Londres, 1932. Depuis que la municipalité a attribué à la maison du major Hipwood le n° 221 à Baker Street, le salon du premier étage semble hanté. S'agit-il d'un esprit, comme le prétendent certains ? Existe-t-il un lien entre ces manifestations et la série de crimes qui ensanglante Whitechapel et les beaux quartiers du West End ?
Motivée par un funeste pressentiment, lady Conan Doyle, la veuve de l'écrivain, sollicite l'aide de deux détectives amateurs, Andrew Singleton et James Trelawney.
Lors d'une séance de spiritisme organisée à Baker Street, ces derniers découvrent avec effarement l'identité du fantôme. Et quand ils comprennent que les meurtres à la une des journaux imitent ceux commis par Jack l'Eventreur, Dracula, Mr Hyde et Dorian Gray, nos jeunes enquêteurs sont entraînés dans une aventure qu'ils ne sont pas près d'oublier. Un hymne enflammé à la littérature victorienne et à ses monstres sacrés !
- - en début de lecture, j'ai cru à un pastiche comme il y en a tant sur Sherlock Holmes... là, c'est plus original... et encore moins crédible...
Une belle balade dans le monde du spiritisme des années 30... ne manque pas d'humour et d'anecdotes sur Doyle, ce qui m'a vraiment intéressée...
Lecture agréable mais sans vraiment d'enthousiasme, un gentil roman intermédiaire, qui le lit vite... loin de de valoir l'original. Fort probable que j'oublie très vite de l'avoir lu.
Né en 1968, Fabrice Bourland vit et travaille en région parisienne. Avec quelques adeptes de la fiction courte, il a fondé en 1992 la revue L'Imbriaque, dans laquelle il a publié de nombreux textes et aphorismes sous le pseudonyme de Clément Destroit. Entre 1999 et 2004, il a été collaborateur puis rédacteur en chef de Nouvelle Donne, magazine consacré à l'actualité de la nouvelle. Depuis 2003, il dirige aux éditions Nestiveqnen une collection de littérature fantastique. Grand admirateur d'Edgar Poe, Jean Ray, Stevenson ou Hoffmann, ses textes ont été publiés dans différentes revues, collectifs et anthologies.
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bibliographie :
pas vraiment de tentation de poursuivre les aventures de Singleton et Trelawney...
mais qui sait...
Paris, 1934. Andrew Singleton et James Trelawney sont chargés d'enquêter sur une étrange affaire. Un spécialiste du sommeil et un poète surréaliste, dont le seul point commun semble être l'intérêt pour l'étude des rêves, ont été retrouvés littéralement morts de peur dans leur lit. Fait troublant, un énigmatique « personnage en noir » a visité chacune des victimes quelques jours avant leur disparition. Mais qui est cet homme de l'ombre ? Quelle terrible machination prépare-t-il ? Et que signifient les visions de cette belle inconnue qui hantent les nuits d'Andrew ? Cette course-poursuite palpitante conduira nos jeunes détectives des milieux surréalistes parisiens jusqu'à un mystérieux château sur les bords du Danube. Au-delà des portes du sommeil.
Malgré les certitudes du préfet de la police parisienne et des autorités, la fin tragique de Gérard de Nerval laisse planer bien des doutes. Retrouvé pendu aux barreaux d'une grille dans la sordide rue de la Vieille-Lanterne, le poète français s'est-il suicidé dans un moment de folie ou a-t-il été assassiné ? Sollicités par un proche de la victime, le chevalier Charles Auguste Dupin et son ami américain enquêtent sur les circonstances de cette mort suspecte. Une momie égyptienne, une secte d'illuminés du XVIIIe siècle, un daguerréotype, un corbeau solitaire... Quelques indices suffiront à l'esprit acéré du célèbre détective pour les conduire sur le chemin d'une vérité étonnante, qui changera à tout jamais le cours de leur existence. Entre jeu littéraire et jeu de l'esprit, Fabrice Bourland fait revivre, en hommage à Edgar Allan Poe, la figure légendaire du chevalier Dupin.
