challenge de l'été... spécial thriller...
160 pages
Qui donc est l'homme dont le corps vient d'être retrouvé parmi les vestiges du Casino de la Jetée-Promenade de Nice après un séjour de trois semaines dans la mer Méditerranée ? Comment découvrir son identité et dérouler le fil de sa destinée alors que nul n'a signalé sa disparition et qu'il ne porte comme signe distinctif qu'une montre au poignet ?
Le commissaire Jean Levigan, qui a le goût des belles lettres et des jolies choses, est chargé de l'affaire. Tel un horloger qui démonte et remonte un mécanisme complexe, il arpentera les méandres de l'âme humaine afin d'en mettre à jour les rouages secrets. C'est ainsi qu'il lira, à travers les silences, le nom et l'histoire du mystérieux inconnu et qu'il démasquera bientôt le meurtrier.
*
blog de l'auteur : http://carinemarret.webs.com/rendezvous.htm
lecture en partenariat :
Un polar du terroir, si l'on peut dire, qui se passe à Nice et nous fait découvrir quelques aspects de la ville, autour de la jetée. Rien de vraiment noir dans ce polar. Un meurtre bien sûr, mais rien de sanguinolent.
Un homme est retrouvé noyé sur un chantier de fouilles marine. Seule piste, un chien en cristal dans sa poche et un montre de luxe au poignet. C'est sur ses bases que le commissaire Jean Levigan va devoir enquêter.
Il est beaucoup question de temps dans ce roman, et pas seulement à cause de la montre de la victime... Le commissaire est un homme solitaire, qui vit avec ses deux rats (Tempus et Fugit), en attendant une femme, Laura... un homme attentif au moindre détail... rien ne lui échappe... pas même le bout d'une oreille de chien en cristal brisée.
Assez différent de mes lectures habituelles, je pense que c'est un livre que l'on peut offrir facilement aussi bien à un adulte qu'un jeune adolescent. Une lecture plutôt agréable.
note :
« FUGIT IRREPARABLE TEMPUS »
Le temps s'enfuit, perdu pour toujours.curiosité de lectrice
Breguet est une marque de montres française, aujourd'hui basée en suisse fondée par Abraham Breguet à Paris en 1775.
Appréciées du roi Louis XVI et de la reine Marie-Antoinette, les montres de Breguet possèdent des mouvements originaux et des échappements à ancre ou à cylindre, sans cesse perfectionnés.
Replié en Suisse aux heures sombres de la Révolution, A.-L. Breguet revient dans sa ville d’élection avec un foisonnement d’inventions parmi lesquelles : le spiral Breguet, la première pendulette de voyage, vendue à Bonaparte, la « pendule sympathique », la montre à tact, le tourbillon enfin, qui sera breveté en 1801.- 1747 : naissance d'Abraham-Louis Breguet
- 1775 : Abraham Breguet s'installe à Paris
- 1780 : lancement des premières montres automatiques dites « perpétuelles »
- 1783 : invention du ressort timbre pour les montres à répétitions
- 1789 : invention de la clé à criquet (clé Breguet)
- 1790 : invention du pare-chute
- 1795 : le calendrier perpétuel
- 1801 : le régulateur à tourbillon
- 1810-1812 : 1re montre bracelet commandée par la reine de Naples
- 1815 : chronomètre de marine à double barillet
- 1823 : décès d'Abraham Breguet
- 1830 : 1re montre à remontoir sans clé
- 1976 : transfert des ateliers Breguet à la vallée de Joux
- 1999 : le Swatch Group acquiert Breguet
Propriétaires de fiction :
- Stephen Maturin dans les romans de Patrick O'Brian.
