La Religion de Tim Willocks
- 950 pages
- Editeur : Pocket (1 septembre 2011)
- " La Religion ", c'est le nom que se donne l'ordre des Hospitaliers, mais c'est aussi la bannière sous laquelle se rallie parfois la folie des hommes. En 1565, claustrés sur leur petit archipel au sud de la Sicile, les chevaliers de Malte s'apprêtent à recevoir les furieux assauts de l'armée ottomane. A un contre cinq, les chrétiens tiennent le siège au prix de combats effroyables. Un déchaînement de violence dans lequel se trouve entraîné Mattias Tannhauser, un ancien janissaire qui a connu les deux camps. Pour les beaux yeux de la comtesse Carla La Penautier, le trafiquant d'armes et d'opium embarque pour l'enfer...
Tim Willocks est un écrivain britannique né à Stalybridge, en Angleterre. Il est l'auteur de romans policiers à succès.
Il peint son propre portrait à travers les caractères de différents personnages de ses romans. On retrouve ainsi un personnage central avec une connaissance approfondie en médecine, en drogues et en arts martiaux. Willocks est lui-même ceinture noire de karaté. Une rumeur a fait de lui un amant passager de Madonna. Il est aussi un grand fan de poker.
Le premier roman de Willocks, Bad City Blues a été adapté au cinéma par Dennis Hopper. Willocks a également coécrit le documentaire de Steven Spielberg The Unfinished Journey.
Son roman le plus récent La Religion, se déroule pendant l'année 1565 durant le siège de Malte, et est le début d'une trilogie romanesque.
Arrivée page 433... difficilement... vais essayer d'aller jusqu'à 500... Je ne peux pas dire que ce livre est mauvais, mais je m'ennuie avec lui... batailles, tueries, sang, fureur, à petites doses ça va, mais là... et en plus, je viens de voir qu'il s'agit du tome 1 d'une trilogie !
Il y a bien une intrigue romanesque, une Comtesse qui s'était laissée séduire par un moine devenu inquisiteur... et l'enfant né de ses amours, était condamné à mourir noyé en un sac en mer... mais un brave majordome l'a sauvé et donné en garde à une nourrice.
Bien entendu, le héros va devoir retrouvé l'enfant, s'il veut épouser la mère... et mériter un titre de noblesse...
Pour l'instant, le héros est l'amant de la suivante de la comtesse, et s'il a retrouvé le nom de l'enfant, celui-ci est parti rejoindre les chevaliers au fort de Saint-Elme, comme porteur d'eau... pourra-t-il l'exfiltrer ???
. bof - abandon probable... je le trouve soporifique, peut-être pas lu dans de bonnes conditions ? Pour le moment je n'ai vu qu'une personne ne l'ayant pas apprécié.
ils en parlent...
curiosité historique
Le Grand Siège intervient le 19 mai 1565 quand Mustapha Pacha et l’amiral Piali Pacha font débarquer à Marsaxlokk un premier contingent de leurs 40 000 soldats. Le grand maître Jean Parisot de La Valette ne peut opposer qu’environ 9 000 hommes dont 592 chevaliers. Le grand siège de Malte se termine le 13 septembre, après l’arrivée des renforts siciliens du vice-roi Don Garcia de Tolède, par la défaite des Ottomans qui perdent plus de 12 000 hommes dont le corsaire Dragut. Les pertes maltaises s’élèvent à environ 9 000 personnes dont des femmes, des enfants et des vieillards qui n'avaient pu être évacués en Sicile, et 313 chevaliers14,15. La victoire est célébrée avec éclat et reste une des plus grandes victoires de la chrétienté sur l'empire ottoman16.
En 1675 puis de nouveau en 1676, une épidémie de peste frappe l'île faisant 11 300 victimes sur une population estimée à 60 000 habitants.
Né en 1494 au château de Labro à Parisot dans Quercy, en Gascogne, il est le second fils de Guillot ou (Guillaume ) de la Valette-Cornusson (-1513), chevalier, seigneur de Cornusson et de Boismenon, gentilhomme ordinaire de la Chambre du Roi, et de Jeanne de Castres, (…-1548), après 1°Guillot, suivront: 3°:Guillaume, prieur de Saint-Saturnin; 4°:François, évêque de Vabres en 1561, présent au Concile de Trente en 1563; 5°:Antoinette, mariée en 1533 à Raymond de Gibry, seigneur de Caylus en Quercy; 6°:Béatrix, mariée à Hugues de Brailh, seigneur de Bramaux en Albigeois2.
Il rentra à 20 ans à l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Il se trouva au siège de l'île de Rhodes en 1522 avec 159 autres chevaliers de l'Ordre et leur Grand-Maître Philippe de Villiers de L'Isle-Adam,fut fait prisonnier par le corsaire Dragut, et Soliman le Magnifique, admiratif du courage de cette poignée d'hommes, leur laissa la vie sauve et leur redonne la liberté le 1er janvier 1523. Ils trouvèrent refuge à Civitavecchia, puis à Viterbe et à Nice.Charles-Quint leur cède: Tripoli et Malte, dont ils prennent le nom. Il devient prieur de Saint-Gilles, gouverneur de Tripoli en 1537 et général des galères de Malte en 1554. Sa devise était : « Plus quam valor, Valetta valet ».
La première fut le siège de Malte par les armées de Soliman le Magnifique. En 1565, le sultan, irrité par la capture de navires turcs, fit attaquer l’île de Malte avec 159 navires et 30 000 hommes sous le commandement du général Kara Mustafa. Le 18 ou le 24 mai 1565, les turcs assiégèrent leFort Saint-Elme défendu par 130 chevaliers et qui tomba le 23 juin. Ils investirent d’autres places mais reprirent la mer le 7 septembre. Ils débarquèrent de nouveau sur l’île, furent battus par les troupes siciliennes le 13 et rentrèrent en Turquie. En 1566, le grand-maître fit reconstruire le fort Saint-Elme et, à ses pieds, la ville de La Valette qui porte son nom. Philippe II d'Espagne, lui envoya pour marque de sa valeur un poignard d'or avec la devise: plus quam valor Valetta valet.
La seconde crise fut celle qui l’opposa au pape Pie V. En effet, le pape s’était attribué la disposition du grand-prieuré de l’ordre à Rome et y fit nommer le cardinal Alexandrin sans en référer au grand-maître et sans payer les droits. Ce dernier envoya son ambassadeur Cambiano pour se plaindre, mais celui-ci fut chassé par le pape. Jean Parisot de La Valette mourut le 21 août 1568. Il est aujourd’hui enterré dans la crypte de la cathédrale Saint-Jean. Il était âgé de 74 ans.
Soliman le Magnifique (Kanûnî Sultan Süleyman) (ou Süleyman Ier) est né probablement le 6 novembre 14941 à Trébizonde (Trabzon) et mort le 7 septembre 1566 à Szigetvár. Fils unique de Selim Ier Yavuz, il est le dixième sultan de la dynastie ottomane.
Son père Selim Ier (Yavuz Sultan Selim Han) dit le «Cruel» ou le «Terrible» ou l'inflexible (1470 - 1520) lui ouvre une voie toute tracée.
Et donc, à sa mort, le 20 septembre 1520 son fils unique, Soliman, monte logiquement sur le trône. Avec l'aide de son grand vizir, il impose les réformes qui lui valurent son surnom turc de « Législateur » (Kanûnî).
Sous son règne, l’Empire ottoman devient une grande puissance mondiale, continuant à s’étendre pendant encore un siècle avant de commencer une longue phase de déclin.
Délaissant Mdina, ancienne capitale de l’île, l’Ordre installe son couvent dans le port de Birgu où le grand maître Philippe de Villiers de L'Isle-Adam fit édifier plusieurs fortifications en vue de mettre l’île en état de défense contre une éventuelle attaque des Ottomans.
Lala Mustafa Pacha appelé aussi Lala Kara Mustafa Pacha (1500-1581) était un général et homme d'État ottoman.
Il s'est élevé à la position de Beylerbey (gouverneur) de Damas, puis à celle de Cinquième Vizir. Il a commandé les forces terrestres ottomanes pendant le siège de Malte en 1565, lors de la conquête de Chypre, auparavant vénitienne, en 1570-1571 et dans la campagne contre la Géorgie en 1578. Plus tard, il a été Grand Vizir du 28 avril au 7 août 1580.
Le titre honorifique de Lala signifie « précepteur du Sultan ». Il avait été précepteur des fils du Sultan. Mustafa était connu pour sa cruauté envers les opposants vaincus, une réputation qui a été amplement confirmée par le traitement infligé à Marco Antonio Bragadin, le défenseur vénitien de Famagouste. Il l'avait fait écorcher vif, d'où le nom de Kara (en turc: noir) qu'on lui a accordé.
L'ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte est l'appellation complète de l'ordre (catholique) connu généralement sous le nom d'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, mais aussi sous le nom d'ordre de l'Hôpital, d'ordre Hospitalier ou plus simplement les Hospitaliers et en latin : Ordo Hospitalis sancti Johannis Ierosolimitani.
Son origine remonterait au xie siècle dans l'installation de marchands amalfitains à Jérusalem puis dans la création d'hôpitaux en Terre sainte (d'où le nom d'Hospitalier). À l'image des Templiers, il devient militaire en plus d'être hospitalier pour défendre d'abord les pèlerins malades dans les hôpitaux de l'ordre puis combattre les sarrasins. Après son expulsion de Terre sainte, l'ordre s'installera àChypre avant de conquérir l'île de Rhodes. L'Ordre devient alors une puissance maritime pour continuer à être le rempart des chrétiens contre les sarrasins. Expulsé une nouvelle fois, l'ordre deviendra Prince de Malte par le plaisir de Charles Quint. Avec ses chevaliers, l'ordre se transforme en une puissance souveraine qui prend de plus en plus de place en Méditerranée centrale. Le général Bonaparteexpulsera le grand maître et les chevaliers de l'île de Malte au nom de la République française. À la suite de cette expulsion, l'ordre se place sous la protection de Paul Ier de Russie. À la mort de celui-ci, s'ensuit une période noire pour l'ordre jusqu'à son renouveau. C'est sous le nom d'ordre souverain de Malte que l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem devient l'un des organismes humanitaires les plus actifs1 mais plus tellement religieux et absolument plus militaire.
source principale : wikipédia
2 commentaires:
Tu es allée bien loin, bravo à toi. Je n'ai pas eu ce courage.
bonsoir Alex,
j'ai essayer de tenir mais vraiment trop difficile de suivre.
Je le garde sous le coude encore un peu pour tenter un deuxième essai... mais pas tout de suite.
Encore un qui va finir chez le bouquiniste.
Heureusement, j'ai eu la main plus heureuse avec "venge-moi !" de Cauvin.
bises
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