tempus fugit...
... 
il semble que nous allons sur une belle journée...
L'ambitieux se rêve au faîte du pouvoir,
tout en s'aplatissant dans la boue du servilisme. Balzac

Rite de Samain
(mythologie celtique)
http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article1803
Halloween
(fête folklorique, principalement en Irlande, au Canada, en Australie, en Grande-Bretagne et aux États-Unis)

il semble que nous allons sur une belle journée...
tout en s'aplatissant dans la boue du servilisme. Balzac
(mythologie celtique)
(fête folklorique, principalement en Irlande, au Canada, en Australie, en Grande-Bretagne et aux États-Unis)
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Qu'est-ce que j'ai lu la semaine passée ?



Qu'est-ce que je lis en ce moment ?

Qu'est-ce que je lis la semaine prochaine ?
des nouveautés dans ma Pal... sinon un polar sans doute.

de laisser l'esprit accueillir toutes les pensées.





Le Literature Prize, nouveau prix de la scène littéraire britannique, sera décerné au moment de la Foire du livre de Londres 2012, qui se déroule du 16 au 18 avril, a annoncé son fondateur l'agent Andrew Kidd. Il trouve ainsi sa place entre le Costa Award, décerné en janvier et l’Orange Prize remis en mai, le Man Booker Prize étant proclamé en octobre.
Né des polémiques autour du Man Booker Prize, jugé trop grand public, le Literature Prize se veut « le prix de l’excellence littéraire », défendant l’idée qu’un livre est une œuvre d’art. Andrew Kidd cherche un sponsor à la hauteur des autres prix britanniques (le Man Booker Prize est doté de 57 000 euros, l’Orange Prize de 34 300 et le Costa Award de 40 000). Il est aussi en train de constituer un comité de 12 membres appartenant à l’industrie du livre, comité qui sera chargé de composer une Académie de 40 à 50 membres, composée d’écrivains, de critiques et de personnalité du monde des livres, au sein de laquelle sera choisi le jury tournant de cinq juges.
Le Literature Prize récompensera un titre, écrit en langue anglaise, et publié au Royaume-Uni, au cours des 12 mois de l’année civile précédent la remise. Réfutant les premières sélections (« long lists ») « trop diluées, qui n’ont aucune répercussion commerciale et créent de l’anxiété chez les auteurs », il proposera une unique sélection finale de cinq ou six titres.
Et si, comme le remarque notre confrère The Bookseller, la dernière sélection du Man Booker Prize pourrait y figurer, le jury pourrait aussi ajouter les ouvrages qui en avaient été écartés comme The Stranger’s Child, d’Alan Hollinghurst et At Last, d’Edward St Aubyn. Leur évincement avait suscité une polémique très médiatisée.
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« Quand, en attendant ma mise en tête, j'assiste à l'évolution d'une rame que l'on ajoute au train que je dois emmener. Sur les marchepieds des éléments de la Police d'Etat gardent les portières, j'effectue ma mise en tête et je m'enquiers auprès du sous-chef de gare de la raison d'un tel service d'ordre et de sécurité. Il m'apprend que ce sont des internés politiques que l'on transfère d'Eysse à Saint-Pol-des-Jeaux. Aussitôt ma détermination est prise, je refuse d'emmener le train. Chef de gare, chef de dépôt, sous-chef de dépôt, inspecteur viennent au pied de la machine discuter avec moi : malgré les conseils, les objurgations, les sommations, les menaces, j'ai continué à refuser ; quand j'en ai eu assez, j'ai coupé moi-même la machine, et avancé auprès du mat. Rentré au dépôt, je me suis rendu au bureau du chef de dépôt, au sous-chef, j'ai dit : "Si vous voulez, faites venir un médecin pour qu'il puisse constater que je ne suis ni fou, ni ivre". »
Ce refus d'obéissance, unique parmi les cheminots français, lui vaut l'admiration et les félicitations de ses collègues, et de nombreuses candidatures pour se joindre à des actions de résistance. Il lui vaut également une suspension. Il est entendu par ses supérieurs, mais son passé et ses décorations d'ancien combattant contribuent à leur clémence. Il reçoit un avertissement et ses primes de fin d'année 1942 sont supprimées.
1984 : Des extrémistes sikhs revendiquent l'assassinat, devant son domicile, du premier ministre indien Indira Gandhi.
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2 commentaires:
ET bien je suis actuellement dans "The Cater street hangman" d'Anne Perry et "L'enfant noir" de Camara Laye. La semaine prochaine je serai vraisemblablement dans "La vie d'un homme inconnu" d'Andreï Makine.
comment fais-tu pour être sur deux livres à la fois ?
pour moi, impossible, je m'y perds...
Pas lu ce Makine, je note au cas où... le père noël serait généreux.
Pour Anne Perry, je dois en avoir un ou deux en attente...
Je ne connais pas du tout Camara Laye.
bonne soirée, bises
et bonne lecture
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