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lundi 10 octobre 2011

Boualem Sansal - Rue Darwin

Rue Darwin de Boualem Sansal, 

  • lectures d'octobre254 pages
  • Editeur : Editions Gallimard (25 août 2011)Collection : Blanche
 « Je l'ai entendu comme un appel de l'au-delà : "Va, retourne à la rue Darwin."   J'en ai eu la chair de poule.   Jamais, au grand jamais, je n'avais envisagé une seule seconde de retourner un jour dans cette pauvre ruelle où s'était déroulée mon enfance. »   Après la mort de sa mère, Yazid, le narrateur, décide de retourner rue Darwin dans le quartier Belcourt, à Alger. « Le temps de déterrer les morts et de les regarder en face » est venu. 



  Une figure domine cette histoire : celle de Lalla Sadia, dite Djéda, toute-puissante grand-mère installée dans son fief villageois, dont la fortune immense s'est bâtie à partir du florissant bordel jouxtant la maison familiale. C'est là que Yazid a été élevé, avant de partir pour Alger. L'histoire de cette famille hors norme traverse la grande histoire tourmentée de l'Algérie, des années cinquante à aujourd'hui.
  Encore une fois, Boualem Sansal nous emporte dans un récit truculent et rageur dont les héros sont les Algériens, déchirés entre leur patrie et une France avec qui les comptes n'ont toujours pas été soldés. Il parvient à introduire tendresse et humour jusque dans la description de la corruption, du grouillement de la misère, de la tristesse qui s'étend… Rue Darwin est le récit d'une douleur identitaire, génératrice du chaos politique et social dont l'Algérie peine à sortir.


"Je refusais la vérité, elle ressemblait tellement à un mensonge. Il est temps alors que le mensonge redevienne la vérité."


"J’ai dû me demander qui j’étais, d’où je venais, et quel mauvais sort m’attendait. Quelles autres questions ? J’étais l’enfant du néant et de la tromperie, je devais me sentir bien seul et triste. Et écrasé par la honte, comme je l’ai été tout au long de ma vie"


"En refusant ma vérité, en niant une partie de moi sans accepter clairement l’autre, je me suis enfermé dans l’ambiguïté, j’ai fini par n’être rien, un être trouble et inconsistant sans avenir parce que sans passé et coupé de son présent."


"je n’ignore pas seulement mes origines, qui est mon père et qui est ma mère, qui sont mes frères et mes sœurs, mais aussi quel monde est ma terre et quel véritable histoire a nourri mon esprit."
Né en 1949, Boualem Sansal, né en 1949 à Theniet El Had, petit village des monts de l’Ouarsenisvit à Boumerdès, près d’Alger. 


blog dédié à l'auteur : http://boualemsansal.blogspot.com/


Détails sur le produitDétails sur le produitDétails sur le produitDétails sur le produitDétails sur le produitDétails sur le produitIl a notamment publié aux Éditions Gallimard Le serment des barbares, prix du Premier roman et Prix Tropiques (collection blanche, 1999, Folio n° 3507), L’enfant fou de l’arbre creux (collection blanche, 2000, Folio n° 3641), Dis-moi le paradis (collection blanche, 2003), Harraga (collection blanche, 2005, Folio n° 4498), 

Le village de l'Allemand : Ou Le journal des frères SchillerLe village de l’Allemand, Grand prix RTL-Lire, Grand prix SGDL du roman et Grand Prix de la Francophonie (collection blanche, 2008, Folio n° 4950).


...  Dans ses romans il malmène, avec brio et non sans raisons, les nationalistes autoproclamés gardiens du peuple, les imans de tous poils cerbères des âmes et de l’au-delà, les idéologues bonimenteurs et quelque autre engeance de malheur.- http://www.histoire-immigration.fr/magazine/2011/10/rue-darwin


Venu d'Algérie et France pour offrir à sa mère de mourir entourée des siens, Yazid retrouve ses frères et soeurs, dispersés aux quatre coins du monde,  Karim (le Marseillais), Nazim (homme d’affaires à Paris), Souad (l’universitaire américaine,) et Mounia (consultante en communication au Canada), seul manque le dernier frère, Hédi, qui est tombé sous la coupe des imans et prépare le djihad.


Yazid est le seul enfant à être resté en Algérie auprès de "sa mère", tous les autres, dès qu'ils ont pu, ont fui.


Lorsqu'il se penche pour un dernier baiser à sa mère sur son lit d'hôpital, il croit l'entendre dire "Va, retourne à la rue Darwin". Et retourner dans cette rue, c'est se pencher sur son passé, faire revivre les vieux fantômes, sortir les squelettes des placards de la famille... c'est aussi, accepter ses origines.


Lala Sadia, Djeda, sa riche et puissante grand-mère, chef de clan de Kadri, ayant bati sa fortune comme propriétaire des plus grands bordel du pays et d'Europe, qui décide, à la mort de son père de faire de Yazid, l'héritier.


Karima, l'épouse du fils décédé, la mère de Yazid et Ferroudja, la prostituée, qui se sont échappées, puis ont repris Yazid au clan.


En 1957, Yazid à 8 ans, il retrouve Karima et sa famille rue Darwin. Le "petit prince" va vivre dans une famille pauvre, dans une pièce avec sa fratrie, sa mère et le nouvel époux de celle-ci.


Yazid, au gré de sa quête de ses origines, (est-il réellement le fils de Karima ou plutôt celui d'une prostituée du bordel de sa grand-mère ?) nous conte l'Algérie de son enfance, celle de la guerre d'indépendance, celle des frontières, la sale guerre de 1991, la guerre contre les pauvres des bidonvilles.


Peu de personnage masculin dans ce roman, dominé par les femmes. 


Le rabbin Simon, qui raconte aux enfants du quartier les contes de la Bible, et qui n'a jamais accepter de partir d'Algérie, mais qui ne parle pas de la Shoah.


Daoud, l'ami d'enfance du phalanstère, exilé par la terrible grand-mère, parce qu'il n'est pas comme les autres... et qu'il faut soigner, allant jusqu'aux électrochocs... Yazid le recherchera lors de son passage à Paris, mais bien trop tard, Daoud est mort. Son ami Jean lui parle de lui et lui révèle son homosexualité, sa mort du sida, et son changement de nom de Daoud en David, en référence au juif errant.


excellent - Roman du mensonge et du silence, mais aussi une grande fresque historique sur l'Algérie des années 50 à nos jours. 


S.O.S dictionnaire

Un phalanstère (du grec Phalanx, formation militaire rectangulaire, et stereos, solide) est un regroupement organique des éléments considérés nécessaires à la vie harmonieuse d'une communauté appelée la Phalange. Le concept, très en faveur dans les milieux intellectuels au xixe siècle, fut élaboré par Charles Fourier et promu par des industriels idéalistes comme Jean-Baptiste André Godin.
C'est un ensemble de logements organisés autour d'une cour couverte centrale, lieu de vie communautaire proche du kibboutz ou du sovkhoze.

ils en parlent...



question de curiosité...
Après cent trente-deux ans de colonisation française, l'Algérie obtient son indépendance le 5 juillet 1962 à l'issue d'une guerre longue et coûteuse, et par le référendum d'autodétermination du 1er juillet 1962.


Belouizdad (anciennement Belcourt lors de la colonisation, puis Hamma Annassers après l'Indépendance) est une commune de la wilaya d'Algeren Algérie, faisant partie de la ville d'Alger.
Belcourt a été construite sur une partie marécageuse de la plaine d'Alger, au pied du ravin de la femme sauvage et du bois des arcades. Belcourt est le nom du premier entrepreneur qui a bati des maisons sur cette plaine.


Portrait imaginaire de Cervantes(il n'existe aucun portait authentifié)1577 Miguel de Cervantes alors prisonnier du roi d'Alger se cacha dans une grotte avant d'être pris.