- Baron Danglars dans Le Comte de Monte-Cristo d'Alexandre Dumas
- Phileas Fogg dans Le Tour du monde en quatre-vingts jours de Jules Verne
- Eugène Onéguine dans Eugène Onéguine d'Alexandre Pouchkine
source : wikipédia et http://www.breguet.com/fr/Breguet-et-la-litterature2
Nice est une ville du sud-est de la France, préfecture du département des Alpes-Maritimes et deuxième ville de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur derrière Marseille. Située à l'extrémité sud-est de la France, à une trentaine de kilomètres de la frontière italienne, elle est établie sur les bords de la mer Méditerranée, le long de la baie des Anges et à l'embouchure du Paillon.
Il existe plusieurs hypothèses concernant l'origine du nom de la ville. Certains font remonter le nom de « Nikaïa » à un toponyme étrusco-italique11. L'autre hypothèse privilégie l'idée d'une origine grecque. Le nom de « Nikaïa » est en effet très courant dans le monde grec11. Il signifie « la Victorieuse »12. Le nom se transforme ensuite en Nicaea en latin. La ville s'appelle aujourd'hui Nice en français, Nizza en italien, Nissa en niçois. Lorsque la ville appartenait au royaume de Piémont-Sardaigne, elle était nommée Nizza Marittima pour la différencier de Nizza Monferrato.
1924 Raoul Duffy : la jetée et la promenade à Nice
Le 4 avril 1883 à 17 h 30. Une énorme fumée s'élève au dessus de la Jetée, une heure suffit à réduire la Jetée à un amas de poutrelles tordues.
Seules la passerelle et les installations d'accès pourront être sauvées par les pompiers.Un témoin de scène se trouvant devant l'hôtel de Rome (à l'est des jardins Masséna) : "5 h 33, légère fumée au dessus du théâtre ... 5 h 52, la coupole du théâtre s'écroule dans un fracas épouvantable ..".Il n'y eue aucune victime, car la Jetée était fermée au public jusqu'au 8 avril, date prévue pour son inauguration.L'enquête ne permit jamais de savoir les causes exactes de l'incendie.Ainsi, mourut le premier Palais..
En 1942, malgré un sursis et quelques tentatives de "soirées", la jetée ferme définitivement le 20 décembre 1942.
La Jetée fut d'abord mi 1943 dépouillée de ses cuivres, de ses bronzes, de ses laitons, de ses cablages électrique et tout objets non ferreux. Malgrès les protestations du Président du Conseil d'Administration, Jacques Fastout.
Après le départ des Italiens. Les Allemands en janvier 1944, décident de démolir la Jetée pour récupérer le métal qui la constituait.
Le 20 novembre 1946, l'Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées, par arrêté prétectoral : "retire à la Nouvelle Jetée Promenade de Nice l'autorisation d'occupation du Domaine Public Maritime accordée le 31 mars 1879 ... La Société devra remettre les lieux dans leurs états primitifs".
La Société en appelle au Conseil d'Etat, mais en mais 1947, elle doit se résoudre faire disparaitre les vestiges. Le 13 juillet 1951, le Conseil d'Etat déclare valable la décision de retrait du 20 novembre 1946, le Palais de la Jetée Promenade est définitivement mort.
La Jetée fut d'abord mi 1943 dépouillée de ses cuivres, de ses bronzes, de ses laitons, de ses cablages électrique et tout objets non ferreux. Malgrès les protestations du Président du Conseil d'Administration, Jacques Fastout.
Après le départ des Italiens. Les Allemands en janvier 1944, décident de démolir la Jetée pour récupérer le métal qui la constituait.
Le 20 novembre 1946, l'Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées, par arrêté prétectoral : "retire à la Nouvelle Jetée Promenade de Nice l'autorisation d'occupation du Domaine Public Maritime accordée le 31 mars 1879 ... La Société devra remettre les lieux dans leurs états primitifs".
La Société en appelle au Conseil d'Etat, mais en mais 1947, elle doit se résoudre faire disparaitre les vestiges. Le 13 juillet 1951, le Conseil d'Etat déclare valable la décision de retrait du 20 novembre 1946, le Palais de la Jetée Promenade est définitivement mort.
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