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lundi 21 février 2011

C'est lundi, que lisez-vous ?... maudits tentateurs !

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C'est le jour du rendez-vous initié par Mallou et proposé par Galleane

Qu'est-ce que j'ai lu la semaine dernière ?

.Chochana Boukhobza - Le Troisième Jourpal de noël 2010... agréable roman.


Qu'est-ce que je lis en ce moment ?
Détails sur le produit.Les Veufs Noirs de Isaac Asimov - pal de noël 2010... risque d'abandon...

Que lirai-je cette semaine ?

Détails sur le produit
- pal de noël 2010...


Bonne semaine, bonnes lectures et à lundi prochain !





les tentations de blogonautes...maudits tentateurs... je vous aime :

sur une idée de l'amie VILVIRT 






Le coeur de l'homme d'affaires enlevé a été restitue a sa famille. Il a été arraché de sa poitrine selon la tradition des sacrifices aztèques, il est posé sur un socle portant le dessin d'une feuille mystérieuse. Des messages arrivent qui utilisent le calendrier aztèque et les vers d'un roi-poète pour annoncer les meurtres à venir. Des hommes politiques sont enlevés et sacrifiés. Le suspect boiteux porte le nom d'un botaniste mort depuis des siècles, les autorités du pays font preuve d'une mauvaise volonté manifeste... La police ne mettant pas toute l'énergie nécessaire à la résolution de ces énigmes, les recherches sont menées par un trio d'enquêteurs. Dans un gigantesque jeu de piste à travers la ville de Mexico et ses sites archéologiques, ils vont croiser un hippie spécialiste des plantes médicinales de la forêt lacandone, un vieil Américain qui dit avoir connu Zapata, et des Indiens qui ne vieillissent pas. Ce magnifique thriller qui plonge dans les racines de la culture mexicaine nous révèle les secrets de la mort programmée des cellules, parle de la nécessité de protéger les savoirs et les patrimoines botaniques indiens et nous fait vivre des aventures ébouriffantes sous la conduite d'un nouvel auteur, au style solide et brillant, fin connaisseur et amoureux du Mexique.




Dans un pays sans nom, un événement extraordinaire plonge la population dans l'euphorie: plus personne ne meurt. Mais le temps, lui, poursuit son œuvre, et l'immortalité, ce rêve de l'homme depuis que le monde est monde, se révèle n'être qu'une éternelle et douloureuse vieillesse. L'allégresse cède la place au désespoir et au chaos : les hôpitaux regorgent de malades en phase terminale, les familles ne peuvent plus faire face à l'agonie sans fin de leurs aînés, les entreprises de pompes funèbres ferment, les compagnies d'assurance sont ruinées, l'État est menacé de faillite et l'Église de disparition, car sans mort il n'y a pas de résurrection et sans résurrection il n'y a pas d'Église. Chacun cherche alors la meilleure façon, ou la pire, de mettre fin au cauchemar de la vie éternelle, quitte à faire appel aux mafias, à passer des accords que la morale réprouve, ou à laisser la corruption gangréner la société. Jusqu'au jour où la mort décide de reprendre du service...




« Chers libraires, le dix-neuvième siècle regorge d’événements plus ou moins mystérieux : les Protocoles des sages de Sion, célèbre faux qui incita Hitler à mettre en place l’Holocauste, l’affaire Dreyfus, mais aussi de nombreuses intrigues impliquant les services secrets de plusieurs na-tions, des loges maçonniques, des conspirations jésuites, ainsi que d’autres épisodes qui, s’ils n’étaient avérés, inspireraient des feuilletons comme ceux d’il y a 150 ans.

Ce roman est un récit à épisodes, dont tous les personnages – protagoniste mis à part – ont réellement existé, jusqu’au grand-père du héros, auteur d’une mystérieuse missive à l’abbé Barruel, lettre qui engendra l’antisémitisme moderne.
Le seul personnage de fiction du roman (mais qui ne nous en rappelle pas moins de nombreuses personnes croisées au hasard de nos rencontres) devient ainsi l’auteur de diverses machinations et complots, tandis qu’en toile de fond d’extraordinaires coups de théâtre se succèdent : les cani-veaux se remplissent de cadavres, les bateaux explosent alors qu’un vol-can entre en éruption, des abbés sont poignardés, des notables portent des barbes postiches, des satanistes hystériques célèbrent des messes noires, etc. L’ouvrage est illustré, à l’instar des feuilletons d’autrefois. Ces images sont des documents d’époque, et pourraient ainsi éveiller une certaine nostalgie chez le lecteur désireux de retrouver les livres de sa jeunesse.
Je m’adresse également à deux autres types de lecteurs. D’abord à celui qui n’a aucune idée que ces événements ont réellement eu lieu, qui ne connaît rien à la littérature du dix-neuvième siècle et qui, donc, a pris Dan Brown pour argent comptant et se délectera avec une satisfaction sadique de ce qu’il pensera être une invention perverse, ce qui vaut également pour le personnage principal, que j’ai voulu le plus cynique et le plus exécrable de toute l’histoire de la littérature. Mais je m’adresse aussi à celui qui sait, ou du moins se doute, que je relate des faits avérés et qui, peut-être, se rendra compte que la sueur perle à son front, lancera des regards inquiets par-dessus son épaule, allumera toutes les lumières de son appartement, et devinera qu’il n’est pas à l’abri et que tout cela pourrait arriver aujourd’hui aussi – d’ailleurs, peut-être est-ce le cas en ce moment même. Et il pensera alors, comme je l’espère : « Ils sont parmi nous… » - 
Umberto Eco







Qui sème des corps, récolte des osselets. Lui, Maximilien Lachamp, le grand paléoanthropologue, le roi des fossiles, embringué dans une histoire de meurtre. Alors que la postérité retiendra son nom pour son travail sur Homo octavius, cette postérité sera entachée par un petit cadavre de rien du tout inhumé sous une couche de terreau mélangé de tourbe, de plantes décomposées, fossilisées, avec un soupçon d'argile. Non. Jamais ! Il fallait agir d'une façon non officielle. Et demander de l'aide. À qui ? Au commissaire Workan !... Erreur fatale ! Après une plongée dans le monde médical avec Hortensias Blues, une virée îlienne avec Cézembre noire et un astucieux cambriolage dans La nuit du tricheur, Hugo Buan nous emmène avec verve et humour dans son nouveau roman au coeur d'une véritable guerre entre scientifiques.




Une nuit, la psychiatre Diandra Warren reçoit un appel anonyme et menaçant qu'elle croit lié à l'une de ses patientes. Quand arrive au courrier une photo de son fils Jason sans mention de l'expéditeur, elle prend peur et demande de l'aide à Patrick Kenzie et Angela Gennaro. C'est pour les deux détectives le début d'une affaire bouleversante qui va les confronter à l'inacceptable, jusqu'à l'imprévisible dénouement.




Premier volume d'une série mettant en scène un attachant médecin surnommé "Sauve-du-Mal" en raison de sa générosité, ce roman ravira les amateurs de policiers historiques dans la veine de ceux écrits par Jean-François Parot. On retrouve presque la même époque historique, le même style d'écriture, précis et raffiné, et les mêmes ballades à travers la capitale. Ici, on éprouve plus de difficultés à rentrer dans l'histoire, car les rebondissements sont un peu moins nombreux, mais Sauve-du-Mal mérite qu'on suive de près ses aventures.-
Unlecteurdu21 

impossible de me souvenir qui est le ou la tentatrice...



Créé à l'automne 2010, le Prix Concours est destiné à couronner un ouvrage original.
Afin d'éviter les inutiles tentatives de corruption auxquelles se livrent certaines maisons d'édition, les membres du jury ont décidé, à l'unanimité, de respecter un strict anonymat.
Le Prix Concours 2010 a été attribué à La tarte et le suppositoire de Michel Ouellebeurre.




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