tempus fugit...
je manque de temps pour les visites de blogs aujourd'hui... mais je garde un oeil vers "les prix littéraires", bien que ce ne soit pas ma façon de choisir mes lectures, j'aime bien cette effervescence autour du livre...

|
« Il n'y a que les domestiques qui savent reconnaître les gens distingués. »
Edmond et Jules de Goncourt

je vous le recommande chaudement, l'histoire est belle, inattendue, encore une belle découverte !
|

lasser et laissent impunis les corrompus
Le 2 décembre 1887, le président de la République Jules Grévy démissionnait suite à la mise au jour deux mois plus tôt du scandale des décorations, son gendre le député Daniel Wilson monnayant notamment la Légion d’honneur. En février 1888, le directeur de l’hebdomadaire satirique Le Tintamarre signe un article sur la lassitude qu’entraînent les multiples rebondissements d’une procédure judiciaire entamée contre Wilson, laquelle sera d’ailleurs plus tard déclarée nulle et n’empêchera pas Wilson d’être réélu en 1893 et en 1898... |

La société de pari britannique a annoncé ce matin que la cote de l’artiste est passée de 100/1 à 10/1 pour recevoir le fameux prix, en une journée seulement.
Dylan est devancé par le romancier Japonais Haruki Murakami (8/1), le poète suédois Tomas Tranströmer (7/1) et enfin le poète syrien Adonis (4/1), grand favori des prédictions.

Romans :
- Emmanuel Carrère, Limonov (P.O.L)
- Dalibor Frioux, Brut (Seuil)
- Alexis Jenni, L’Art français de la guerre (Gallimard)
- Marie Lebey, Oublier Modiano (Léo Scheer)
- Simon Libérati, Jayne Mansfield 1967 (Grasset)
- Eric Reinhardt, Le Système Victoria (Stock)
- Shumona Sinha, Assommons les pauvres ! (L’Olivier)
- Morgan Sportès, Tout, tout de suite (Fayard)
Essais :
- Michel Crépu, Le souvenir du monde: essai sur Chateaubriand (Grasset)
- Claude Durand, Agent de Soljénitsyne (Fayard)
- Gérard Guégan, Fontenoy ne reviendra plus (Stock)
- Pierre Lepape, Une histoire des romans d’amour (Seuil)
- Sylvain Tesson, Dans les forêts de Sibérie (Gallimard)
http://newsbook.fr/ : Troisièmes et dernières sélections le 25 octobre.
Auteur de près d’une quarantaine de livres, Claude Dufresne fut distingué pour sa biographie de George Sand (Appelez-moi George Sand, aux éditions Michel Lafon) en 2004. Officier de la l’Ordre du Mérite et chevalier de la Légion d’honneur, il avait publié en mai 2011, aux éditions Télémaque Ninon de Lenclos, sainte-patronne des courtisanes.

