Le Défilé du serpent de Bram Stoker,
292 pages - (24 février 2011)
.Arthur Severn, jeune Anglais qui vient d hériter de la fortune de sa tante, découvre le Connemara, s'éprend de Norah Joyce, dont le père est honteusement spolié par Murtagh Murdock, l odieux « Gombeen Man », usurier rural détesté par toute la communauté paysanne. Il aide son ami Dick Sutherland, géologue, à sonder la « tourbière mouvante » qui, à en croire des récits divers, serait à la fois le repaire ultime du Roi des Serpents (St Patrick n ayant pas réussi à le chasser d Irlande) et le lieu où est enfoui le célèbre trésor caché par les Français en 1798.
L ouest de l Irlande, balayé par les pluies et les tempêtes est le cadre naturel grandiose d une histoire d amour, de cupidité et de dépossession : la « tourbière mouvante » est le lieu inattendu, insolite et dangereux, d une exploration à la fois historique, scientifique et fantastique. Shleenanaher ( le Défilé du Serpent ) exerce une étrange fascination sur tous ceux qui l approchent, qu il s agisse des autochtones ou d Arthur Severn, « l étranger ». L évocation d une nature à la fois sublime et tourmentée est le prélude et l accompagnement d une aventure intérieure qui verra Arthur renaître à « une vie nouvelle et plus réelle ».
Rêves et cauchemars empruntés à la tradition « gothique » ajoutent leur opacité aux mystères de la légende et de l histoire. Par le biais de l imaginaire collectif et individuel, l étrange tisse ses sortilèges dans une chronique irlandaise apparemment réaliste. On peut jusqu au bout douter de l issue d un combat, parfois d une rare violence, qui mêle les convulsions de la terre et les turbulences de l âme.
L ouest de l Irlande, balayé par les pluies et les tempêtes est le cadre naturel grandiose d une histoire d amour, de cupidité et de dépossession : la « tourbière mouvante » est le lieu inattendu, insolite et dangereux, d une exploration à la fois historique, scientifique et fantastique. Shleenanaher ( le Défilé du Serpent ) exerce une étrange fascination sur tous ceux qui l approchent, qu il s agisse des autochtones ou d Arthur Severn, « l étranger ». L évocation d une nature à la fois sublime et tourmentée est le prélude et l accompagnement d une aventure intérieure qui verra Arthur renaître à « une vie nouvelle et plus réelle ».
Rêves et cauchemars empruntés à la tradition « gothique » ajoutent leur opacité aux mystères de la légende et de l histoire. Par le biais de l imaginaire collectif et individuel, l étrange tisse ses sortilèges dans une chronique irlandaise apparemment réaliste. On peut jusqu au bout douter de l issue d un combat, parfois d une rare violence, qui mêle les convulsions de la terre et les turbulences de l âme.
Editeur : Terre de Brume (24 février 2011)Collection : Terres mystérieuses
http://www.terredebrume.com/Litterature-policiere/Terres-mysterieuses/ISBn-978-2-84362-443-8-Le-Defile-du-Serpent.html
.Abraham Bram Stoker, dit Bram Stoker, (Dublin, 8 novembre 1847 - Londres, 21 avril 1912) est un écrivain irlandais, auteur de nombreux romans et de nouvelles, qui a connu la célébrité grâce à son ouvrage intitulé Dracula.
.Abraham Bram Stoker, dit Bram Stoker, (Dublin, 8 novembre 1847 - Londres, 21 avril 1912) est un écrivain irlandais, auteur de nombreux romans et de nouvelles, qui a connu la célébrité grâce à son ouvrage intitulé Dracula.
Son père était Abraham Stoker (1799-1876) et sa mère la féministe Charlotte Mathilda Blake Thornely (1818-1901). Bram était le troisième de leurs sept enfants. Enfant maladif jusqu'à l'âge de huit ans, il écoute lors de sa longue convalescence les légendes irlandaises surnaturelles racontées par sa mère. Ces récits le marqueront toute sa vie.
En 1863, il intègre le Trinity College de Dublin pour suivre les traces de son père : il obtient son diplôme en 1870.
En 1867, il rencontre le monde du théâtre et écrit pour un journal. Ces articles signés, écrits en marge de sa profession de fonctionnaire, lui valent de fréquenter la société culturelle londonienne.
En 1875, il publie son premier roman The Chain. Il se lie d'amitié avec Henry Irving, un acteur influent. Cette amitié les mène au Lyceum Theatre de Londres, duquel Bram est nommé administrateur. Il prend alors sa place dans la société culturelle britannique.
En 1911, il publie The Lair of the White Worm, qui connait un succès considérable mais bien moins important que celui deDracula.
Bram Stoker, en créant le personnage littéraire de Dracula, suit la lignée des auteurs dits gothiques, tels que Mary Shelley et Sheridan Le Fanu. Toutefois son œuvre s'inscrit dans un style néogothique, qui regroupe des œuvres contemporaines des siennes telles que L'Étrange Cas du Dr Jekyll et de Mr Hyde (1886) de Robert Louis Stevenson ou Le Portrait de Dorian Gray (1890) d'Oscar Wilde. Dracula est cependant le seul à respecter rigoureusement les codes du genre gothique et à s'en affranchir. Dracula est également marqué par le contexte historique avec la fin de l'époque victorienne qui voit sa dignité et sa prestance ébranlées. Les meurtres des prostituées commis par Jack l'éventreur s'inscrivent également dans un climat de terreur et de tabous de la Grande-Bretagne de la fin du xixe siècle. Ce contexte s'avère donc propice à la remise en question des codes établis par la littérature. En ce sens, Stoker peut être considéré comme un écrivain moderne.
..mon commentaire : début de lecture 09/04/11 - fin de lecture 12/04/2011... achat compulsif...
petite historiette d'amour entre un riche et jeune gentleman et une jolie, jeune et pauvre paysanne... avec un bien méchant... à la recherche d'un trésor... assez mièvre...
donc, rien à voir avec le cher Dracula... ne vaut pas les 20,00 euros dépensés...
...bon pour être échangé chez mon bouquiniste
mon appéciation : moyen
challenges :
..http://www.babelio.com/forum/viewtopic.php?t=1824
....Les premiers occupants de l'Irlande sont arrivés sur l'île environ au VIIIe millénaire av. J.C. Ensuite, ces populations mégalithiques développent l'agriculture et l'élevage. Auvie siècle av. J.-C., les Celtes imposent la civilisation laténienne. C'est une société organisée en clans. Le gaélique inspire les premiers poètes, qui composent des chants et des légendes qui constituent un patrimoine autochtone.
..Le Connemara en anglais, ou Conamara en irlandais, est une région située dans l’ouest de l'Irlande dans le Comté de Galway, à l'ouest de la province de Connacht. Son nom provient de l'irlandais Conmaicne Mara, qui signifie littéralement « descendants de Con Mhac de la mer ». LesConmaicne Mara sont en effet une branche d’une ancienne tribu irlandaise issue de Connacht et localisée sur la côte atlantique. Con Mhac, « fils du chien », d'après la mythologie irlandaise, est le fils d'une reine de Connacht.
knocknacarra
.La mythologie celtique est constitutive de la religion des Celtes de la Protohistoire/Antiquité. Nos connaissances sont lacunaires puisque les sources dont nous disposons sont gauloises, plus précisément gallo-romaines, galloises et irlandaises, alors que la civilisation celtique a concerné une grande partie de l’Europe. Elle est protéiforme puisque le nombre des dieux véritablement panceltiques est restreint et que les évènements mythiques diffèrent. Il y a cependant des correspondances entre les divinités des différentes zones géographiques, des équivalences dans les mythes et l’omniprésence des druides, tant en Gaule que dans les îles Britanniques.
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.La littérature irlandaise est étonnamment prolifique. Pour un pays relativement petit, l’Irlande a fait une contribution disproportionnée au monde littéraire dans tous ses domaines. Les œuvres les plus connues en dehors du pays sont de langue anglaise ; les œuvres en irlandais continuent à constituer une partie de la littérature produite, même si l'ampleur de la littérature écrite en irlandais eût été radicalement réduite depuis le xviie siècle. En sus de la tradition écrite, l'Irlande garde jusqu'à aujourd'hui une forte tradition orale de légendes et poésies celtiques, tous en irlandais.
..Le Connemara en anglais, ou Conamara en irlandais, est une région située dans l’ouest de l'Irlande dans le Comté de Galway, à l'ouest de la province de Connacht. Son nom provient de l'irlandais Conmaicne Mara, qui signifie littéralement « descendants de Con Mhac de la mer ». LesConmaicne Mara sont en effet une branche d’une ancienne tribu irlandaise issue de Connacht et localisée sur la côte atlantique. Con Mhac, « fils du chien », d'après la mythologie irlandaise, est le fils d'une reine de Connacht.
Par extension, le terme Connemara est communément utilisé pour décrire :
- tout ce qui se trouve à l’ouest du Lough Corrib ;
- les zones de l'Ouest du Comté de Galway où la langue irlandaise, le gaélique, est encore parlée.
Pour résumer, le Connemara se compose des paroisses de Carna, Clifden, Ballynakill, Roundstone et Inishbofin.
La côte du Connemara est un ensemble de plusieurs péninsules. La péninsule de Iorras Ainbhtheach dans le Sud est la plus importante. On y trouve les villages de Carna et Kilkieran. La péninsule d’Errismore se trouve à l’ouest du village de Ballyconeely. Les péninsules d’Aughris, Cleggan et Renvyle se trouvent dans le nord ouest du Connemara.
Un très grand nombre d’îles se trouvent au large du Connemara (Omey, Inishark, High Island, Friars Island, Feenish et Mweenish Island). La plus importante est celle d’Inishbofin.
La principale ville du Connemara est Clifden.
knocknacarra
.La mythologie celtique est constitutive de la religion des Celtes de la Protohistoire/Antiquité. Nos connaissances sont lacunaires puisque les sources dont nous disposons sont gauloises, plus précisément gallo-romaines, galloises et irlandaises, alors que la civilisation celtique a concerné une grande partie de l’Europe. Elle est protéiforme puisque le nombre des dieux véritablement panceltiques est restreint et que les évènements mythiques diffèrent. Il y a cependant des correspondances entre les divinités des différentes zones géographiques, des équivalences dans les mythes et l’omniprésence des druides, tant en Gaule que dans les îles Britanniques.
Des éléments importants de la mythologie celtique ont été repris dans la « matière de Bretagne », notamment dans le cycle arthurien.
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.La littérature irlandaise est étonnamment prolifique. Pour un pays relativement petit, l’Irlande a fait une contribution disproportionnée au monde littéraire dans tous ses domaines. Les œuvres les plus connues en dehors du pays sont de langue anglaise ; les œuvres en irlandais continuent à constituer une partie de la littérature produite, même si l'ampleur de la littérature écrite en irlandais eût été radicalement réduite depuis le xviie siècle. En sus de la tradition écrite, l'Irlande garde jusqu'à aujourd'hui une forte tradition orale de légendes et poésies celtiques, tous en irlandais.
Le maintien de la langue irlandaise a permis de donner une place spéciale à la littérature irlandaise en anglais à côté des contributions d’autres pays à la littérature anglaise. On dit souvent que les écrivains irlandais, ceux qui écrivirent en anglais, le faisaient d'une manière singulière ; leur spécificité se montrant par une sorte d’émerveillement face à la nature hérité des plus anciennes traditions, un style narratif qui était souvent délibérément exagéré ou absurde et un sens aigu du pouvoir de la satire. De plus, les deux langues ont donné naissance à un dialecte anglais (l'« hiberno-irish ») ayant une syntaxe distincte et surtout une musicalité particulière. voir Cycle d'Ulster
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.en savoir plus : http://bramstoker.org/bibliographie :
Oeuvres : Dracula ; Le Joyau des sept étoiles ; La Dame du linceul ; Le repaire du ver blanc ; Au-delà du Crépuscule ; L…
Curiosité de lectrice...
Oeuvres : Dracula ; Le Joyau des sept étoiles ; La Dame du linceul ; Le repaire du ver blanc ; Au-delà du Crépuscule ; L…
Curiosité de lectrice...
Une tourbière est une zone humide caractérisée par l'accumulation progressive de la tourbe, un sol caractérisé par sa très forte teneur en matière organique, peu ou pas décomposée, d'origine végétale. C'est un écosystèmeparticulier et fragile dont les caractéristiques en font, malgré des émissions de méthane, un puits de carbone, car il y a plus de synthèse de matière organique que de dégradation. Il faut noter toutefois qu'à quantité égale, le méthane contribue nettement plus à l'effet de serre que le CO2.
15 à 30 % du carbone stocké dans les sols le seraient dans les tourbières (250 à 460 pg dans les tourbières contre 2300 pg dans les autres sols) et si les tourbières émettent aussi du méthane (20 à 40 % des émissions totales, et 70 à 90 % du total des émissions naturelles), elles constituent néanmoins un des puits naturels de carbone les plus importants pour les milieux émergés de la planète (sur une petite surface, elles absorbent environ 1 % de toutes les émissions de carbone fossile, 0.07 pour 8.2 Pg émis et absorbé par la biomasse). Une perte supplémentaire de 1 % du stock de carbone tourbeux équivaudrait à 30 à 60 % des émissions annuelles de carbone fossile. Les émissions ou échanges d'oxyde nitreux y sont limités.
La majorité des tourbières sont situées dans les zones de moyenne et haute montagne, près des sources des grands fleuves et rivières. On dit qu'elles sont en « tête de bassin versant ». Comme les autres types de zones humides, elles ont un rôle important dans le cycle de l'eau :
- rétention de l'eau : les tourbières jouent un rôle de régulation des flux hydriques, en retenant l'eau pendant une période plus ou moins longue avant de la restituer au milieu. Cela est notamment dû aux caractéristiques des sphaignes, qui se comportent comme de véritables éponges. En régulant le débit de l'eau, les tourbières permettent d'adoucir les phénomènes de crue. Et en restituant progressivement l'eau au milieu, les tourbières maintiennent un débit d'eau minimal dans les cours d'eau en été (on parle de soutien des débits d'étiage) ;
- filtrage et assainissement de l'eau : les végétaux qui croissent en tourbière permettent de purifier l'eau qui la traverse, en utilisant pour leur croissance les matières minérales et organiques en excès, et permettent ainsi un assainissement de l'eau. Mais attention : un apport trop important de matières minérales déstabilise le fonctionnement même de la tourbière, en accélérant la dégradation de la matière organique morte, à l'origine même de la formation de tourbe. Passé un certain seuil, la matière organique stockée dans la tourbe est minéralisée, la végétation en surface est modifiée, les sphaignes disparaissent et la tourbière devient inactive.
revue de presse : flemme !
************** innoubliable, coup de coeur
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