux Philippines, la forêt de Sundarbans au Bangladesh et le Vésuve en Italie.
Toutefois, les dernières tendances enregistrées sur le site permettaient deconstater une forte progression des votes en faveur de la Forêt-Noire en Allemagne et des îles Maldives.
Cette opération est le résultat d'un long processus. De décembre 2007 à juillet 2009, tous les citoyens du monde ont été invités par la fondation New7Wonders àproposer les sites de leur choix, sur les cinq continents. Plus d'un million de votes avaient alors été enregistrés dans plus de 220 pays. Ensuite, un comité d'experts nommés par la fondation New7Wonders a proposé officiellement 28 sites sur les 77 présélectionnés.
La fondation New7Wonders a été créée en 2001 par Bernard Weber, sur le principe des sept merveilles du monde antique établies par Philon de Byzance, durant l'antiquité grecque. La fondation, qui est basée à Zurich, en Suisse, s'est faitconnaître en 2007 avec un premier vote international concernant les sept nouvelles merveilles du monde, opération à laquelle avaient participé près de 100 millions de personnes, selon le site Internet.
du côté des livres
pour tous ceux qui aiment l'Histoire et les petites histoires, du nouveau sur le site... et des vidéos, j'adore !
.ça se passe chez Pimpi
. .Sur Catherine de Médicis est un roman historique d’Honoré de Balzac qualifié de « bricolé » par Claudie Bernard, à juste titre lorsqu’on lit l'histoire du texte qui s’échelonne de 1830 à 1842. Commencé à l’époque où Balzac produisait encore des œuvres de jeunesse directement inspirées de Walter Scott, terminé après la publication des principaux ouvrages de la Comédie humaine, cette œuvre en trois parties, à laquelle s'ajoute une quatrième en Introduction, oscille entre plusieurs genres : documentaire, plaidoyer, roman, conte fantastique, voire essai.
Dans l’Introduction, publiée en 1842 chez Souverain sous le titre Catherine de Médicis expliquée, Balzac exhorte le lecteur à réviser son jugement sur une reine considérée comme sanguinaire et qui eut pourtant à affronter de cruels dilemmes
La deuxième partie, le Martyr calviniste fait intervenir un personnage imaginaire : Christophe Lecamus, fils du fourreur de Catherine de Médicis , calviniste compromis dans les complots de la reine, qui affronte de terribles supplices et garde le silence pour ne pas compromettre la souveraine. Publiée en 1841 dans le Siècle, elle rejoint la section des Études philosophiques aux éditions Souverain en 1842. Cet épisode de la vie de l'écrivain Balzac est d'une certaine manière consigné dans Illusions perdues.
La troisième partie, la Confidence des Ruggieri, publiée en 1836 dans la Chronique de Paris, reprise en volume dans la section Études philosophiques en 1837, retrace les amours de Charles IX avec Marie Touchet quelque temps après le massacre de la Saint-Barthélemy.
La quatrième partie intitulée Les Deux rêves publiée en 1830 dans La Revue des Deux Mondes, puis en 1831 dans les Romans et contes philosophiques, est une forme de récit fantastique. Au cours d’un dîner au xviiie siècle deux convives, l’un avocat, l’autre chirurgien (Robespierre et Marat ?) racontent comment Catherine de Médicis leur est apparue en rêve pour glorifier les massacres purificateurs.
Les quatre parties seront réunies dans la deuxième édition Furne de la Comédie humaine en 1846.-wikipédia
Quelques dates à noter d'ores et déjà
avec des rendez-vous autour de certains auteurs :
avec des rendez-vous autour de certains auteurs :
le 15 décembre : Elizabeth Gaskell
le 22 décembre : William Wilkie Collins
le 29 décembre : Daphné du Maurier
le 2 janvier : Charles Dickens
le 12 janvier : Jane Austen
.Mais vite, cours chez ton libraire et achète le, tu verras, c’est un livre inoubliable !"
Alors voilà, pour jouer, euh, pardon participer, il vous faut :
Proposer une/ou plusieurs lecture(s) commune(s) ou vous inscrire à une existente. (relecture possible)
Le reste c’est comme d’habitude : un petit commentaire pour s’inscrire, un billet sur votre blog pour le valider, et les liens de votre blog au fur et à mesure que vous avez fini de lire.
ça se passe chez http://thebookaddictes.canalblog.com/archives/2011/11/11/22650256.html
..http://ogressedeparis.canalblog.com/archives/2011/11/12/22654621.html nous emmène faire un petit tour chez Dumas...
challenge Dumas : http://lacavernedankya.canalblog.com/archives/2010/11/23/19685142.html
challenge Dumas : http://lacavernedankya.canalblog.com/archives/2010/11/23/19685142.html
quelques images
A 3D shot inside a library by Eduardo Kobra, of Brazil. “The most important thing was to learn, socialize and learn, especially with all these great artists,” Kiobra said. “It was a unique experience that will certainly be repeated again.” (Milton Jung/Flickr)
Par : Stephanie Graham
un peu d'humour
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire