ma bibliothèque sur Goodreads

Mazel's currently-reading book montage

Louis Lambert - Les Proscrits - Jésus-Christ en Flandre
Au-delà de cette limite votre ticket n'est plus valable
Nos ancêtres les gaulois et autres fadaises
Hhhh
L'Elixir de longue vie


Mazel's favorite books »
}

jeudi 24 février 2011

Isaac Asimov - Les Veufs Noirs

bonjour tout le monde,
.Couverture*Les Veufs Noirs 1104 pages

  • Le Club des Veufs Noirs
  • Retour au club des Veufs Noirs
  • Casse-tête au club des Veufs Noirs
  • A table avec les Veufs Noirs
  • Puzzles au club des Veufs Noirs

4ème de couverture : Les Veufs Noirs, ce sont six hommes, ni veufs ni forcément célibataires, qui se réunissent pour manger, boire, bavarder... et résoudre les énigmes que vient leur présenter leur invité. En marge de l'immense oeuvre de science-fiction qui l'a consacré, Isaac Asimov a lorgné du côté d'Hercule Poirot et de ses " petites cellules grises " pour concocter ces soixante bijoux d'astuce et d'humour..

Asimov, vu par Rowena Morrill, sur un trône orné des symboles de son œuvre littéraireIsaac Asimov1, né vers le 2 janvier 19202 à Petrovitchi (aujourd'hui en Russie) et mort le 6 avril 1992 à New York auxÉtats-Unis, est un écrivain américain, naturalisé en 1928, surtout connu pour ses œuvres de science-fiction et ses livres de vulgarisation scientifique.
Issu d’une famille juive, fils de Judah Asimov, Isaac naquit à Petrovichi — près de Smolensk, en Russie — à une date inconnue, entre le 14 octobre 1919 et le 2 janvier 1920 (c’est à cette date-ci qu'il célébrait son anniversaire, adulte)2. Pour des raisons mal définies et sur invitation de Joseph Berman, demi-frère de la mère d’Asimov, il émigra aux États-Unis au début de l'année 1923, à l'âge de trois ans, en compagnie de ses parents et de sa sœur cadette 3.
Le Cycle des veufs noirs (The Black Widowers) constitue une sorte de reprise du Club du mardi d’Agatha Christie. Il s'agit d'un groupe se réunissant périodiquement autour d'un bon diner. Ni forcément veuf, ni forcément célibataire, chacun des six membres, à tour de rôle, doit venir accompagné d'un invité. Une anecdote racontée par ce dernier sert généralement de point de départ à la nouvelle.

Mon commentaire début de lecture : 18/02/11 - fin de lecture : 23/02/11
difficile ! c'est gentillet et naïf... et ces petites historiettes à répétition sont assez lassantes...

 j'ai bien des difficultés à garder les yeux ouverts et ne pas m'endormir d'ennui... 

et 1.104 pages ... ça sent fortement l'abandon... 

24/02/11 : abandonné ! enfin j'ai tout de même appris un mot... voir en fin d'article dans "curiosité de lectrice"...

mon appréciation et dire que c'est un livre que j'ai acheté ! il va vite se retrouver échanger chez mon bouquiniste, et tant pis pour les challenges...  Ma note : /

Pour en savoir plus (extrait de JC Monot)

Les veufs noirs sont des hommes d'origines différentes se réunissant une fois par mois pour partager un bon repas dans un restaurant de New York. Ce groupe exclusivement masculin est composé de six membres, chacun invitant à tour de rôle une personne qu'il trouve intéressante (parfois un ami, parfois une simple connaissance) et qui se fera cuisiner.


Il devra ainsi répondre à toutes les questions qui lui seront posées ; mais à chaque fois, l'invité amène avec lui un mystère, qui peut aller de l'événement anodin au meurtre jamais élucidé. Cette énigme donne lieu à une discussion endiablée, et dévoilera finalement sa solution, grâce à la présence fort discrète et pourtant indispensable du septième membre du club : le serveur.


Henry le serveurGeoffrey Avalon, prénommé aussi Jeff, grand brun, maigre, à la moustache soigneusement taillée et à la barbe plus blanche que brune, il est avocat-conseil en brevets, et, aussi bien dans son travail que dans sa vie personnelle, est une personne très minutieuse ;

Thomas Trumbull, personnage fort discret, peut-être à cause de son emploi dont on apprend qu'il est lié au gouvernement et a trait à la cryptographie ;

Emmanuel Rubin, aussi prénommé Manny, juif, écrivain de romans de tous genres (et pas seulement policiers, tient-il à préciser), à la petite barbe rabougrie ;

James Drake, docteur Drake, ou mieux, docteur docteur Drake, comme il se plait à se nommer, car chaque membre du club porte d'office le titre de docteur; d'où le double emploi car Drake est docteur en chimie organique, et possède une connaissance encyclopédique ;


Mario Gonzalo, artiste peintre, il esquisse aussi le portrait de chaque invité ;

Roger Halsted, professeur de mathématiques et amateur de limerick, en particulier sur l'Iliade et l'Odyssée, dont il abreuve quelques fois ses amis ;

Henry, le précieux serveur dont personne ne connaît le nom de famille, et qui apporte finalement la solution à toutes les énigmes, avec une modestie inégalée.







autres lecteurs : 
.ce cher Oncle Paul, http://mysterejazz.over-blog.com/article-isaac-asimov-les-veufs-noirs-47668316.html - Les explications, les commentaires d’Asimov après chacune de ces historiettes sont en elles-mêmes des moments de lecture fort agréables pour leur humour à la fois naïf et légèrement mégalo.



http://biblioallie.canalblog.com/archives/2007/09/04/6100639.html -  C'est bien écrit, amusant et agréable. Les amateurs de devinettes et d'histoires de déductions seront ravis.



Curiosité de lectrice :

3325333, Getty Images /Hulton Archive
Un limerick est un poème humoristique, à l'origine en anglais, de 5 vers rimés (rimes aabba), de caractère souvent grivois, irrévérencieux ou irréligieux.
Le rythme du limerick se fonde sur les accents toniques, et est totalement indépendant du nombre de syllabes :
  • Les deux premiers vers ont trois accents, et riment entre eux;
  • Les deux suivants ont deux accents, et riment entre eux (en typographie, les vers 3 et 4 sont parfois fondus en un seul, fait de deux hémistiches rimant);
  • Le dernier a trois accents, et rime avec les deux premiers.
C'est généralement dans ce dernier vers que se trouve la "pique" irrévérencieuse ou paradoxale, à laquelle les premiers vers préparent le terrain.
Le nom viendrait, d'après l'Oxford Dictionary of English, du refrain « Viendras-tu à Limerick ? », chanté entre des vers improvisés lors d'une réunion.
Edward Lear, qui en a popularisé la forme, en a écrit un certain nombre devenus connus (voir un exemple dans l'article correspondant – noter cependant que lui-même ne les appelait pas « limericks » mais « nonsense verses »). On en trouve aussi dans le roman de John Irving L'Œuvre de Dieu, la Part du Diable.
On raconte qu'il y a trois sortes de limericks : ceux que l'on peut dire aux dames ; ceux que l'on peut répéter aux curés ; et les vrais.
voir aussi :


************** innoubliable, coup de coeur


 excellent
 très bien
  bien
 moyen
 se laisse lire, sans plus
 bof ! pas génial
 nul 



2 commentaires:

Oncle Paul a dit…

Ce gros volume comporte est l'ensemble de plusieurs publications aussi comme un gros gâteau est indigeste si on veut tout lire à la suite. Il faut savoir déguster. Moi j'ai bien aimé, mais j'avoue que je suis plus mystère et énigme que roman noir. Ceci explique peut-être cela.
Amitiés

mazel a dit…

bonjour Oncle Paul,
je n'ai lu que la 1ère histoire... et je l'ai trouvée plutôt agaçante... dans le genre je préfère "Jeeve".

Donc abandon, pour le moment... je verrai plus tard, mais sans essayer de lire l'histoire d'un seul mouvement, il me servira à faire la transition entre deux livres.

Je n'aime pas trop avoir plusieurs livres en cours, mais je pense que tu as raisons, à lire tout doucement.

bonne journée
bises