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lundi 22 août 2011

Eric Poindron - De l'égarement à travers les livres

  • 203 pages
  • Editeur : Le Castor Astral (10 mars 2011)Collection : Curiosa & caetera
  • "Qui lit trop devient fou." Tel est sans doute l'étrange enseignement de ce livre inclassable, à la fois roman et jeu de piste. Atteint d'un étrange syndrome au nom barbare qui signifie "De l'égarement à travers les livres", le narrateur est contacté par une société secrète, Le Cénacle troglodyte, afin de devenir "détective littéraire". 
  • Derrière l'histoire de la littérature, il existe une autre histoire que l'on ignore. Aussi, le narrateur va-t-il devoir faire la lumière sur diverses affaires à la fois mystérieuses et secrètes. Où se trouve le corps de Voltaire
  • Pourquoi Lewis Carroll a-t-il inventé le personnage d'Alice au pays des merveilles ? 
  • Qui est cet écrivain fantastique qui a perdu son ombre ? 
  • Pourquoi, derrière Lovecraft, existe-t-il un autre personnage qui ne manque pas non plus d'imagination ?
  •  Entre fiction et fantastique, c'est une littérature des coulisses qui est peu à peu dévoilée. Mais attention ! derrière les apparences, il se cache sans doute une autre vérité...
  • mon avis : j'ai toujours trouvé passionnant le cabinet de curiosité d'Eric Poindron, et son livre était sur ma liste depuis bien longtemps, mais comme le plus souvent j'oublie cette fichue liste lorsque je vais en librairie... ce n'est qu'il y a peu que j'ai acheté cette petite merveille !
  • et alors... pas déçue du voyage dans le monde de l'étrange. Difficile de parler de ce livre, où le fantastique tient le premier rôle,  c'est tout un univers que je ne fréquente que peu, mais alors, je pense que cela m'ouvre de nouveaux horizons littéraires et je ne songe plus qu'a suivre la piste, en gardant précieusement le livre à portée de main.


    très gros coup de coeur !
  • le narrateur devient détective littéraire, après avoir été contacté par l'un des membre de la société secrète, le Cénacle troglodyte, qui a remarqué sa bibliopathonomadie, c’est-à-dire « d’égarement à travers les livres »,


  • Éric Poindron est un éditeurécrivaincritique littéraire et animateur d'atelier d'écriture pour l'Université de Reims Champagne-Ardenne..


    autres lecteurs :

    .
    curiosité de lectrice :

    Illustration du Diable peint par lui-même (1825) : Collin de Plancy, couché dans son lit, s'entretient avec le Diable.Jacques Auguste Simon Collin de Plancy, né le 20 janvier 1793 à Plancy-l'Abbaye et mort le 6 novembre 1887, est un écrivain français. Il est l’auteur de nombreux ouvrages où l’occulte le dispute à l’insolite et au fantastique.
    Libre-penseur influencé par Voltaire, il est imprimeur-libraire à Plancy-l'Abbaye et à Paris. Entre 1830 et 1837, il réside à Bruxelles, puis revient en France après avoir abjuré ses "erreurs" et opéré un retour à la religion catholique.
    Son œuvre la plus importante est son Dictionnaire infernal ou bibliothèque universelle, sur les êtres, les personnages, les livres, les faits et les choses, qui tiennent aux apparitions, à la magie, au commerce avec l’enfer, aux divinations, aux sciences secrètes, aux grimoires, aux prodiges, aux erreurs et aux préjugés, aux traditions et aux contes populaires, aux superstitions diverses, et généralement à toutes les croyances merveilleuses, surprenantes, mystérieuses et surnaturelles, publié en 1818 dans lequel il recense toutes les connaissances de l’époque concernant les superstitions et la démonologie.
    Le Dictionnaire infernal a connu six versions éditées de son vivant. Dans la sixième version publiée en 1863, illustré par Louis Le Breton, Collin de Plancy s'autocensure pour plaire à l'église.
    PaulLacroixJacob.jpg
    Paul Lacroix, plus connu sous les pseudonymes de P. L. Jacob ou du Bibliophile Jacob, né le 27 février 1806 à Paris et mort à Paris le 19 octobre 1884, est un polygrapheérudit français.
    Fils de Jean-Louis Lacroix de Niré, déjà littérateur sur les bancs de l’école, il faisait encore sa philosophie an collège Bourbon lorsqu’il publia son édition de Clément Marot. À l’âge de dix-neuf ans, il présenta au théâtre de l'Odéon plusieurs comédies en vers, qui furent reçues, mais les ennuis qui accompagnent la carrière d’auteur dramatique le dégoûtèrent bientôt et il cessa en même temps sa collaboration aux journaux de la petite presse, où il s’était fait cependant quelque réputation par de piquantes épigrammes. Il fonda en 1830 le journal Le Gastronome.
    Menant de front la littérature facile et la littérature difficile, comme on disait alors, il composa d’un côté des romans et de l’autre des livres d’histoire, puis il mêla les deux genres dans plusieurs publications. Ses premiers romans eurent du succès et firent école, malgré les difficultés de lecture qu’offrait l’imitation du vieux langage. La parution de l’Histoire du seizième siècle, remplie de recherches inédites, fut bien accueillie des esprits sérieux. Cette publication valut à l’auteur, à peine âgé de vingt-huit ans, la croix de la Légion d'honneur.
    Les romans historiques du Bibliophile Jacob, souvent réimprimés et traduits en plusieurs langues, contribuèrent pour une grande part à propager le gout du Moyen Âge, qui se répandit alors en France et en Europe jusque dans les arts.
    Ses publications bibliographiques eurent la même influence sur le gout des livres : il continua à cet égard la mission de Charles Nodier. P. L. Jacob parcourut l’Italie pour rechercher dans les bibliothèques publiques les manuscrits inédits relatifs à l’histoire de France. En 1842, il fonda avec M. Thoré l’Alliance des Arts, dans le but de faire connaître, par de bons catalogues, les trésors artistiques et littéraires que possédaient les collections particulières, et de servir ainsi les intérêts des amateurs de livres et d’objets d’art. Cet établissement, qui dura jusqu’en 1848, publiait un Bulletin, dont P. L. Jacob avait la direction.
    Nommé membre des comités historiques du ministère de l’Instruction publique, il en fit partie jusqu’en 1881, et y est rentré en 1858. Il eut une part active à la plupart des grandes publications qui virent le jour sous les auspices de ces comités.
    En 1848, il fut appelé à faire partie de la commission des monuments historiques créée près du ministère de l’intérieur. Pendant plus de dix ans, il poursuivit la réforme de laBibliothèque du Roi et proposa un plan de réorganisation de ce grand établissement. En 1855, il fut nommé conservateur de la bibliothèque de l'Arsenal et a notamment rédigé le catalogue de la bibliothèque de Soleinne.
    La réunion de ses ouvrages semble représenter la vie de plusieurs hommes. Il a tant produit, traduit, édité, annoté, que la notice qui le concerne dans le Grand dictionnaire universel du xixe siècle occupe deux pleines colonnes.
    Il publia, avec Henri Martin, une Histoire de France par les principaux historiens.

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