Albert CamusAlbert Camus a vécu une partie de son enfance à Belcourt, rue de Lyon (actuellement rue Belouizdad).
http://www.histoire-en-questions.fr/personnages/camus%20enfance.html

illustration de http://www.demarcalise.com/?page_id=1423... pour en savoir un peu plus, se rendre sur le site, très intéressant.


curiosité historique

.Au début du xxe siècle, plusieurs leaders algériens revendiquent à la France le droit à l'égalité ou à l’indépendance. Plusieurs partis vont être créés et plusieurs pamphlets seront écrits pour défendre le droit pour les Algériens. Plusieurs penseurs algériens vont vilipender les plus importantes personnalités du régime colonial français. La plupart des figures du mouvement algérien vont être surveillées de près par les services policiers français, d'autres seront exilées vers d'autres pays comme l'a été l'émir Khaled El-Hassani Ben El-Hachemi en Égypte, puis en Syrie. L'émir Khaled préside le premier partie algérien l'association de l'Étoile nord-africaine de 1926 jusqu'à sa mort en 1936. Son rôle fut symbolique puisqu'il fut exilé.

Messali Hadj117Malek Bennabi118Mohamed Hamouda Bensai, Saleh Bensai, Ben Badis119Mohamed Bachir El Ibrahimi,Fodil El OuartilaniLarbi TébessiFerhat AbbasChérif Saâdane120, Omar Ouzeggane, etc., tous vont diverger entre eux sur la question algérienne, cela provoquera l'émergence de plusieurs associations et partis algériens : Parti de la réforme ou mouvement pour l'égalité, Association des oulémas musulmans algériens, le Parti du peuple algérienAmis du Manifeste des Libertés fondé par Ferhat Abbas et dont Chérif Saâdane est membre du comité directeur121Parti communiste algérien.
Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, la Charte de l'Atlantique, la première charte de l'ONU, le plan Marshall, la Ligue arabe, la conférence de San Francisco, etc., tout cela a contribué à l'indépendance de l'Algérie. Lors du congrès de mars de 1945 que les AML ont tenu, les délégués ont proclamé la nation algérienne constituée122, Messali hadj fut élu comme chef du peuple algérien.
Le 8 mai 1945 ont lieu des manifestations d’Algériens dans plusieurs villes de l’Est du pays (Sétif, et le Constantinois), qui devaient permettre de rappeler leurs revendications nationalistes, de manière concomitante avec la liesse de la victoire. À Sétif, après des heurts entre policiers et nationalistes, la manifestation tourne à l’émeute et la colère des manifestants se retourne contre les « Français » : une centaine trouveront la mort dans les jours suivants123. La répression de l’armée française est brutale. Officiellement, elle fait 1 500 morts parmi les Algériens, chiffre potentiellement sous-estimé et probablement plus proche des 20 000 à 30 000 selon l’historien Benjamin Stora. Le Parti du peuple algérien (PPA) estime qu'il y a eu 45 000 morts124. De par la radicalisation qu'ils ont engendrée dans les milieux nationalistes algériens, certains historiens considèrent ces massacres comme le véritable début de la guerre d'Algérie125.
À la suite de ces massacres de Sétif et Guelma, le jour même et alors qu'ils venaient présenter leurs vœux à Yves Chataigneau à l'occasion de la défaite de l'Allemagne nazie ; Mohamed Bachir El IbrahimiFerhat Abbas et Hadj Ahmed Chérif Saâdane seront arrêtés à 10h30, car accusés d'avoir « porté atteinte à la souveraineté française » par fomentation des sanglants événements de Sétif. Ils seront incarcérés à la maison d'arrêt d'Alger puis transférés à celle de Constantine.
À la suite de l'emprisonnement de Messali Hadj et l'interdiction du Parti du peuple algérien, le parti Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques revendique après le statut de l'égalité ou de l'indépendance des Algériens en 1948. Aussi, l'Association des oulémas musulmans algériens fut interdite. Alors, l'Organisation spéciale apparaît et elle a pour but de rassembler les armes pour le combat. Mohamed Belouizdad fut le premier chef de l'organisation clandestine. Ensuite, Hocine Aït Ahmed prend la tête de l'Organisation et continua à œuvrer pour l'achat des armes. La Poste d'Oran fut attaquée par les membres de l'OS.
Ferhat Abbas et Chérif Saâdane, à leur sortie de prison en avril 1946 de Constantine, créent l'UDMA (Union démocratique du manifeste algérien)120Ahmed Ben Bella126 prend la place de Hocine Aït Ahmed en 1949. Le plan de l'organisation est dévoilé et une chaine d'arrestations est entamée par les autorités françaises en 1950. Le Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques niait toute relation avec l'Organisation spéciale.
Le CRUA est fondé en mars 1954, il organisera la lutte armée. Le parti du Mouvement national algérien est fondé en juillet 1954 par les messalistes127. Par la suite, le Front de libération nationale est fondé en octobre 1954 par la branche du CRUA (Comité révolutionnaire d'unité et d'action).
Le Front de libération nationale (Algérie) et le Mouvement national algérien seront rivaux pour le contrôle du pouvoir. Messali Hadj sera libéré de la prison en 1958 et il sera assigné à une résidence surveillée en France.
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En 1954, l’Algérie compte huit millions d'autochtones et un million de « Français d'Algérie » (Pieds-Noirs et Juifs d'Algérie naturalisés).
Après la crise au sein des mouvements nationalistes algériens et les autorités française, un groupe de jeunes se démarque et envisage de faire une guerre armée en vue de l'indépendance.
La guerre se déclenche ainsi le 1er novembre 1954, après la réunion à Alger des six chefs du Front de libération nationale (Algérie) et anciens membres de l'Organisation spéciale, bras armé du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques et aussi responsables du Comité révolutionnaire d'unité et d'action, et après la déclaration du 1er novembre 1954.
L'action armée a été proclamée pendant la nuit dite de la Toussaint Rouge. Le déclenchement des attentats a été signalé à travers le pays et les premiers attentats furent dans les Aurès134. Les six partagent l'Algérie en 6 Wilayaset le ministre de l'Intérieur François Mitterrand est dépêché dans la région des Aurès pour dénoncer les attentats dans le même mois.
Il s'ensuit une guérilla, des maquis et des affrontements. l’Armée française, qui comprend des unités de supplétifs « musulmans » appelés « Harkis », laDirection de la surveillance du territoire et la police française s'attaquent au FLN et à ses proches. Le FLN organise alors son combat sur deux fronts. Sur le plan interne, il met en place une résistance à travers sa branche armée, l’Armée de libération nationale qui au début fait face au Mouvement national algérien et à de multiples crises internes. Le Congrès de la Soummam organise le mouvement insurrectionnel et dégage les propriétés de la Révolution. L’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) et l’Union générale des étudiants musulmans algériens (UGEMA) sont crées pour organiser des révoltes en 1956. Tandis que sur le front diplomatique, il engage ses activités sous la supervision du gouvernement provisoire de la République algérienne, qui plaide la cause algérienne et aussi vécut plusieurs crises ; il réussit néanmoins en 1958 à introduire pour la première fois dans l’agenda des Nations unies la question algérienne, ce qui représenta un franc succès pour la diplomatie algérienne.

Le conflit fut inscrit dans le cadre du processus de décolonisation qui se déroule après la fin de la Seconde Guerre mondiale. Pour la France, cela concerne entre autres l’Indochine françaiseMadagascar, le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, l’Afrique-Équatoriale française et l’Afrique-Occidentale française. Le cas de l’Algérie se différencie des autres en ce sens qu’elle appartenait officiellement au territoire français, avec un million de citoyens dits « du Premier Collège » (les « Pieds-Noirs »), dont certains, les Juifs d'Algérie et de huit millions de citoyens du Deuxième Collège (dit les musulmans), avant l'arrivée du général de Gaulle. Ce dernier négociera directement avec les chefs du FLN lors des accords d'Évian. De Gaule réussit à sauver la république après le putsch des généraux à Alger1961.
Le 19 mars 1962, prend officiellement la fin de la guerre, après la signature du cessez-le-feu, cela met fin à huit ans de guerre en Algérie. Un double référendum est organisé, 8 janvier 1961 et le 8 avril 1962, le référendum sur l'autodétermination en Algérie, les Français de métropole se prononcent pour le choix du général de Gaulle pour les deux.
Le 1er juillet 1962, les Algériens votent massivement pour l'indépendance, le taux est de 99,72 % en faveur du « oui »135. L'indépendance de l'Algérie est officiellement proclamée le 3 juillet 1962.
Les évènements de la guerre d'Algérie, la déclaration d'indépendance - qui consomme la décolonisation -, le climat de violence générale qui régnait dans les derniers mois de la guerre137 ou encore des évènements traumatisants comme le massacre d'Oran138 amèneront la plupart des pieds-noirs à quitter le pays : sur près d'un million139, cent cinquante mille partent avant 1962, six cent cinquante et un mille au cours de cette année. L'histoire des deux-cent mille pieds noirs encore présent après 1962 reste à écrire, selon l'historien Benjamin Stora140. L'Organisation armée secrète se prononce contre l'indépendance de l'Algérie et commet, à la fin de la guerre, plusieurs attentats meurtriers en Algérie141 dont 7 000 au plastic contre les biens et 2 000 contre les individus.
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littérature :

