Avec Frankie - Karine - DeL - Vonnette - Géraldine , je suis une "téméraire du dimanche"... et le challenge se passe chez Cynthia... http://contesdefaits.blogspot.com/2011/06/un-nouveau-challenge-par-ici.html
livres choisis :
1- "Vendetta" de R.J. Ellory
2- "intérieur nord" de Marcus Malte, lu
3- "sans laisser d'adresse" de Halen Coben
4- "Morte-saison sur la jetée-promenade" de Carine Marret (partenariat avec "les agents littéraires"), lu
5- "le sceau du sultan" de Jenny White
3- "sans laisser d'adresse" de Halen Coben
5- "le sceau du sultan" de Jenny White
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.Le Sceau du sultan de Jenny B. White, 475 pages- Editeur : Le Livre de Poche (11 février 2009)Collection : Policier / Thriller
Dans l'Istanbul de la fin du XIXe siècle, on retrouve, à huit ans d'intervalle, les corps de deux jeunes Anglaises sur les rives du Bosphore. Nues, les pupilles dilatées par le poison, elles portent à leur cou un médaillon où figure le sceau personnel du sultan.
Qui sont ces femmes et quel est leur lien avec la maison du sultan ? C'est ce mystère que le magistrat Kamil Pacha est chargé d'élucider, avec l'aide de l'impétueuse fille de l'ambassadeur britannique, Sybil, dans un climat politique des plus délicats.
Entre complots féminins et machinations en tout genre, Jenny White signe un roman lyrique et haletant, où la mort se tapit dans l'ombre des harems impériaux et où les sentiments semblent plus fragiles qu'une orchidée noire.
début de lecture : dimanche 24 juillet
Pourquoi ce livre est-il chez moi ?
trouvé chez mon bouquiniste et comme j'avais un compte assez impressionnant après le rangement de ma bibliothèque, j'ai voulu l'épuiser avant que mon bouquiniste parte en retraite (bientôt)... donc fait une provision de polars et thrillers, et pour découvrir un auteur que je ne connais pas encore.
Bien entendu le nom d'Istanbul n'y est pas étranger non plus.
Jenny B. White est née dans le sud de l'Allemagne. Elle a suivi sa mère aux Etats-Unis à l'âge de sept ans.
Elle a étudié au Lehman College dans le Bronx, destiné aux immigrants. Elle a exercé toute sorte de petits métiers pour vivre.Elle est retournée quelque temps en Allemagne où elle a connu des personnes d'origine turque et elle a été prise d'un grand intérêt pour leur pays. Elle a voyagé en Turquie, y a séjourné 3 ans et y a fait des études de psychologie.De retour aux USA, elle a étudié l'anthropologie, en se spécialisant dans la Turquie.Elle enseigne maintenant l'anthropologie sociale à l'Université de Boston. Elle a publié deux livres sur la Turquie contemporaine. - http://www.babelio.com/livres/Jenny-B-White-Le-Sceau-du-sultan/117537
autres lecteurs :
je n'ai trouvé personne d'autre aillant lu ce livre...
.donc en route pour la Turquie...
p.10 - Kamil Pacha est magistrat au sein de la Cour Inférieure d'Istanbul, son autorité couvre le district de Beyoglu, qui inclut Péra et Galata.
Péra abrite les ambassades et maisons de commerce étrangères alors que, plus bas, le quartier juif de Galata déploie son labyrinthe de rues étroites sur le flanc de la colline, qui descend en pente abrupte jusqu'au bosphore, sur le bras de mer de la Corne d'Or.
p.11 - Nous sommes en l'an Rumi 1302 - soit 1886, selon le calendrier chrétien.
Le calendrier Rumî (en turc : Rumi takvim) est un calendrier basé sur le calendrier julien mais dont l'année 1 correspond à l'hégire, Il était utilisé dans l'empire ottoman après la première tanzimat en 1839 ainsi que par son État successeur, la République de Turquie jusqu'en 1926. Ce calendrier était en usage pour les affaires civiles, le calendrier islamique restant utilisé pour les affaires religieuses. Il s'agit d'un calendrier solaire.
Beyoğlu est un district d'İstanbul situé sur la rive européenne du Bosphore et séparé de la vieille ville (péninsule historique de Constantinople) par la Corne d'Or.
Il est connu sous le nom de Pera (l'autre côté en grec) au cours du Moyen Âge, et ce nom est resté en usage jusqu'au début du xxe siècle et la mise en place de la République turque.
Le district comprend de nombreux quartiers, parmi lesquels on peut citer Galata (la citadelle médiévale génoise dont Beyoğlu est à l'origine), Karaköy, Cihangir, Şişhane, Tepebaşı,Tarlabaşı, Dolapdere ou encore Kasimpaşa. Deux ponts enjambent la Corne d'Or pour relier Beyoğlu à la vieille ville : le pont de Galata et le pont Unkapanı. Beyoğlu est le centre de la vie nocturne d'Istanbul et le plus actif dans le domaine de l'art, du spectacle.
Les quartiers historiques de Galata et Pera ont été habités par les Européens sous l'Empire ottoman.
en savoir plus sur Péra : http://www.istanbulguide.net/istguide/quartiers/pera01.htm
Le quartier de Galata est un quartier d'Istanbul, la plus grande ville de la Turquie. Galata est situé au nord de la Corne d'Or, position qui la sépare du vieux centre de la ville de l'ancienne Constantinople. La Corne d'or est traversée par plusieurs ponts, le plus connu étant le pont de Galata. Plus connu sous le nom de Karaköy, Galata est aujourd'hui un quartier du district de Beyoğlu.
Galata (également connu sous le nom de Pera à l'époque) était une colonie de la République de Gênes entre 1273 et 1453. Au centre du quartier se trouve la tour de Galata, construite par les Génois en 1348 au nord et au plus haut point de la citadelle.
mes prochaines curiosités de lecture...