tempus fugit...
...


.chez Chiffonnette !
et s'il m'en reste,
Érasme (Desiderius Erasmus Roterodamus),
un prêtre catholique évangélique, écrivainhumaniste et théologien néerlandais,
considéré comme l’une des figures majeures de la Renaissance tardive.
bien sûr que non !
Tout retourner, les tiroirs, les sacs, les vestes, rien !
j'ai fini par vider la poubelle...
et toujours rien !
et l'homme qui tournait comme un fauve en cage !
et plus je cherchais, plus j'étais énervée et épuisée...
jusqu'au retour du fils qui les avait dans son sac à dos !
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- Editeur : Gallimard; Édition : Nouv. éd (14 novembre 1984)Collection : Folio
- Ce roman est un apologue de l'aliénation. Un professeur de littérature comparée, spécialiste de Gogol et de Kafka, s'est métamorphosé en une sorte de " glande mammaire " comme on en voit parfois en rêve ou sur les peintures de Dali. De cette situation, Philip Roth tire des effets du plus haut comique et de la plus franche obscénité. Mais au-delà du scandale, de tous les rapprochements kafkaïens, le lecteur découvre à travers cette allégorie surréalisante un déchirant appel, une étrange méditation sur la vie et sur ce qui fait l'identité d'un homme.

En Bretagne, de nos jours, près de Dinard, une femme d’une quarantaine d’années retrouve par
hasard le professeur de piano de son enfance. Cette femme âgée lui propose de venir habiter chez elle.
hasard le professeur de piano de son enfance. Cette femme âgée lui propose de venir habiter chez elle.
Petit à petit, elle se réinstalle dans la petite ville où elle a vécu autrefois, retrouve son premier amour, se lie comme jamais elle ne l’avait fait avec son frère plus jeune, redécouvre les lieux, les chemins, les roches, se passionne pour la nature, le mer.
Soudain, un jour, sa fille, qu’elle n’avait plus vue depuis des années, revient vers elle. De façon polyphonique, tous les personnages qui la côtoient (un prêtre, la bonne du professeur de piano, son frère Paul, un cultivateur, la factrice, un cousin qui vit près de là, la conductrice du car de ramassage scolaire, la masseuse de la thalassothérapie, sa fille Juliette) évoquent cette femme dont la destinée paraît de plus en plus étrange.
Chacun a son interprétation. Chacun essaie de comprendre les rapports troublants, mystérieux, silencieux, sauvages que Claire se met à entretenir avec sa famille, l’amour, la falaise, le ciel, les oiseaux, l’origine.

Sylvain Tesson, pour rassasier son besoin de liberté, a trouvé une solution radicale et vieille comme les expériences des ermites de la vieille Russie : s’enfermer seul dans une cabane en pleine taïga sibérienne, sur les bords du Baïkal, pendant six mois. De février à juillet 2010, il a choisi de faire l’expérience du silence, de la solitude, et du froid.
Sa cabane, construite par des géologues soviétiques dans les années brejnéviennes, est un cube de rondins de trois mètres sur trois, chauffé par un poêle en fonte, à six jours de marche du premier village et à des centaines de kilomètres d’une piste. Vivre isolé du monde nécessite avant tout de s’imposer un rythme.
Le matin, Sylvain Tesson lit, écrit, fume, ou dessine. Puis ce sont cinq longues heures consacrées à la vie domestique : il faut couper le bois, déblayer la neige, préparer les lignes de pêche, réparer les avanies de l’hiver… Le défi de six mois d’ermitage, c’est de savoir si l’on réussira à se supporter. En cas de dégoût de soi, nulle épaule où s’appuyer, nul visage pour se lustrer les yeux.
L’inspecteur forestier Chabourov qui l’a déposé sur cette grève le premier jour le savait. Il lui a glissé, énigmatique, en se touchant la tempe : « Ici, c’est un magnifique endroit pour se suicider ». La solitude finira par se révéler fertile : quand on n’a personne à qui exposer ses pensées, la feuille de papier est un confident précieux ; le carnet de note, un compagnon poli.
C’est ce journal que nous offre à lire Sylvain Tesson. En notant minutieusement, presque quotidiennement, ses impressions face au silence, ses luttes pour survivre dans une nature hostile, ses désespoirs, ses doutes, mais aussi, ses moments d’extase, de paix intérieure et d’osmose avec la nature, Sylvain Tesson nous fait partager une expérience hors du commun.
Finalement « la vie en cabane apprend à peupler l’instant, à ne rien attendre de l’avenir et à accepter ce qui advient comme une fête. Le génie du lieu aide à apprivoiser le temps ». Une expérience comme seule la littérature peut la ressaisir afin qu’elle ne soit pas seulement une aventure isolée, mais une aventure exceptionnelle à la portée de tous.

Poète (Innocentines, Sur le ventre des veuves), romancier (Tamerlan des cœurs, Le Centenaire, Fugue à Waterloo), le mémorialiste d’Exobiographie est avant tout connu pour son théâtre.
De Genousie, sa première grande pièce créée au TNP de Jean Vilar, aux Impromptus à loisir, qui continuent d’être interprétés dans les cours dramatiques et de faire le bonheur de nombreuses troupes d’amateurs, de Monsieur Klebs et Rozalie à Pour ses beaux yeux, sans oublier Du vent dans les branches de sassafras (Michel Simon y fit une entrée fracassante), La Baby-Sitter, Les Bons Bourgeois, Obaldia n’a cessé de nous divertir tout en dénonçant les turpitudes des temps présents au moyen des armes conjuguées de la poésie et de l’humour.
Est-ce ce « rire libérateur » qui lui vaut de franchir toutes les frontières ? Son œuvre théâtrale est réunie ici dans sa totalité.
De Genousie, sa première grande pièce créée au TNP de Jean Vilar, aux Impromptus à loisir, qui continuent d’être interprétés dans les cours dramatiques et de faire le bonheur de nombreuses troupes d’amateurs, de Monsieur Klebs et Rozalie à Pour ses beaux yeux, sans oublier Du vent dans les branches de sassafras (Michel Simon y fit une entrée fracassante), La Baby-Sitter, Les Bons Bourgeois, Obaldia n’a cessé de nous divertir tout en dénonçant les turpitudes des temps présents au moyen des armes conjuguées de la poésie et de l’humour.
Est-ce ce « rire libérateur » qui lui vaut de franchir toutes les frontières ? Son œuvre théâtrale est réunie ici dans sa totalité.

- Editeur : Seuil (29 septembre 2011)Collection : CADRE VERT
- Cadix, 1811. Joseph Bonaparte est sur le trône d'Espagne et le pays lutte contre l'occupation des armées napoléoniennes. Mais dans la ville la plus libérale d'Europe, les batailles sont d'une autre nature. Des jeunes filles y sont brutalement assassinées à coups de fouet, à l'endroit exact où tombent les bombes françaises.
- Ces meurtres tracent sur la cité une carte sinistre, un échiquier sur lequel la main d'un joueur invisible semble déplacer ses pions selon les lignes de tir, la direction des vents ou de savants calculs de probabilités, scellant le destin des personnages : un policier brutal et corrompu, l'héritière d'une importante compagnie de commerce maritime, un corsaire prêt à risquer sa vie par amour, un taxidermiste misanthrope et un excentrique artilleur français. Cadix, ou la Diagonale du fou narre la fin d'une époque dans une ville énigmatique et ténébreuse sous l'apparente blancheur de ses murs et de sa lumière océane.

Sorj Chalandon, journaliste au Canard enchaîné, cela a l'air de ne surprendre personne dans la salle.
Avec Retour à Killysbegs, publié chez Grasset, il amorce son cinquième ouvrage - tous furent primés, depuis des récompenses mineures, en passant par le Médecis et désormais le Grand Prix du roman de l'Académie française.
http://www.lemonde.fr/aujourd-hui/article/2011/10/27/le-code-du-copiale-decrypte_1594290_3238.html#xtor=RSS-3208 - Le code du Copiale, un étrange manuscrit du XVIIIe siècle de 105 pages contenant des messages cryptés sous forme de symboles abstraits et de caractères romans, a été percé avec l'aide d'un ordinateur, annonce l'Université de Californie du Sud (USC).
et salade verte...
http://yves.huot-marchand.pagesperso-orange.fr/Perigord/recette696.htm




un peu d'humour...

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