ma bibliothèque sur Goodreads

Mazel's currently-reading book montage

Louis Lambert - Les Proscrits - Jésus-Christ en Flandre
Au-delà de cette limite votre ticket n'est plus valable
Nos ancêtres les gaulois et autres fadaises
Hhhh
L'Elixir de longue vie


Mazel's favorite books »
}

jeudi 24 février 2011

menus propos et souvenirs de lecture en suivant l'éphéméride...

bonjour tout le monde, 


En fait, rien à vous raconter... un livre abandonné, un autre commencé... le train train habituel...

tous les articles livres L'autre métier des grands écrivains... A vrai dire, la grande majorité des écrivains ne vivaient et ne vivent toujours pas de leur plume. Cependant, la plupart ont une activité professionnelle consacrée à l'écrit, comme l'enseignement ou le journalisme.
Les métiers plus atypiques sont bien plus rares, mais forgent aussi un caractère d'auteur atypique. 
Pour les découvrir, cliquez...

souvenirs de lecture...
"la liseuse" de Fina Casali (Lali)


Jean Pic de la Mirandole, Galerie des Offices1463 : Jean Pic de la Mirandole (Giovanni Pico della Mirandola), philosophe et humaniste italien († 17 novembre 1494).

Afficher l'image en taille réelleDétails sur le produitJean Pic de La Mirandole de Michel Desforges 
Pic de la Mirandole (1463-1494), l'affamé de connaissances, selon le portrait que nous en a livré le XVIIIe siècle, est une figure clé de la pensée non pas seulement italienne mais occidentale. Durant sa courte vie, riche en voyages et en rencontres, émaillée de quelques polémiques avec d'autres érudits et d'un procès retentissant intenté par Innocent VIII, il sut conserver le constant soutien de Laurent de Médicis et vouer une grande part de sa fortune à l'acquisition de manuscrits. Son œuvre, des plus pertinentes bien qu'inachevée, englobe la philosophie, l'humanisme, la spiritualité et l'ésotérisme. Très moderne par certains aspects, elle appartient à la fois au Moyen Age finissant et à la Renaissance en gestation.

La biographie romancée de Catherine d'Oultremont se déroule dans le respect scrupuleux des grandes étapes de ce que fut la vie de jean Pic de la Mirandole : sa quête incessante du savoir qui va le conduire dans toutes les grandes universités et les plus célèbres centres d'études d'Italie, où il rencontrera les plus grands maîtres des plus grandes écoles de pensée de l'époque. Et il y aura surtout Florence où l'on voit jean Pic qui, dans toute la gloire de sa jeunesse, déjà précédé d'une éclatante réputation, sera accueilli en héros à l'académie florentine. On peut imaginer avec quel émerveillement, avec quelle immense ferveur, le jeune homme, subjugué par l'ambiance capiteuse de l'académie, se laissera graduellement fasciner par la vie intellectuelle qu'il y découvrait et par le platonisme florentin tel que l'enseignait Marsile Ficin. Les circonstances y étaient pour beaucoup. Qu'on y pense : Pic a tout juste vingt ans. Il est accueilli avec empressement à la cour du Magnifique, par ceux-là même en qui il voyait, à juste titre, les plus brillants esprits de son temps. Il côtoie Poliziano le poète, les frères Benivieni dont le mystique Girolamo, Laurent lui-même se lie d'amitié avec lui et lui fait l'insigne honneur de soumettre à son jugement quelques poèmes écrits dans sa jeunesse. Il admire le jeune Michel Ange qui y fait ses premières armes, tandis qu'en philosophie le Prince des platoniciens s'empresse et propose protection, aide et assistance au jeune prodige qui s'était confié à lui. Comment supposer que Pic ait pu garder la tête froide face à cette efflorescence intellectuelle, à ce chatoiement d'idées, comment imaginer qu'il puisse ne pas céder à tant de chaleureuses adulations. Et se profile aussi dans l'ombre et faisant contrepoids à tant d'éclats, le sombre et farouche fanatique que deviendra bientôt Jérôme Savonarole... C'est ainsi qu'à travers le roman de Catherine d'Oultremont, nous découvrons en autant de vignettes variées et diverses les foyers les plus vivants de la Renaissance italienne du XVe siècle, avec en arrière-plan les tensions géopolitiques de cette tumultueuse et brillante Italie. Ce roman devient ainsi une belle et vivante introduction à cette période fascinante que fut la Renaissance, d'où allait sortir notre modernité.



de Selma Stern
Comment un prêteur d argent est devenu l interlocuteur privilégié de Charles Quint et a défendu la cause des juifs allemands Un livre de référence sur le statut précaire des juifs dans l Europe de la Renaissance Yossel de Rosheim côtoie les grandes figures de l Allemagne du XVIe siècle: les empereurs Maximilien Ier et Charles Quint, le réformateur Martin Luther, les princes. Une plongée dans un siècle de bouleversements, au temps de la Renaissance, de la Réforme, de l humanisme, des débuts du libéralisme et de la mise en place de l absolutisme. Dans la petite ville de Rosheim en Basse Alsace, Yossel (1478-1554), un érudit devenu prêteur d argent, se lève pour défendre ses frères juifs persécutés et réussit à les placer sous la protection de Charles Quint. L empereur, écoutant leur avocat devenu « commandeur des juifs allemands », les défend à maintes reprises contre les terribles décisions des princes et des villes. L ouvrage est érudit et accessible. Enrichi de plus de 500 notes de référence, il s adresse aux historiens et, du fait de son style littéraire, aux amateurs de la grande Histoire, particulièrement à ceux portés sur le judaïsme, l époque de la Renaissance et l aire germanique.

Afficher l'image en taille réelleCharles Quint de Philippe Erlanger
Souverain des Pays-Bas, roi des Espagnes et des Deux-Siciles, empereur germanique, Charles Quint était le maître d'un des plus grands empires que l'histoire ait connus. Or il se trouve investi de cette prodigieuse puissance au moment où l'Occident change de cap. Se considérant comme le restaurateur sous son sceptre impérial de l'universalité chrétienne, comme le garant suprême de la paix du monde dans l'unité de la foi catholique, il se heurte à la montée des particularismes nationaux et religieux et au dépérissement des valeurs médiévales. La puissance ottomane, l'explosion de la Réforme et enfin le comportement réaliste de la France qui, n'obéissant qu'à l'intérêt national, s'alliait aussi bien aux Turcs qu'aux princes protestants, contribuèrent à l'échec de ce que Philippe Erlanger fait apparaître comme la lutte héroïque et désespérée du dernier César, " gérant de la chrétienté ", pour sauver l'Ancien Monde

Afficher l'image en taille réelleDétails sur le produit.Détails sur le produitTerra nostra de Carlos Fuentes
Paris, à la veille de l'an 2000.
Les flagellants investissent Saint-Germain-des-Prés. Les fumées de l'holocauste s'élèvent des tours de Saint-Sulpice.
Sur les quais, des femmes de tous âges accouchent d'enfants mâles, marqués du sceau de l'Usurpateur : une croix de chair sur l'omoplate et six orteils à chaque pied.
Il ne reste de l'Amérique latine que des terres ravagées et quelques réfugiés, mémoire de leur culture...
Abolissant toute chronologie au profit d'un temps réel qui contiendrait tous les temps, Carlos Fuentes nous restitue l'histoire et les mythes : Charles Quint, Philippe II, Charles II composent la figure du Grand Monarque.
Don Quichotte côtoie Don Juan.
Jeanne la Folle croise des inventeurs d'hérésie, des artistes et des fous, des criminels, de superbes personnages romanesques. Un maître livre... - http://mazel-livres.blogspot.com/2009/04/carlos-fuentes-terra-nostra.html

1597 : Vincent Voiture, poète français († 26 mai 1648).
.
Afficher l'image en taille réelle

1786 : Wilhelm Grimm, écrivain allemand († 16 décembre 1859).

de Jean-Noël Rochut, 
" Les Contes de Grimm ", qui n'en a jamais entendu parler ? Cette œuvre fait partie de l'imaginaire collectif. Elle traverse les époques sans prendre une ride et touche toutes les générations, aussi bien les enfants que les adultes. Si cet ouvrage vous donnera l'occasion de redécouvrir les contes les plus célèbres des frères Grimm, tels Hansel et Grethel, Cendrillon, Blanche- Neige ou Les musiciens de Brême, il vous permettra également de plonger dans un univers inconnu et fascinant, qui mêle le rêve, la magie et le suspense. Voulez-vous rencontrer Le. Diable et sa grande mère Frissonner enlisant L'histoire de celui qui s'en alla apprendre la peur ?Vous esclaffer devant les mésaventures des Sept Souabes ? Il ne tient qu'à vous d'entrer. Ce monde merveilleux et palpitant...

