Lorsque l'on s'ennuie, le pire n'est jamais loin.
Surtout si cela se passe chez un mondain lors d'un repas de gens autoproclamés brillants dont les pensées subtiles volent comme des enclumes. Averell, créateur de parfums, surnommé ainsi par sa copine car il est daltonien, accepte le défi " génial " de son hôte consistant à enquêter sur un mystère qu'il doit lui-même identifier avant de le résoudre ! Ni la lecture des faits divers, ni la probable disparition de son patron, pas même les coups échangés entre ses voisins ou les crises de larmes de la caissière d'un supermarché ne l'inspirent.
Le monde pourtant, à mieux y regarder, sent mauvais. Averell chipote. Il ignore, rêveur naïf, que l'autre face de la réalité est un boomerang qu'il pourrait bien être le premier des Dalton à prendre dans les dents.
Surtout si cela se passe chez un mondain lors d'un repas de gens autoproclamés brillants dont les pensées subtiles volent comme des enclumes. Averell, créateur de parfums, surnommé ainsi par sa copine car il est daltonien, accepte le défi " génial " de son hôte consistant à enquêter sur un mystère qu'il doit lui-même identifier avant de le résoudre ! Ni la lecture des faits divers, ni la probable disparition de son patron, pas même les coups échangés entre ses voisins ou les crises de larmes de la caissière d'un supermarché ne l'inspirent.
Le monde pourtant, à mieux y regarder, sent mauvais. Averell chipote. Il ignore, rêveur naïf, que l'autre face de la réalité est un boomerang qu'il pourrait bien être le premier des Dalton à prendre dans les dents.
mon commentaire :
bien.
inclassable...ce n'est pas un polar... juste une enquête, sur du "rien"... un challenge en fait... suite à un "banquet" chez des élites, au sujet du roman policier...
Ne pas chercher à expliquer... juste se laisser porter par le style et l'humour de l'auteur... une sorte d'exercice de style. Bien aimé, mais impossible à raconter.
propose échange de ce livre contre : 1280 âmes
de Jean-Bernard Pouy
Jean-Bernard Pouy, né à Paris, en 1946, est l’un des principaux auteurs contemporains du roman noir français. Bien qu’il ait un lien fort avec le Lot-et-Garonne (Nérac), le pavé parisien n’a plus de secret pour lui. Il y vit, y bouscule l’ordre établi, lors d’un fameux printemps, tout en poursuivant des études tout azimut. Après avoir obtenu un DEA d’Histoire de l’art (section cinéma) à l’ École pratique des hautes études, J.B. Pouy pratique divers métiers jusqu’à l’âge de 35 ans, où l’écriture le prend et devient sa principale occupation. Son premier texte Spinoza encule Hegel (1983) dont le titre n’apparaît pas sur la première de couverture, clôt la collection « Sanguine » chez Albin Michel. Plusieurs fois réédité depuis, ce roman un peu dadaïste pose un regard ironique et cynique sur Mai 68. Avec son deuxième roman, Nous avons brûlé une Sainte (Gallimard, 2001), il entre à la « Série Noire » chez Gallimard sous le numéro 1968. Il ne la quittera plus, tout en continuant de publier chez de nombreux autres éditeurs.
Amoureux de la langue et de la littérature, romancier et nouvelliste, Oulipien, J.B. Pouy s’impose en permanence des contraintes formelles et narratives. Il propose toujours à celui qui le lit plusieurs niveaux de lecture. Ses récits font de lui un auteur qui suscite en permanence l’attente impatiente du lecteur. La Belle de Fontenay (Gallimard, 1999), ainsi que le tragique R.N.86 (Gallimard, 1998) en sont deux beaux exemples. Son dernier « Série Noire », Le Rouge et le Vert (Gallimard, 2005), semble clore un cycle précis.
Auteur inclassable, inventif, prolifique et multiforme, J.B. Pouy se définit lui-même comme un « styliste pusillanime » : scénariste occasionnel, animateur de radio à France-Culture, poète et dessinateur (Cendres Chaudes, Éditions du Ricochet, 1999), il emprunte de nouvelles pistes dans le polar futuriste chez l’Atalante, et même y invente un écrivain autrichien qu’il traduit impunément (Le Merle d’Arthur Keelt). Il collabore aussi à de nombreuses revues. Ardent défenseur de la littérature populaire, J.B. Pouy crée, en 1995, la collection « Le Poulpe », suivies d’autres qui n’auront pas le même accueil (« Pierre de Gondol », « Série Grise »… ). Toujours prêt à servir la cause du roman noir et du roman populaire (il a reçu, en 1996, le Grand Prix Paul Féval de littérature populaire), il s’engage de plus en plus auprès de petits éditeurs et, après la disparition du format poche de la Série Noire, lance, en hommage, la « Suite Noire » aux éditions La Branche.-http://www.editions-fayard.fr/auteur/fayard-auteur-000000009217-pouy-jean-bernard-biographie-bibliographie.html
en savoir plus :
http://grain-de-sel.cultureforum.net/t2251-jean-bernard-pouyhttp://www.babelio.com/livres/Pouy-Le-rouge-et-le-vert/40792
autres lecteurs :
http://www.encres-vagabondes.com/magazine/pouy.htm
http://les-routes-de-l-imaginaire.blogspirit.com/archive/2005/07/04/le-rouge-et-le-vert-jean-bernard-pouy-gallimard-serie-noire.html
bibliographie :
http://www.decitre.fr/recherche/resultat.aspx?recherche=refine&auteur=Jean-Bernard+PouyCuriosité de lectrice...
Le daltonisme est une anomalie dans laquelle un ou plusieurs des trois types de cônes de la rétine oculaire, responsables de la perception des couleurs sont déficients. Un daltonien est une personne atteinte de cette affection.
Averell Dalton - Le plus grand, jeune et bête des Frères Dalton, bien qu'il ait parfois des éclairs de génie. Au début de leurs péripéties, il est également le plus fort, autant que Lucky Luke (leur première bagarre se termine par un match nul). Il est foncièrement honnête : Lucky Luke a souvent utilisé cette caractéristique contre les Dalton. Averell aime beaucoup Rantanplan. Il est célèbre pour sa phrase : « Quand est-ce qu'on mange ? » déclamée dans des circonstances parfois loufoques. Il est aussi le fils préféré de Ma Dalton. Par contre, il tire aussi bien au revolver que ses trois frères.
Note : bien que dans la plupart des histoires Averell est le plus jeune des Dalton, Joe est nommé comme le cadet des frères dans l'album Les cousins Dalton.
rien à voir, sinon que c'est mon personnage préféré...
Ma Dalton. Mère des Dalton, est une vraie dictatrice. Elle habite une petite maison où elle aurait élevé ses quatre fils. Elle possède un chat, Sweetie. Tout comme ses fils, elle est une criminelle endurcie et s'avère nettement plus redoutable qu'eux : elle a fourni plus d'une fois une lime dans du pain, remise à ses fils en prison (Averell, systématiquement ou presque, essaie de manger ce pain, cassant parfois la lime ou ses dents). Ce pain, plus dur que la lime qui y est contenue, est parfois utilisé comme lime lui aussi. Elle ne se gêne pas pour voler une épicerie ou n'importe quel magasin qui lui procure ce dont elle a besoin. Du moins le pense-t-elle, les épiciers du coin ayant décidé, par sympathie envers son grand âge et la réputation de ses fils, de se laisser faire sans jamais réclamer justice. Elle affiche une nette préférence pour son "chouchou" Averell : par exemple, lors des repas, elle sert toujours Averell en premier. Mais elle avoue que Joe, malgré un caractère de cochon, est celui qu'elle chérit le plus. Ma Dalton est aussi la seule à savoir se faire obéir de Rantanplan.
clin d'oeil aux challenges littéraires...
.Paris,
Sur son territoire se trouvent la commune homonyme de Capri et la commune d'Anacapri. Ses dimensions sont de 6 km de long sur 3 de large. Connue depuis l'antiquité pour sa beauté, elle est un lieu de villégiature dès l'époque romaine. On la connaît particulièrement pour les faraglioni deux rochers émergeant de la mer. Mais l'île possède de nombreux autres intérêts comme la Marina Piccola, le belvédère de Tragara, la grotte bleue (Grotta Azzurra), la Villa San Michele, la Villa Malaparte ainsi que les ruines des villas impériales romaines.
L'étymologie du nom de Capri remonte aux anciens colons grecs qui furent les premiers habitants de l'île. Il ne dérive donc pas du latin (capreae = chèvres), mais du grec ancien κάπρος (kapros = sanglier).
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