bonjour tout le monde,
Et voilà, je suis une mère abandonnée lâchement par son fils parti passer quelques jours à Lyon... Matinée courses alimentaires... donc, rien à raconter de palpitant.
Par contre, dimanche, jour de marché et visite à mon bouquiniste avec une tonne de livres à
rendre.
Je dois également faire un tour ... en librairie... prévu de m'acheter :
Le mystère de nos origines enfin révélé dans un palpitant thriller médiéval.
En nous conduisant vers un secret plusieurs fois millénaire, cette fresque flamboyante, émaillée de passions, de passages secrets, de sortilèges et de sombres machinations, pourraient bien nous ramener aux sources de l’humanité.
Le beau et fougueux chevalier allemand, Lanz von Malberg, ne rêve que d'une chose : intégrer l'ordre militaire et religieux des chevaliers teutoniques. Au cours de l'été 1338, il quitte Mayence et prend le premier navire en partance pour l'Estonie. Là, de terribles épreuves l’attendent mais Lanz n’en aimera pas moins ce pays farouche dont ni l'évangélisation ni la force des armes n'ont su réprimer l'âme irréductiblement païenne. Aux prises avec les sortilèges qui émanent de ces contrées mystérieuses, le jeune homme se verra rapidement confronter aux survivances d'un autre âge. Sous l’égide de la belle et sensuelle Yrmeline, commencera alors pour lui un éprouvant parcours initiatique dont il ne sortira pas indemne tant l’amour qu’il conçoit pour elle le dévore. D’où Yrmeline tient-elle ses effrayants pouvoirs ? Quelle étrange et dangereuse société secrète a réussi à infiltrer les rangs de l’ordre teutonique ? En tentant de démystifier le redoutable chef du Temple Noir, Lanz découvrira les vestiges d’une incroyable civilisation disparue et l’étonnant message que véhiculent les tablettes d’argile de l’antique Mésopotamie. Sans le savoir, le héros de cette aventure hors du commun pourrait bien déchaîner les forces incommensurables de notre très lointain passé. Mais, heureusement, le vaillant seigneur pourra compter sur l'aide de Petras, un astucieux petit garçon et celle d’un vieil érudit breton dont les connaissances sont pour le moins surprenantes, elles-aussi ! Au fil de ses tribulations, Lanz finira par découvrir le plus extraordinaire secret de tous les temps...
Original et bien documenté, ce premier tome d'une force rare saura tenir le lecteur en haleine jusqu'à la fin.
Le tome 2 : "Yrmeline et le château du Graal" est en cours d'écriture.
En nous conduisant vers un secret plusieurs fois millénaire, cette fresque flamboyante, émaillée de passions, de passages secrets, de sortilèges et de sombres machinations, pourraient bien nous ramener aux sources de l’humanité.
Le beau et fougueux chevalier allemand, Lanz von Malberg, ne rêve que d'une chose : intégrer l'ordre militaire et religieux des chevaliers teutoniques. Au cours de l'été 1338, il quitte Mayence et prend le premier navire en partance pour l'Estonie. Là, de terribles épreuves l’attendent mais Lanz n’en aimera pas moins ce pays farouche dont ni l'évangélisation ni la force des armes n'ont su réprimer l'âme irréductiblement païenne. Aux prises avec les sortilèges qui émanent de ces contrées mystérieuses, le jeune homme se verra rapidement confronter aux survivances d'un autre âge. Sous l’égide de la belle et sensuelle Yrmeline, commencera alors pour lui un éprouvant parcours initiatique dont il ne sortira pas indemne tant l’amour qu’il conçoit pour elle le dévore. D’où Yrmeline tient-elle ses effrayants pouvoirs ? Quelle étrange et dangereuse société secrète a réussi à infiltrer les rangs de l’ordre teutonique ? En tentant de démystifier le redoutable chef du Temple Noir, Lanz découvrira les vestiges d’une incroyable civilisation disparue et l’étonnant message que véhiculent les tablettes d’argile de l’antique Mésopotamie. Sans le savoir, le héros de cette aventure hors du commun pourrait bien déchaîner les forces incommensurables de notre très lointain passé. Mais, heureusement, le vaillant seigneur pourra compter sur l'aide de Petras, un astucieux petit garçon et celle d’un vieil érudit breton dont les connaissances sont pour le moins surprenantes, elles-aussi ! Au fil de ses tribulations, Lanz finira par découvrir le plus extraordinaire secret de tous les temps...
Original et bien documenté, ce premier tome d'une force rare saura tenir le lecteur en haleine jusqu'à la fin.
Le tome 2 : "Yrmeline et le château du Graal" est en cours d'écriture.
Au Moyen Âge, la foi est omniprésente. On aime Dieu mais on le craint, on vénère la Vierge, les saints, on croit au pouvoir des reliques... De ce point de vue, la maladie est punition du pécheur, la guérison est récompense ou miséricorde. Tout dépend de Dieu. Nul mieux que Gautier de Coinci n’a su le montrer : dans ses Miracles, il a évoqué cela avec un tel talent qu’il a marqué les esprits. Son style frappe, dérange. Son message passe par les images, par les mots crus, par ses propres interventions. De la sorte, ses Miracles de Nostre Dame ne sont pas seulement une œuvre littéraire majeure du Moyen Âge. Ils constituent aussi une source étonnante sur la maladie aux XII° et XIII° siècles et sur le sens que la religion donnait alors à ces étranges dérèglements du corps : on verra ici que la maladie faisait l’objet d’une véritable appropriation par l’Église, laquelle, sciemment ou non, profitait de la peur engendrée pour transmettre ses messages moralisateurs.
Archangela et Seraphina se sont pas des anges mais plutôt des maquerelles. Et quand une loi interdit la prostitution, les deux dames sont bien obligées de cacher leur personnel dans une maison close désaffectée, en attendant des jours meilleurs. La justice et la prostitution n'ont jamais fait très bon ménage. Mais les dames recluses et inactives finissent par avoir des montées de fièvre, si bien que certaine viennent à mourir d'étrange façon...(lecture commune de février)
terminé Le Troisième Jour deChochana Boukhobza ... un beau roman, mais un peu déçue, pas tout à fait ce que j'espérai... trop de place faite à l'histoire de Rachel alors que j'attendai plus celle d'Elisheva. Mais reste tout de même une très belle lecture.
commencé Les Veufs Noirs de Isaac Asimov
Les Veufs Noirs, ce sont six hommes, ni veufs ni forcément célibataires, qui se réunissent pour manger, boire, bavarder... et résoudre les énigmes que vient leur présenter leur invité. En marge de l'immense oeuvre de science-fiction qui l'a consacré, Isaac Asimov a lorgné du côté d'Hercule Poirot et de ses " petites cellules grises " pour concocter ces soixante bijoux d'astuce et d'humour.
.et maintenant passons à mes souvenirs de lecture...
1519 : Hernán Cortés s'aventure au Mexique. Il quitte Cuba avec une petite troupe de soldats. Contre l'avis du gouvernement espagnol de l'ile, il gagne la côte du Mexique avec l'idée de conquérir les royaumes mystérieux qui s'y trouvent. C'est le début de la pénétration européenne sur le continent américain.
Les Conquistadors de Jules Verne
De la découverte du Pacifique par Balboa en 1513 au triomphe de Pizarre au Pérou en 1535, les " Conquistadors " ont accompli des conquêtes décisives en Amérique du Sud en moins d'un quart
de siècle. Si l'appât de la richesse les guidaient sans aucun doute, ils furent aussi sensibles à autre chose que la fièvre de l'or : poussés par l'ambition de vivre en seigneurs de vassaux indiens, ils avaient conscience de participer pleinement à une entreprise extraordinaire, qui égale et surpasse les exploits des plus grands héros de l'Antiquité ou des chevaliers de la Reconquête, comme en témoigne l'Histoire véridique de la conquête de la Nouvelle-Espagne du soldat Bernal Diaz del Castillo.
En 1550, une question agite la chrétienté : qui sont les Indiens ? Une catégorie d'êtres inférieurs qu'il faut soumettre et convertir ? Ou des hommes, libres et égaux ?
Un légat envoyé par le pape doit en décider. Pour l'aider, deux religieux espagnols. Tout oppose Ginès de Sépulvéda, fin lettré, rompu à l'art de la polémique, et Bartolomé de Las Casas, prêtre et homme de terrain ayant vécu de nombreuses années dans le Nouveau Monde. Le premier défend la guerre et son cortège d'atrocités au nom de Dieu. Le second lutte contre l'esclavage des Indiens. Un face à face dramatique dont l'écho retentit encore.
1685 : L'explorateur français René Robert Cavelier de La Salle établit la première colonie au Texas.
Texas,: de James-A Michener,
Le Texas attise toutes les convoitises : depuis l'arrivée des premiers Espagnols jusqu'à la bataille d'El Alamo, les hommes se battent pour l'habiter. Au milieu du désert, les chemins de plusieurs familles - les Garza du Mexique, les Quimper du Tennessee, les Macnab d'Ecosse - se croisent : guerres, conquêtes et trahisons tracent tour à tour l'incroyable destin du plus turbulent des États d'Amérique.
1564 : Michel-Ange, peintre, sculpteur, poète et artiste italien (° 6 mars 1475).
- PRIX GONCOURT DES LYCEENS 2010 de Mathias Enard
13 mai 1506, un certain Michelangelo Buonarotti débarque à Constantinople. A Rome, il a laissé en plan le tombeau qu'il dessine pour Jules II, le pape guerrier et mauvais payeur. Il répond à l'invitation du Sultan qui veut lui confier la conception d'un pont sur la Corne d'Or, projet retiré à Leonardo da Vinci. Urgence de la commande, tourbillon des rencontres, séductions et dangers de l'étrangeté byzantine, Michel Ange, l'homme de la Renaissance, esquisse avec l'Orient un sublime rendez-vous manqué. Par l'auteur du très remarqué "Zone" (prix Décembre 2008 et prix du livre Inter 2009).
Au temps où la Joconde parlait de Jean Diwo
« Le métier de peintre tient de l'alchimie. Écoute et regarde car il ne s'apprend que de bouche à oreille, de maître à élève. Tout cela pour disposer d'une belle matière sans laquelle il ne peut y avoir de bonne peinture. »
À dos de mule, à l'aube de la Renaissance, un jeune peintre italien s'en fut jusqu'à Bruges recueillir le secret d'une lumière nouvelle. C'était Antonello de Messine. Un peu plus tard, Laurent « le Magnifique » règne sur Florence. Autour de lui, des premiers pas - et premières esquisses - se font remarquer. Où l'on retrouve Botticelli, Michel-Ange, Raphaël, Léonard de Vinci...
Jean Diwo pousse ici délicatement les portes des ateliers les plus prestigieux pour nous conter l'histoire des acteurs d'un temps unique celui où la Joconde parlait.
Le rêve Botticelli de Sophie Chauveau
Florence, quinzième siècle. Sous le règne de Laurent le Magnifique, jamais le sang, la beauté, la mort et la passion ne se sont autant mêlés dans la capitale toscane. Le plus doué des élèves de Fra Filippo Lippi, un certain Sandro Filipepi surnommé depuis l'enfance " botticello - le petit tonneau " va mener à son apogée la peinture de la Renaissance. Maître d'œuvre de la chapelle Sixtine, créateur bouleversant d'un Printemps inouï, il ressent intimement et annonce les soubresauts de son époque. Pendant que Savonarole enflamme la ville par ses prophéties apocalyptiques, il continue à peindre avec fougue. Il entretient alors avec Léonard de Vinci une relation faite de rivalité farouche et d'amitié profonde. Adulé puis oublié de tous, aussi secret que Florence est flamboyante, Botticelli habite un rêve connu de lui seul.
La passion Lippi de Sophie Chauveau
Florence 1414. Un enfant hirsute, aux pieds couverts de corne, griffonne furieusement une fresque remarquable à même le sol d'une ruelle des bas-fonds de la ville. Miraculeusement repéré par Cosme de Médicis et placé au couvent des carmes, il va faire souffler un vent de passion sur la peinture de la
Renaissance. Moine et libertin, artiste intransigeant et manipulateur sans scrupules, futur maître de Botticelli, ses sublimes madones bouleversent son époque. Elles lui sont pourtant très intimement inspirées par les filles des maisons de plaisir de Florence qui en ont fait leur petit prince caché. Bravant tous les interdits et jusqu'à l'autorité suprême du Pape, il commet par amour l'ultime provocation. Le scandale le pousse à l'exil et le renvoie au secret sanglant enfoui au cœur de son enfance. Peintre voyou, ange ivre, fra Filippo Lippi invente un rapport nouveau entre l'art et le monde de l'argent et, le premier, fait passer les peintres du statut d'artisans estimés à celui d'artistes reconnus.
Renaissance. Moine et libertin, artiste intransigeant et manipulateur sans scrupules, futur maître de Botticelli, ses sublimes madones bouleversent son époque. Elles lui sont pourtant très intimement inspirées par les filles des maisons de plaisir de Florence qui en ont fait leur petit prince caché. Bravant tous les interdits et jusqu'à l'autorité suprême du Pape, il commet par amour l'ultime provocation. Le scandale le pousse à l'exil et le renvoie au secret sanglant enfoui au cœur de son enfance. Peintre voyou, ange ivre, fra Filippo Lippi invente un rapport nouveau entre l'art et le monde de l'argent et, le premier, fait passer les peintres du statut d'artisans estimés à celui d'artistes reconnus.
Qui était vraiment Léonard de Vinci ? On connaît l'inventeur virtuose, le scientifique précurseur... mais qu'en est-il de l'homme, des ressorts de sa créativité ? Des bas-fonds de Florence à la forteresse de Ludovic le More, des campagnes guerrières de Borgia à la cour de François Ier, Léonard veut tout connaître, tout essayer, tout explorer. Sa ville, Florence, le boude. Rome le rejette. Venise se méfie de lui... Pourquoi ? Quelles relations eut-il avec ses pairs, Michel-Ange et Botticelli ? Sophie Chauveau nous raconte la vie de Léonard de Vinci avec la rigueur et la puissance narrative qui ont fait le succès de La passion Lippi et du Rêve Botticelli. Elle rend ainsi hommage aux artistes qui ont, il y a cinq siècles, conquis leur liberté. " Le siècle de Florence " s'éteint avec le plus mystérieux d'entre eux.
Léonard de Vinci de Sophie Chauveau
Visionnaire de génie, séducteur invétéré, esprit mordant, Léonard de Vinci (1452-1519) veut tout connaître du monde. De la physique à la botanique, de la géologie à l'anatomie, en passant par l'astronomie, la musique, les mathématiques, l'architecture, la sculpture, le dessin, la peinture, rien ne doit échapper à son insatiable curiosité. Pourtant, si l'on excepte son goût pour l'organisation de fêtes spectaculaires, nombre de ses travaux restèrent à l'état d'ébauches. Ainsi, à peine une douzaine de tableaux peuvent-ils lui être attribués avec certitude. Et si ce n'étaient les milliers de pages de ses fameux Carnets, l'emploi du temps de l'inépuisable inventeur resterait une énigme que Sophie Chauveau tente ici de percer. En toile de fond : l'Italie de la Renaissance.
" Guide fidèle de ma vocation, dès le berceau je reçus la beauté, qui pour les deux arts m'est lampe et miroir. Penser autrement est fausse opinion. Elle seule élève l'œil vers le sublime qu'or je m'apprête ici à peindre et à sculpter. " Sculpteur, peintre, architecte, poète, le " Divin Michel-Ange " (1475-1564) incarne l'Homme universel de la Renaissance italienne. Remarqué à quinze ans par Laurent le Magnifique, il vécut entre Florence et Rome. Ses colères tinrent en respect sept papes pour lesquels il créa une œuvre titanesque, en rédemption de son " péché d'imperfection ".
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