En novembre 1936, Andrew Singleton et James Trelawney reçoivent à leur domicile la visite de la belle et mélancolique Alice Grey. Depuis près d'une semaine, le fiancé de la jeune femme, Frederic Beckford, entomologiste au British Museum, a disparu sans laisser de traces. Craignant qu'un malheur ne soit arrivé, miss Grey implore les détectives de lui venir en aide. Seul indice : un entrefilet relatant un accident survenu en pleine nuit entre un taxi et un fauve en liberté, dont la lecture a, semble-t-il, beaucoup troublé Beckford. Si les deux acolytes ont déjà assisté à maints phénomènes extraordinaires au cours de leurs enquêtes, ils étaient loin d'imaginer ce qu'ils allaient bientôt découvrir dans les rues brumeuses de la capitale britannique. Aidés par le Pr Winwood, zoologiste réputé, nos héros vont devoir batailler ferme pour empêcher le XXe siècle de sombrer dans le chaos.
curiosité de lectrice
juste petite envie de revoir les personnages "réels"...
Sherlock Holmes est un personnage de fiction créé par Sir Arthur Conan Doyle dans le roman policier Une étude en rougenote 1 en 1887. Détective privé doté d'une mémoire remarquable pour tout ce qui peut l'aider à résoudre des crimes en général, il a très peu de savoirs dans les autres domaines de la connaissance1. Lors de ses enquêtes, plusieurs relatées dans les 4 romans et les 56 nouvelles qui forment ce qu'on appelle le canon, il est fréquemment accompagné du Docteur Watson.
Personnage très «typé», Sherlock Holmes est devenu l'archétype du « private detective » pour des générations d'auteurs populaires de roman policier2, éclipsant ses ancêtres historiques que furent le Chevalier Auguste Dupin d'Edgar Allan Poe et Monsieur Lecoq d'Émile Gaboriau (le père du genre polar), personnages auxquels Conan Doyle fait pourtant référence dans son œuvre.
Jack l'éventreur (en anglais, Jack the Ripper) est un tueur en série du Londres de la fin du xixe siècle, dont l'identité n'a jamais été établie. Le pseudonyme passé à la postérité provient d'une lettre envoyée à l'agence de presse London Central News Agency dont l'auteur se présente comme étant le meurtrier. Jack l'éventreur assassina au moins cinq prostituées du quartier pauvre de Whitechapel, à Londres en 1888. Le mystère qui entoure l'identité et le mobile du tueur (ou des tueurs) a intrigué de nombreux enquêteurs et inspiré de nombreux auteurs et artistes.
Dracula est un roman de l'écrivain irlandais Bram Stoker publié en 1897. Il raconte l'histoire d'un vampire, c'est-à-dire un être immortel qui se repaît du sang des vivants, dont le nom s'inspire du surnom d'un personnage historique, Vlad Ţepeş (Vlad III l'Empaleur), prince de Valachie au xve siècle.
Le thème du vampire apparaît dès 1819 en Angleterre, en pleine mode du roman gothique, et sera exploité par de nombreux auteurs au cours du siècle, comme Charles Nodier etThéophile Gautier en France.
L'apport décisif de Bram Stoker à l'extrême fin du xixe siècle est d'avoir fait du comte, au-delà de la créature aux pouvoirs surnaturels, un être humain damné, un mort-vivant, qui suscite la pitié en même temps que l'épouvante[réf. nécessaire].
Cette complexité du personnage de Dracula renouvelée par des thèmes modernes chers à la psychanalyse comme l'association d'Éros et de Thanatos - du désir sexuel et de la mort - ou le questionnement des limites (entre la bête et l'homme, entre la vie et la mort ou entre le Bien et le Mal...) en feront un mythe moderne que le cinéma contribuera à amplifier.
L'Étrange Cas du docteur Jekyll et de M. Hyde (en anglais, Strange Case of Dr Jekyll and Mr Hyde) est une nouvelle écrite par Robert Louis Stevenson et publiée en janvier 1886. Il conte l'histoire d'un notaire, Gabriel John Utterson, qui enquête sur le lien étrange entre Edward Hyde et le docteur Henry Jekyll.Le Docteur Jekyll, un philanthrope obsédé par sa double personnalité, met au point une drogue pour séparer son bon côté de son mauvais. C'est ce dernier qui, nuit après nuit, prendra finalement le dessus et le transformera en monstrueux Monsieur Hyde.
La traduction du titre pose problème (c'est celle de la Bibliothèque de la Pléiade qui a été retenue ici), et certains traducteurs ont opté pour Le Cas étrange du Dr Jekyll et de M. Hyde1 ou encore L'Étrange Affaire du Dr Jekyll et de Mr Hyde2.
Dorian Gray - Oscar Wilde y inclut des thèmes relevant de l'esthétique tels que l'art, la beauté, la jeunesse, la morale, l'hédonisme, etc. Le roman est fantastique, mais aussi philosophique, et met en lumière la personnalité équivoque du dandy irlandais.
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