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mardi 21 juin 2011

Serge Brussolo - La princesse noire

La princesse noire
Capturée puis vendue comme esclave par des pillards vikings, Inga est achetée par une étrange châtelaine surnommée La princesse noire. Quel est le secret de cette femme solitaire qui règne en maître sur un manoir en ruine où elle recueille des enfants infirmes abandonnés par leurs parents ? Inga sent qu'unmystère pèse sur les lieux. Les adolescents dont elle a la garde chuchotent de bien curieuses histoires à propos d'une créature qui hanterait les souterrains. 
Un assassin qui, tel l'ogre des contes, viendrait à chaque nouvelle lune prélever son tribut de chair fraîche. Qui se cache sous le masque d'un dieu barbare pour commettre ses crimes en toute impunité ? Quelles manigances se trament dans le secret des oubliettes ? 
Dans la lignée de La Captive de l'hiver ou de L'armure de vengeance, ce thriller médiéval entraîne le lecteur dans un tourbillon de mystère, de superstitions et de passions obscures.

 de Serge Brussolo - est un écrivain français de science-fiction, de fantastique, de thriller et de roman historique né le 31 mai 1951 à Paris. http://brussolo.serge.pagesperso-orange.fr/

mon avis : pas vraiment fan de Brussolo, je trouve ses livres assez inégaux, mais malgré tout, j'aime suffisamment pour les acheter lorsque je les trouvent en brocantes ou chez mon bouquiniste. De temps en temps j'aime bien une lecture facile.


Avec la princesse noire, roman très agréable, du fantastique et du surnaturel, des ogres, des monstres, des voleurs d'enfants, des légendes, des guerriers sanguinaires, etc. Mais tout est bien qui finit bien...


Vu le nombre de commentaires de lecture pour ce livre, et comme je suis assez flemmarde... je me contenterai de laisser aller ma curiosité habituelle.

Autres lecteurs :

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voir sur le blog de l'auteur http://brussolo.serge.pagesperso-orange.fr/

bibliographie
http://www.livredepoche.com/catalogue/resultat-de-recherche.php?typeAffichage=LivreDuMemeAuteur


Détails sur le produitpresque impossible de me souvenir ce ceux que j'ai déjà lu... le dernier étant  Agence 13 : Dortoir interdit 
***

La mythologie nordique est constituée des croyances provenant de la religion pratiquée autrefois dans une grande partie de l'Europe du Nord et centrale de peuplement essentiellement germanique. Les divinités du panthéon nordique sont, comme dans beaucoup d'autres mythologies, des représentations anthropomorphes des forces qui régissent l'univers. Aujourd'hui cette mythologie est surtout associée aux Vikings qui ont exporté leurs mythes au delà de la Scandinavie, on parle alors aussi de mythologie Viking.
Après la christianisation des peuples germains et scandinaves, seules quelques sources tardives d'origines essentiellement islandaises, notamment les Eddas, témoignent de ces croyances anciennes et constituent la majorité de nos connaissances sur ce sujet. Longtemps oubliée, cette mythologie a été redécouverte dès le xviiie siècle avec le courant romantique en Europe. Si ces sources demeurent contestées, elles mettent en lumière un univers très riche et vaste sur les croyances nordiques anciennes.
en attente de lecture...
Les Sagas islandaises en prose, qui datent pour la plupart du XIIIe siècle, se situent aux frontières de l'histoire et de la légende. Elles rapportent dans un style laconique, avec un humour noir et froid, les exploits des colonisateurs de l'Islande et de leurs descendants. Sans lyrisme aucun, oscillant entre la banalité du quotidien et la démesure de l'exceptionnel, les auteurs, presque tous anonymes, ont su traduire une grandiose conception de la condition humaine : véritables artisans de leur destin, les personnages préservent, par la vengeance, la réputation qui les sauvera de l'oubli et les fera triompher de la mort.



Ce volume contient : 


Saga d'Egill, fils de Grímr le Chauve ; Saga de Snorri le Godi ; Sagas du Vínland ; Saga des gens du Val-au-Saumon ; Saga de Gísli Súrsson ; Saga des frères jurés ; Saga de Hávardr de l'Ísafjördr ; Saga de Grettir ; Saga des chefs de Val-au-Lac ; Saga de Glúmr le Meurtrier ; Saga des gens du Svarfadardalr ; Saga de Hrafnkell Godi-de-Freyr ; Saga de Njáll le Brûlé

curiosité de lectrice


Un Viking (vieux norrois víkingr, pluriel víkingar) est un explorateur, commerçant et/ou pillard scandinave au cours d’une période s’étendant du viiie au xie siècle1.
Issus des peuples nordiques, les Vikings furent considérés au début du Moyen Âge comme des pillards à cause de la violence de leurs raids. Mais ils furent aussi de grands marins, marchands et guerriers : des îles Féroé, de l'Islande, du Groenland, de l'exploration du Vinland jusqu'en Orient... Ils fondèrent des Etats nouveaux et originaux en Normandie, en Sicile et en Russie2. L'âge viking prit fin à la suite de l'affirmation en Scandinavie de pouvoirs monarchiques centralisateurs et à leurs conversions au christianisme.
Au sens large, le terme « viking » désigne parfois l’ensemble des Scandinaves de la période caractérisée par le phénomène viking. Les peuples en contact avec les Vikings leur ont donné différents noms : Normands pour lesFrancsDanois pour les AnglaisRus pour les Slaves, les Arabes et les Byzantins. Ils étaient parfois aussi qualifiés de « païens » ou d’« étrangers »4Varègue est le nom donné aux Vikings exerçant sur la route de l’Est (En Russie).
Ils envahirent et finalement s’établirent sur des terres éloignées de leurs pays (voir chapitre Causes hypothétiques du phénomène ci-dessous). Leurs expéditions audacieuses, les strandhögg, par voie terrestre ou maritime, ont eu un impact sur l’histoire de l’Europe et de la proche Asie. Profitant de leur inactivité liée aux longs hivers scandinaves et de la faiblesse du système de défense côtier, ils établirent de nombreux « comptoirs », nommés « vicus » par les peuples latins, notamment sur les côtes de la Manche et de la mer du Nord ou en Russie, du viiie au xie siècle. Bien qu’ils se soient également installés aussi bien en Irlande, où ils ont fondé la plupart des villes (sauf Dublin), qu’en Grande-Bretagne (cf. Royaume viking d'York), c’est en Normandie et en Russie que leur entreprise a le mieux réussi, puisqu'ils sont à l'origine de puissants États. Navigateurs hors pair, les Vikings furent d’abord des commerçants au long cours.
Leurs bateaux, avec un faible tirant d’eau (parfois augmenté par un lest de pierres) et une proue relevée, naviguaient aussi bien à la voile qu’à la rame. Le terme utilisé en français est drakkar, dérivé du mot drekar qui signifie « dragons » et désigne originellement les figures de proues ; ce terme fut créé en 1839 par Auguste Jal (1795-1873), alors officier français attaché au ministère de la Marine sous la monarchie de Juillet ; il s’agit d’un barbarismesans doute pour marquer les esprits ; les norvégiens actuels utilisent le terme de « langskip ». Embarqués à bord, les Vikings menaient des raids d’une redoutable efficacité, remontant à l’intérieur des terres par les fleuves ou grâce à des chevaux volés.
Comme le snekkar, le drakkar est un bateau viking scandinave du Moyen Âge utilisé pour la conquête et le commerce. Aussi, il transportait des guerriers ou des marchandises.
Une des premières caractéristiques du bateau viking est d'être quasiment symétrique entre l'avant et l'arrière qui se répondent de part et d'autre du mât, ce qui lui permet de pouvoir se déplacer indifféremment en avant et en arrière de la même manière (amphidrome)1.
Sa quille tient en un seul tenant, ce qui requiert de très grands arbres. Il dispose également d'un gouvernail constitué par une sorte d'aviron court à très large pelle, fixé par des attaches de cuir à tribord arrière (tribord vient du norrois styr bord, côté du gouvernail). Son fond plat et son faible tirant d'eau lui permettaient également de naviguer par petits fonds et de s'échouer directement sur une plage lors d'un raid. La coque était constituée de planches superposées (construction à clins) qui diminuaient son enfoncement quand il était à pleine charge. Il possède un grand mât facile à dresser et à abattre qui supporte une voile rectangulaire qui lui permet de remonter au vent2.
Les premières embarcations vikings furent construites dans des pièces de bois uniques taillées dans des troncs d'arbre (monoxyle) à la manière des pirogues. Les bateaux étaient réalisés à la hache, en suivant l'orientation des fibres du bois de façon à obtenir des planches courbées et solides à l'avant et à l'arrière. S'ils présentent de nombreuses similitudes (notamment méthode de construction à clins, quille allongée, voile...), il existe différents types.
Les barquesbátr, de petite taille, étaient montées à clins, elle avançaient à la voile et à l'aviron, avec jusqu'à quatre bancs de nage de 10 ou 12 nageurs (ancien terme maritime qui signifie rameur). Elles étaient encore utilisées au xixe siècle en Norvège3.
Parmi les bateaux marchands, on compte la skúta (petit navire de brasse), le eptirbátr (canot), le karfi dont le représentant le plus connu est le Gokstad, et le knørrdestiné au grand large.
Les bateaux de guerre ou herskip se divisent en snekkar à vingt bancs de nage et la skeið qui tenait le rôle de navire de ligne. les étraves de ces bateaux sont souvent en forme de dragon car les vikings pensaient que cela les protègeait des tempêtes.

Le mot Drakkar vient du mot viking Dreki qui signifie Dragon.
Le nom de « drakkar » sous lequel sont communément connus les navires vikings, quels qu’ils soient, est un terme apparu en 1840, inspiré du terme suédois drakar, pluriel de drake (dragon), lui-même apparenté à l'ancien nordique dreki4. L'historien François Neveuxprécise que « dans l'espace viking, [le terme de dreki] sert d'abord à désigner les figures sculptées à la proue et à la poupe des navires, qui représentaient souvent des dragons »5.
L'archéologue naval Ole Crumlin-Pedersen qui a fouillé les épaves de Skudelev, dans le Golfe de Roskilde au Danemark en 1962, a établi une typologie qui fait l'unanimité.
Pour clarifier, il existe deux familles principales de navires. Les langskip qui sont des navires de guerre et les kaupskip qui sont des navires de commerce5.
Les langskip ont pour point commun d'être pontés et d'avoir un important équipage de rameurs. Ils n'ont pas de place pour le stockage des marchandises. Ils se déplacent indifféremment à la voile ou à l'aviron. Ce sont des transports de troupes capables de remonter les rivières. Selon leur taille, ils portent différents noms : karv, snekja, dreki...
Les kaupskip sont des navires de commerce, ils se déplacent à la voile et disposent d'un équipage réduit. Capables de naviguer en haute mer, ils ne sont pas pontés. Leur cale est dite ouverte. Le navire de ce type découvert à Skudelev avait une capacité de charge de 16 tonnes. Depuis, des épaves de plusieurs autres navires de commerce ont été découvertes. Selon leur taille, on les nomme byrding ou knörr.
Il existe également de bateaux de pêche ou caboteurs que l'on nomme ferja, mot qui a donné notre ferry.
Les navires qui rejoignaient l'Islande étaient principalement des navires de commerce conçus pour la haute mer, c'est-à-dire des knörr. Les navires trouvés dans les tombes royales sont, selon Ole Crumlin-Pedersen, des karv. Ces navires de guerre ont la particularité d'être plus larges que les navires classiques. Cela se justifie par la nécessité de pouvoir embarquer le roi, son trésor et/ou sa hird, sa garde rapprochée. Il s'agit de navires de prestige.
Les premières découvertes de navires vikings à Gokstad en 1880 et à Oseberg en 1904 ont amené les archéologues à la conclusion que les Vikings étaient des « commerçants de produits de luxe ». En effet, ces deux navires pontés qui avaient des équipages nombreux, laissaient très peu de place pour embarquer des marchandises. Or, comme il était de notoriété publique que les Vikings étaient avant tout des commerçants, les archéologues sont arrivés à la conclusion qu'avec des navires aussi mal conçus, les commerçants étaient obligés d'embarquer des marchandises peu encombrantes, mais à forte valeur ajoutée pour rentabiliser leur voyage. Donc, des marchandises de luxe. Depuis les fouilles de 1962, nous avons la preuve qu'à côté des bateaux guerriers, les vikings disposaient de bateaux de charge capables d'embarquer des cargaisons de plusieurs tonnes.


Les Vikings avaient de nombreux dieux, et ils en ont longtemps conservé trois : Odin, le dieu le plus puissant, dieu de la magie et de la victoire, il surveillait les autres dieux et les hommes, grâce à ses deux corbeaux parcourant le monde. 

Il y avait aussi Frigg, l'épouse d'Odin, elle était la déesse de l'amour.

 Et Thor, le dieu du tonnerre, il protégeait les hommes contre les géants, le froid et le feu.

 Tous les dieux habitaient Asgard, une haute montagne au centre de l'Univers. Au sommet d'Asgard, se trouve "Walhalla". C'est là que les walkyries conduisaient les Vikings morts au combat. A certains moments de l'année, les Vikings célèbraient leurs dieux, avec de long cortèges, des festins et sacrifices d'animaux.
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