« C’est une décision d’importance historique » a déclaré l’écrivain âgé de 81 ans au quotidien.
L’auteur, récompensé par de nombreuses distinctions littéraires, avait auparavant fait cette requête avec insistance auprès ministère de l’intérieur, avant de faire appel en mai, puisqu’il refusait d’appartenir à ce qu’on appelle « la religion juive en Israël », la comparant avec l’islam de l’Iran.
Le juge Gideon Ginat a rendu sa décision en expliquant que « la liberté de religion est une liberté dérivée du droit à la dignité humaine ». Le tribunal a par ailleurs indiqué que tout citoyen israélien peut se définir comme « libre de religion », alors que la religion fait d’habitude office de nationalité sur les registres d’état civil du pays.
Depuis plusieurs années, des intellectuels laïcs Israéliens, notamment l’association « Je suis Israélien », demandent à ce que la mention « Israélien » figure sur ces registres à la place de la religion.
Après presque dix ans de tergiversations, l'État a décidé d'engager des poursuites contre Guy Wildenstein pour "fraude fiscale". Réputé proche de Nicolas Sarkozy - qui l'a décoré de la Légion d'honneur -, le marchand d'art est soupçonné de n'avoir déclaré qu'une infime partie de la succession de son père, décédé en 2001, dont la fortune se serait chiffrée en milliards d'euros.
La plainte a été signée durant l'été par François Baroin, peu avant son passage du ministère du Budget à celui de l'Économie. Le parquet de Paris a aussitôt ouvert une information judiciaire confiée au juge Guillaume Daieff, qui instruit déjà sur d'éventuels "abus de confiance" et "blanchiment".
La plainte a été signée durant l'été par François Baroin, peu avant son passage du ministère du Budget à celui de l'Économie. Le parquet de Paris a aussitôt ouvert une information judiciaire confiée au juge Guillaume Daieff, qui instruit déjà sur d'éventuels "abus de confiance" et "blanchiment".
Les 28 et 29 septembre, la police a perquisitionné l'étude du notaire de Guy Wildenstein et le cabinet d'un avocat fiscaliste lié à l'affaire. Spécialiste des montages sophistiqués, celui-ci pourrait avoir aidé le galeriste à rapatrier en France d'importantes sommes dissimulées dans des trusts à l'étranger lorsqu'il dirigeait le département fiscal d'une grande étude notariale parisienne
.http://lexpansion.lexpress.fr/ -Conformément aux annonces de François Fillon fin août, le projet de budget 2012 prévoit la création d'une taxe sur les boissons contenant des sucres ajoutés. Cette "taxe soda" est fixée à 3,58 euros par hectolitre. Elle concernera toutes les boissons sucrées, même celles aux édulcorants. Jusqu'ici, le Coca Light et le Coca Zéro, par exemple, étaient épargnés.

pas de veine, après les livres, la cigarette, voilà ma troisième drogue touchée !



je pense que je vais refaire de la soupe... puisque achat de légumes frais...
1641 : Madame de Montespan, maîtresse du Roi Louis XIV († 26 mai 1707).
1728 : le Chevalier d'Éon, agent secret travesti († 21 mai 1810).
1908 : Joshua Logan, écrivain et réalisateur américain († 12 juillet 1988).
1936 : Václav Havel, dramaturge et homme politique tchèque.
1952 : Clive Barker, écrivain britannique.
1112 : Sigebert de Gembloux, érivain latin d'origine belge (° v. 1030).
1606 : Philippe Desportes, poète français (° 1546).
1892 : George-Albert Aurier, 27 ans, écrivain, poète et critique d'art français (° 5 mai 1865).
1918 : Roland Garros, aviateur français, disparaît en vol juste avant la fin de la Première Guerre mondiale (° 6 octobre 1888).

Sujet d'études d'un centre spécialisé de Tel-Aviv, Evenezer Schneorsohn enregistre des cassettes sur lesquelles il témoigne de son expérience unique dans un camp de la mort : convaincu qu'il serait le seul survivant de l'holocauste, il a réussi, par un curieux phénomène d'effacement de soi, à emmagasiner dans son cerveau tout ce qui, d'après lui, constituait le savoir juif (la théorie de la relativité d'Einstein, le texte intégral des cinq livres de la Bible, une recette de cuisine...).
Il est le " dernier Juif ", autour duquel s'articulent tous les autres personnages de ce roman fragmenté. Récits, légendes hassidiques, témoignages, lettres viennent se greffer sur l'histoire d'Evenezer pour composer un étrange puzzle qui emmène le lecteur de Ternopol à New York, de la Galilée à Marseille, du Moyen Âge à un futur non encore vécu.
Ainsi, nous suivons la correspondance du professeur Henkine avec un écrivain allemand qui n'en finit pas d'expier le rôle joué par son père pendant la guerre, les diverses activités de Boaz Schneorsohn au sein de sa lucrative entreprise de commémora tion, les échecs sentimentaux et les grandes réussites agricoles de la très belle Rivka Sourka, qui, dit on, possède le pouvoir de détourner la mort.
Tous ces personnages ont un lien avec l'intrigant Joseph Reina, poète et don juan aux yeux de démon, géniteur de cent enfants qu'il a semés de par le monde. Mêlant fantastique, ironie et grotesque, cette grande fresque retrace une histoire d'Israël portée par la totale subjectivité d'un de ses acteurs privilégiés dont elle constitue l'oeuvre maîtresse.
Il est le " dernier Juif ", autour duquel s'articulent tous les autres personnages de ce roman fragmenté. Récits, légendes hassidiques, témoignages, lettres viennent se greffer sur l'histoire d'Evenezer pour composer un étrange puzzle qui emmène le lecteur de Ternopol à New York, de la Galilée à Marseille, du Moyen Âge à un futur non encore vécu.
Ainsi, nous suivons la correspondance du professeur Henkine avec un écrivain allemand qui n'en finit pas d'expier le rôle joué par son père pendant la guerre, les diverses activités de Boaz Schneorsohn au sein de sa lucrative entreprise de commémora tion, les échecs sentimentaux et les grandes réussites agricoles de la très belle Rivka Sourka, qui, dit on, possède le pouvoir de détourner la mort.
Tous ces personnages ont un lien avec l'intrigant Joseph Reina, poète et don juan aux yeux de démon, géniteur de cent enfants qu'il a semés de par le monde. Mêlant fantastique, ironie et grotesque, cette grande fresque retrace une histoire d'Israël portée par la totale subjectivité d'un de ses acteurs privilégiés dont elle constitue l'oeuvre maîtresse.

Adam Stein est un clown juif très célèbre dans l'Allemagne des années trente. Il échappe à la mort grâce à ses talents, acceptant de distraire le directeur du camp de concentration ainsi que ses coreligionnaires, afin qu'ils oublient le sort qui leur est promis. Après avoir tenté de fuir son passé dans une Allemagne où la frontière est bien trouble entre coupables et victimes, il s'installe en Israël, ayant appris que sa fille y a survécu.
Mais sa mémoire ne lui laisse aucun répit et Adam commet des actes qui lui valent d'être conduit dans un Institut de Réhabilitation et de Thérapie, construit en plein désert du Neguev pour accueillir les survivants de l'Holocauste. Dans une langue baroque et brillante, Adam ressuscité décrit le fracas d'une conscience dont les accès de folie absolue sont ponctués de grands moments de clairvoyance.
Adam Stein tente désespérément de jouir de l'existence et d'en saisir le sens après que le tragique a brouillé tous les repères. Mais a t-on encore le droit de vivre quand on a laissé conduire à la mort femmes et enfants ? Quel destin peut connaître un pays, Israël, qui naît de l'agrégation de tant de douleurs ? Une vision infernale dont on ne sort pas indemne.
Mardochée de Kebir Mustapha Ammihttp://theaujasmin.blogspot.com/2011/10/mardochee-kebir-mustapha-ammi.html
En juin 1883, Charles de Foucauld, futur saint de l'Eglise, se rend au Maroc. déguisé en rabbin, sous le nom de Joseph Aleman, pour se livrer pendant un an à une minutieuse exploration de ce pays. Cette exploration servira avantageusement la France pour entreprendre la conquête du Maroc. A la veille de sa mort, Mardochée, celui qui fut le guide du père de Foucauld, se livre à une troublante confession.
Mais sa mémoire ne lui laisse aucun répit et Adam commet des actes qui lui valent d'être conduit dans un Institut de Réhabilitation et de Thérapie, construit en plein désert du Neguev pour accueillir les survivants de l'Holocauste. Dans une langue baroque et brillante, Adam ressuscité décrit le fracas d'une conscience dont les accès de folie absolue sont ponctués de grands moments de clairvoyance.
Adam Stein tente désespérément de jouir de l'existence et d'en saisir le sens après que le tragique a brouillé tous les repères. Mais a t-on encore le droit de vivre quand on a laissé conduire à la mort femmes et enfants ? Quel destin peut connaître un pays, Israël, qui naît de l'agrégation de tant de douleurs ? Une vision infernale dont on ne sort pas indemne.

En juin 1883, Charles de Foucauld, futur saint de l'Eglise, se rend au Maroc. déguisé en rabbin, sous le nom de Joseph Aleman, pour se livrer pendant un an à une minutieuse exploration de ce pays. Cette exploration servira avantageusement la France pour entreprendre la conquête du Maroc. A la veille de sa mort, Mardochée, celui qui fut le guide du père de Foucauld, se livre à une troublante confession.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire