dernière lecture du tome 4
Le jeune aristocrate Raphaël de Valentin, après avoir perdu son dernier sou au jeu, a l'intention de se suicider. Il rentre par hasard chez un antiquaire, où un vieil homme lui montre alors « une peau de chagrin » ayant le pouvoir d’exaucer tous les vœux de son propriétaire : « Si tu me possèdes, tu posséderas tout, mais ta vie m'appartiendra ».
Le vieillard met en garde le jeune homme : chaque désir exaucé fera diminuer la taille de cette peau, symbole de sa vie : « Le cercle de vos jours, figuré par cette Peau, se resserrera suivant la force et le nombre de vos souhaits, depuis le plus léger jusqu'au plus exorbitant ». Le jeune homme accepte ce pacte diabolique, sans bien mesurer les mises en garde de l'antiquaire.
Dans un premier temps, Raphaël ne se préoccupe pas de cet avertissement et se lance dans des folies. Il devient immensément riche, mène grand train, connaît la gloire et les succès mondains. La Peau lui procure l’énorme héritage d’un oncle et l’amour de Pauline, sa jeune voisine.
Mais très vite le jeune homme passionné qui envisageait de produire une grande œuvre (La Théorie de la volonté), devient un être prématurément vieilli, dévoré par une maladie, que ni les plus savants médecins ni les cures dans des villes d’eau ne peuvent sauver.
Prenant conscience de l’inexorable rétrécissement de la peau, et du temps qui lui est compté, il en vient à vivre en reclus, espérant éviter toute occasion de formuler quelque vœu que ce soit. Sa survie devenant sa seule préoccupation, il constate que, bien que doté d’un pouvoir extraordinaire, il n’en a rien fait, et il meurt rongé d’amertume, foudroyé par un dernier désir, celui de vivre encore.-wikipédia
Derrière le conte fantastique se retrouve le thème classique du pacte avec le Diable : "je t’offre du bonheur contre ta vie ou ton âme". Il rappelle au lecteur que toute chose a un prix et que le bonheur perpétuel n’existe pas. Un choix est indispensable entre vivre plus intensément moins longtemps et moins intensément plus longtemps. C’est d’ailleurs l’objet de la discussion entre Raphaël de Valentin et l’antiquaire sans âge qui lui offre la peau. De façon plus générale, cette œuvre constitue une réflexion sur le désir : faut-il chercher à satisfaire tous ses désirs pour être heureux ?
SI TU ME POSSÈDES TU POSSÈDERAS TOUT
MAIS TA VIE M'APPARTIENDRA DIEU L'A
VOULU AINSI DÉSIRE ET TES DÉSIRS
SERONT ACCOMPLIS MAIS RÈGLE
TES SOUHAITS SUR TA VIE
ELLE EST LA A CHAQUE
VOULOIR JE DÉCROÎTRAI
COMME TES JOURS
ME VEUX - TU ?
PRENDS DIEU
T'EXAUCERA
SOIT !
MAIS TA VIE M'APPARTIENDRA DIEU L'A
VOULU AINSI DÉSIRE ET TES DÉSIRS
SERONT ACCOMPLIS MAIS RÈGLE
TES SOUHAITS SUR TA VIE
ELLE EST LA A CHAQUE
VOULOIR JE DÉCROÎTRAI
COMME TES JOURS
ME VEUX - TU ?
PRENDS DIEU
T'EXAUCERA
SOIT !
Les personnages :
– ANTIQUAIRE du quai Voltaire : à en croire ses souvenirs de la Régence, aurait au moins 125 ans en 1830. Quoique essentiel à l action, ce personnage fantastique ne reçoit pas de nom. (Non reparaissant dans l’œuvre de Balzac)
– Horace BIANCHON (né vers 1797) : le médecin de Raphaël est aussi celui de la majorité des personnages balzaciens, ce qui en fait le plus souvent reparaissant. S appelle seulement Prosper dans l édition originale de 1831. Devient Horace Bianchon en 1838 dans l édition Delloye-Lecou.
EMILE : ami de Raphaël. Il n a pas de nom de famille. S il a été rapproché d Émile Blondet, critique et journaliste qui figure dans plusieurs romans et comme héros dans Les Paysans (La Presse, décembre 1844), rien n impose l assimilation que Balzac n a jamais opérée textuellement.
PAULINE : La pauvre petite fille qui devient riche. Sa richesse soudaine ne change pas cette jeune fille pure, capable d’aimer vraiment et de se dévouer corps et âme. Elle est l’incarnation de l’amour et le contraire social et moral de Foedora. Sa folie soudaine est d’autant plus stupéfiante.
– Eugène-Louis de RASTIGNAC (né en 1799) : apparaît dans l édition originale de La Peau comme le jeune viveur qui présente Foedora à Raphaël. Balzac le fait réapparaître en décembre 1834 dans l édition Revue de Paris du Le Père Goriot , après avoir appelé son personnage, dans le manuscrit, Eugène de Massiac. Il a ensuite la carrière romanesque que l on sait.
– Frédéric TAILLEFER (né en 1779-1831) : c est dans l édition Delloye-Lecou de La Peau (décembre 1837-juillet 1838) que le banquier amphytrion, anonyme jusque-là, reçoit le nom et donc la biographie de Frédéric Taillefer. Ce nom, apparu en décembre 1834 dans Le Père Goriot avait remplacé dans L Auberge rouge (Delloye-Lecou, juillet 1837) celui attribué auparavant à son héros assassin (Frédéric Mauricey), donnant ainsi après coup une origine criminelle à la fortune du personnage de La Peau.
Marquis Raphaël de VALENTIN (1804-1831) : (non reparaissant dans l’œuvre de Balzac) Son prénom est évidemment tout un poème, et son patronyme est chargé d ironie. Aristocrate d’origine, il est plébéien de condition. Son amour pour Pauline et Foedora s’inscrit dans la suite balzacienne des amours pour deux femmes : un ange et un démon.
le mythe de faut revisité...
pas sans rappeler :
L'Etrange histoire de Peter Schlemihl de Adelbert von Chamisso
où l'on retrouve des personnages...
Jean-Frédéric Taillefer, alias Wilhem, étudiant en médecine originaire de Beauvais, versé en 1799 dans une demi-brigade en qualité de sous-aide major. Fournisseur des vivres-viandes sous l'Empire, puis banquier. C'est lui le meurtrier dans l'Auberge Rouge (L'Auberge rouge).
En 1819, il est millionnaire et refuse de reconnaître sa fille, Victorine, réfugiée à la pension Vauquer (Le père Goriot).
Vautrin connaît son passé. C'est chez lui que se déroule l'orgie de La Peau de chagrin, après juillet 1830 (La Peau de chagrin). Il meurt confondu sur son crime (L'Auberge rouge).
Eugène de Rastignac est un personnage romanesque d'Honoré de Balzac dont les aventures débutent dans le Père Goriot et dont l'évolution va se poursuivre dans un nombre considérable de romans de la Comédie humaine.
C'est un jeune homme ambitieux, qui regarde la « bonne société » avec des yeux à la fois surpris et envieux, qui va se montrer prêt à tout pour parvenir à ses fins. Aujourd’hui, un Rastignac est un arriviste, un « jeune loup aux dents longues ».
Apparition de Rastignac dans la Comédie humaine :
- 1819 : Le Père Goriot écrit en 1835
- Rastignac, jeune étudiant de 22 ans (en fait il a 21 ans, Rastignac se vieillit d’un an lors d’une conversation avec sa cousine, madame de Beauséant), confronté au cynisme des uns (dont Vautrin) et aux duperies des autres, devient amant de Delphine de Nucingen. Après la mort du père Goriot, il pousse son célèbre cri "A nous deux maintenant !", que Balzac complète par un ironique "Et pour premier acte de défi que Rastignac portait à la société, il alla diner chez la baronne de Nucingen." Le cri d'un arriviste.
- 1820 : Le Bal de Sceaux écrit en 1829
- Une année a passé. Le jeune « loup », amant de Delphine de Nucingen, est devenu banquier aux côtés de son mari, le baron de Nucingen.
- 1821-1822 : Illusions perdues écrit de 1836 à 1843
- Rastignac, devenu expert en luttes d’influence, louvoie dans la société. Il sait aussi bien éliminer ceux qui le gênent que se mettre dans le sillage des hommes qui montent.
- 1822 : Le Cabinet des Antiques écrit en 18331.
- Rastignac est devenu membre à part entière du monde des « roués Parisiens », ces meneurs de la société qu’il admirait tant lors de son arrivée à Paris.
- 1823 : Étude de femme paru en février 1830, publié en volume en 1831, remanié pour la dernière fois en 1842
- Rastignac est alors âgé de vingt-cinq ans selon Bianchon, narrateur de cette nouvelle qui montre son ami tenté par la marquise de Listomère, dans une histoire amoureuse qui restera sans suite.
- 1828 : L'Interdiction écrit en 1836
- Rastignac a commencé à profiter aux côtés de Nucingen, il a déjà quatorze mille livres de rente, a doté et marié ses sœurs et songe à quitter Delphine au profit d’une marquise fortunée, la marquise d'Espard. Reste fidèle aux mercredis de Célestine Rabourdin, salon où il retrouve Lucien de Rubempré, Horace Bianchon, et un certain nombre d'intellectuels parisiens
- 1829-1831 : La Peau de chagrin écrit en 1831
- Rastignac a grandement évolué : il est aujourd’hui désabusé, cynique, joueur, « viveur », à la limite de la débauche et de l’auto-destruction.
- 1833-1836 : La Maison Nucingen écrit en 1837
- L’action de ce livre se situe en 1836 mais une conversation entre quatre journalistes révèle l’ascension de Rastignac : encore sans le sou en 1827, Rastignac a rompu en 1833 avec Delphine de Nucingen mais travaille toujours avec son mari qui l’associe à des opérations frauduleuses et lui permet de gagner quatre cent mille francs et de se constituer un rente de quarante mille livres. Il est en passe, en 1836 de devenir ministre, pair de France...
- 1840 : Le Député d'Arcis (commencé en 1847, inachevé à la mort de Balzac, puis paru en 1854 grâce au concours dévoué de Charles Rabou qui s’acquitte là d’une promesse faite à Balzac avant sa mort.)
- Rastignac est pour la seconde fois ministre, il vient d’être fait comte et suit les traces de Nucingen. Il a épousé en 1839 la fille de Delphine et du baron de Nucingen. Le comte Maxime de Trailles, relation de Rastignac, définit ainsi son parcours : « Vous avez fini par épouser l’unique héritière des millions de Nucingen, et vous l’avez bien gagné... vingt ans de travaux forcés ! »
- 1845 : Les Comédiens sans le savoir écrit en 1845
- Rastignac a 48 ans. Le caricaturiste Jean-Jacques Bixiou dit de lui : « Il a trois cent mille livres de rentes, il est pair de France, le roi l’a fait comte, c’est le gendre de Nucingen, et c’est un des deux ou trois hommes d’État enfantés par la Révolution de juillet ; mais le pouvoir l’ennuie quelquefois, et il vient rire avec nous... »
On le retrouve également dans les romans suivants :
- Splendeurs et misères des courtisanes
- Melmoth réconcilié
- Ursule Mirouët
- Les Secrets de la princesse de Cadignan
- Autre étude de femme
- La Cousine Bette
- La Maison du chat-qui-pelote
- Béatrix
- Le Député d'Arcis
Quelques citations :
Chaque suicide est un poème sublime de mélancolie.
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Les sceptiques sont les hommes les plus consciencieux...
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Les individualités disparaissent chez un peuple nivelé par l'instruction !...
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Si le monde tolère un malheur, n'est-ce pas pour le façonner à son usage, en tirer profit,
le bâter, lui mettre un mors, une housse, le monter, en faire une joie ?
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Le bonheur engloutit nos forces, comme le malheur éteint nos vertus.
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Un pouvoir impunément bravé touche à sa ruine.
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Un homme est bien fort quand il s'avoue sa faiblesse.
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Pour les malades, le monde commence au chevet et finit au pied de leur lit.
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Nous avons tous la prétention de souffrir beaucoup plus que les autres.
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Il n'y a pas de sciences ou de vertus qui vaillent une goutte de sang.
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Le livre vaut-il le glaive, la discussion vaut-elle l'action ?
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Quand le despotisme est dans les lois,
la liberté se trouve dans les moeurs et vice et versa
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L'ambitieux se rêve au faîte du pouvoir,
tout en s'aplatissant dans la boue du servilisme
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Placés aux deux extrémités du monde moral, le sauvage
et le penseur ont également horreur de la propriété.
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Le but de la société n'est-il pas de procurer à chacun le bien-être ?
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La liberté enfante l'anarchie, l'anarchie conduit au despotisme
et le despotisme ramène la liberté.
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Le sentiment que l'homme supporte le plus difficilement,
c'est la pitié, surtout quand il la mérite.
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Le XXème siècle est la peau de chagrin de l'homme occidental qui aura vu rétrécir
son empire terrestre et familial au rythme de ses désirs d'universalité.
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Depuis la mollesse d'une éponge mouillée jusqu'à la dureté d'une pierre ponce,
il y a des nuances infinies. Voilà l'homme.
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Le despotisme fait illégalement de grandes choses,
la liberté ne se donne même pas la peine d'en faire légalement de très petites.
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La haine est un tonique : elle fait vivre, elle inspire la vengeance,
mais la pitié tue, elle affaiblit encore notre faiblesse.
***
prochain Balzac prévu : tome 3 :
El verdugo, la paix des ménages, la maison du chat qui pelote, le bal de Sceaux, un épisode sous la terreur, la vendetta, une double famille, étude de femme, adieu, l'elixir de longue vie, sarrazine, une passion dans le désert.
L'Élixir de longue vie est un conte fantastique d’Honoré de Balzac. Cette version du mythe de Don Juan, parut en pré-publication dans la Revue de Paris, en 1830, sous le titre de Festin et Fin, puis en 1846 dans l’édition Furne. Elle figure dans les Études philosophiques.
Un des premiers textes signés du nom de l’auteur : Honoré de Balzac, cette version du mythe de Don Juan est parmi les moins connues du grand public comme le regrette Bernard Guyon2. Le texte semble artificiellement rattaché aux Études philosophiques par un « avis au lecteur » un peu plaqué3. On y voit très nettement l'influence d’Ernst Theodor Amadeus Hoffmann et de ses Élixirs du diable que Balzac a certainement lus
curiosité de lecture
L'hémione, onagre ou âne sauvage d'Asie, est un âne sauvage répandu autrefois dans une grande partie de l'Asie, d'Israël à la Chine. Il peut courir jusqu'à 70km/h.
Il ne survit plus à l'état sauvage que dans des isolats désertiques en Mongolie et dans les régions chinoises frontalières, en Asie centrale (Turkménistan etKazakhstan), en Iran, en Chine dans les monts Kunlun au nord du plateau tibétain2 et dans le Nord de l'Inde, où il souffre de la concurrence humaine, en particulier du fait du pastoralisme. A l'exception de la Mongolie, et dans une moindre mesure de l'Inde du nord, les populations sont peu importantes, et considérées comme très menacées.
Divers projets de réintroduction ont été menés ou sont en cours, et des populations réintroduites dans la nature existent, comme dans le désert du Néguevisraélien, ou en Ouzbékistan.
L'animal est gris, et mesure près de 1,2 m au garrot.
La peau de chagrin évoquée dans le roman d'Honoré de Balzac est une peau d'onagre, dont le pouvoir magique d'exaucer tous les souhaits est dramatiquement assorti d'une terrible malédiction : à chaque souhait ou vœu exaucé, la peau se rétrécit, diminuant d'autant l'espérance de vie de la personne qui la possède. Balzac donne dans son ouvrage une description très savante de l'onagre et émet des hypothèses sur l'origine du nom de sa peau.
Dans la Bible, Ismaël est comparé à un onagre.
L'hémione est l'animal décrit dans la 3e partie de l'œuvre musicale Le Carnaval Des Animaux [Fantaisie Zoologique] de Camille Saint-Saëns.
ils en parlent :
6 commentaires:
Un Balzac que j'avais beaucoup apprécié aussi bien pour sa coloration fantastique que pour son discours philosophiques...
bonsoir Maggie,
en effet très agréable à lire. J'aime bien les contes fantastiques... une petite pile en attente d'ailleurs...
bonne soirée
bises
Bonsoir Annie
Quitte à passer pour un iconoclaste, j'ai essayé quelques Balzac. D'abord lecture imposée à l'école (Eugénie Grandet, le père Goriot) malgré tout cela passait bien. Mais je me suis terriblement ennuyé à la lecture de Splendeurs et misères... Franchement je ne sais pas si je vais récidiver.
Amitiés
bonsoir Oncle Paul,
tu devrais essayer les contes... petites choses assez sympathiques. J'aime assez le fantastique chez lui, et on trouve également des nouvelles qui frôlent le "polar".
je laisse de côté les "grandes oeuvres", déjà lue autrefois...
et bien d'accord "Splendeurs et misères" est passablement ennuyeux.
Essaie L'Auberge rouge
bises
Bah moi j'aime bien Splendeur et misères des courtisanes. Les goûts les couleurs...!
Je récupère ton lien.
bonsoir Marie,
Pas mon préféré... pour l'instant je focalise sur les contes, pour les grands romans, je les garde pour la fin du challenge.
j'en ai pour des années je pense... surtout que bientôt Stendhal va arriver dans ma bibliothèque, et là aussi, grosse envie de relecture...
bises
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