L’Algérie recèle, au sein de son paysage littéraire, de grands noms ayant non seulement marqué la littérature algérienne, mais également le patrimoine littéraire universel dans trois langues : l’arabe, le berbère et le français.
Dans un premier temps, la littérature algérienne est marquée par des ouvrages dont la préoccupation était l'affirmation de l'entité nationale algérienne par la description d'une réalité socioculturelle qui allait à l'encontre des clichés habituels de l'exotisme, c'est à ce titre qu'on assiste à la publication de romans tels que la trilogie de Mohammed Dib, avec ses trois volets que sont la Grande Maisonl'Incendie et le Métier à tisser, ou encore le roman Nedjma de Kateb Yacine293 qui est souvent considéré comme une œuvre monumentale et majeure. D'autres écrivains connus contribueront à l'émergence de la littérature algérienne parmi lesquels on peut citer Mouloud Feraoun294 ,295Moufdi ZakariaMouloud MammeriFrantz FanonJean Amrouche et Assia Djebar. Au lendemain de l'indépendance plusieurs nouveaux auteurs émergent sur la scène littéraire algérienne, ils s'imposeront notamment sur plusieurs registres comme la poésie, les essais ainsi que les nouvelles, ils tenteront par le biais de leurs œuvres de dénoncer un certain nombre de tabous sociaux et religieux, parmi eux il y a Rachid Boudjedra296Rachid MimouniTahar DjaoutLeila Sebbar, Abdelhamid Benhadouga, Yamina Mecharka et Tahar Ouettar.
Actuellement, une partie des auteurs algériens a tendance à se définir dans une littérature d’expression bouleversante, en raison notamment du terrorisme qui a sévi durant les années 1990, l'autre partie se définit dans un autre style de littérature qui met en scène une conception individualiste de l'aventure humaine. Parmi les œuvres récentes les plus remarquées, il y a L’ÉcrivainLes Hirondelles de Kaboul et L’Attentat de Yasmina KhadraLe Serment des Barbares de Boualem SansalMémoire de la chair de l'écrivain d'expression arabe Ahlam Mosteghanemi et enfin le dernier roman d'Assia Djebar Nulle part dans la maison de mon père.- wikipédia

4 commentaires:

Catherine a dit…

Bonjour Mazel, ça faisait un petit bout de temps que je n'étais pas passée. J'ai vu Boualem Sansal à La grande librairie et son livre me semble bien intéressant. J'avais déjà beaucoup aimé Le village de l'Allemand. Bonne semaine et à bientôt.

mazel a dit…

bonjour Catherine,
je passe aussi chez toi, mais rarement un message...
Pour ce livre, vraiment très bien, mais moins que "le village de l'allemand".
bonne soirée,
bises

Kenza a dit…

Bonjour Mazel,
Merci pour ce magnifique billet qui me donne très envie de lire Rue Darwin!
Je n'ai encore rien lu de Sansal, voilà qui va combler un manque grâce à toi.
Bisous et très belle semaine

mazel a dit…

bonjour Kenza,
Un très beau roman que cette "rue Darwin". Un auteur qui vaut la peine d'être lu.
Malgré tout, j'ai une préférence pour "le village de l'allemand".
bises