1804 : Charles de Bernard, romancier et nouvelliste français († 6 mars 1850).

Afficher l'image en taille réelleLe Nœud gordien (1838). Texte en ligne


1848 : Eugène-Melchior de Vogüé, académicien français († 24 mars 1910).
Afficher l'image en taille réelle

1903 : Irène Némirovsky, romancière ukrainienne de langue française († 17 août 1942).

Écrit dans le feu de l'Histoire, Suite Française dépeint presque en direct l'exode de juin 1940, qui brassa dans un désordre tragique des familles françaises de toute sorte, des plus huppées aux plus modestes. Avec bonheur, Irène Némirovsky traque les innombrables petites lâchetés et les fragiles élans de solidaritéd'une population en déroute. Cocottes larguées par leur amant, grands bourgeois dégoûtés par la populace, blessés abandonnés dans des fermes engorgent les routes de France bombardées au hasard… Peu à peu l'ennemi prend possession d'un pays inerte et apeuré. Comme tant d'autres, le village de Bussy est alors contraint d'accueillir des troupes allemandes. Exacerbées par la présence de l'occupant, les tensions sociales et les frustrations des habitants se réveillent…
Roman bouleversant, intimiste, implacable, dévoilant avec une extraordinaire lucidité l'âme de chaque Français pendant l'Occupation, enrichi de notes et de la correspondance d'Irène NémirovskySuite Française ressuscite d'une plume brillante et intuitive un pan à vif de notre mémoire.

-Malade, trahi et abandonné par les siens, David Golder, financier redoutable, pourrait accepter la ruine de sa banque. Mais pour sa fille Joyce, frivole et dépensière, sur laquelle il n'a d'ailleurs aucune illusion, le vieil homme décide de reconstruire son empire, et entame cet ultime combat avec une énergie farouche. Paru en 1929, ce roman marquait les débuts d'une jeune romancière d'origine russe, aussitôt saluée comme un écrivain de premier ordre. Elle devait mourir en 1942 à Auschwitz.Irène Némirovsky est également l'auteur de Suite française, roman écrit en 1940, resté inédit jusqu'en 2004, et couronné à titre posthume par le prix Renaudot.

- Soudainement devenus riches, les Kampf donnent un bal pour se lancer dans le monde. Antoinette, quatorze ans, rêve d'y participer mais se heurte à l'interdiction de sa mère. Plus que le récit d'une vengeance, {le Bal }(1930) compte parmi les chefs-d'oeuvre consacrés à l'enfance.


1966 : Alain Mabanckou, écrivain congolais.

Pour tuer ceux qui se dressent sur son chemin, Kibandi fait appel à son double animal : un porc-épic. La petite bête, philosophe, malicieuse, armée de ses redoutables piquants, exécute les souhaits macabres de son maître. Le couple meurtrier sillonne l'Afrique jusqu'au jour où Kibandi rencontre bien plus redoutable que lui...

1938 : Gustave Le Rouge, écrivain français (° 22 juillet 1867).

Gustave le Rouge est un auteur injustement méconnu du grand public bien qu'il ait publié plus d'une centaine d'ouvrages dont certains sont, sans aucun doute, des textes majeurs du " roman populaire ", au sens le plus noble du terme. Publié en 1912 en dix-huit épisodes, Le Mystérieux Docteur Cornélius apparaît sans conteste comme son chef-d'œuvre. Selon Blaise Cendrars, il est " ce roman du monde moderne où, par les tableaux de la nature exotique, son amour des aventures, son goût policier de l'intrigue, son penchant métaphysique, son don de visionnaire scientifique " Le Rouge " a fait la somme du roman du XIXe siècle... ". Grands et petits se plongeront avec délices dans cet univers romanesque singulier, où la puissance créatrice, la fantaisie et l'imagination
dominent. De New York à la Bretagne, du Grand Ouest américain à l'Île des Pendus, la plume de Le Rouge entraîne le lecteur dans des lieux étonnants, mystérieux et énigmatiques, où s'affrontent impitoyablement deux conceptions du monde antagonistes ; l'une, incarnée par le sympathique savant français Prosper Bondonnat dont les travaux de recherches sont orientés dans le seul but d'ajouter une pierre à " l'édifice radieux de la modernité ", l'autre, par le maléfique docteur
Cornélius Kramm, chirurgien esthétique américain, " sculpteur de chair humaine ", inventeur de la " carnoplastie ", obsédé par la conquête du pouvoir et de l'argent.

Aucun commentaire: