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mercredi 13 avril 2011

Alexandre Dumas - La Dame pâle

La Dame pâle de Alexandre Dumas 
101 pages
.Au cœur des Carpathes dans le sombre château de Brankovan, les princes Grégoriska et Kostaki s'affrontent pour conquérir la belle Hedwige. Or Kostaki est un vampire qui revient chaque nuit assouvir sa soif de sang auprès de la jeune femme devenue l'objet d'une lutte sans merci entre les deux frères. Une étrange histoire pleine de romantisme et de fantastique où l'angoisse le dispute au romanesque...

 Editeur : Editions Gallimard (11 mai 2006) folio 2€

..Dumas naît le 24 juillet 1802 rue de Lormet à Villers-Cotterêts de l'union de Thomas Alexandre Davy de la Pailleterie, général d'armée ayant fait une brillante carrière pendant la Révolution française, et Marie Labouret, fille de Claude Labouret, aubergiste à l'Écu d'or à Villers-Cotterêts1.

« Je suis lié à Villers-Cotterets, petite ville du département de l'Aisne, située sur la route de Paris à Laon, à deux cents pas de la rue de la Noue, où mourut Demoustiers, à deux lieues de la Ferté-Milon, où naquit Racine, et à sept lieues de Château-Thierry, où naquit la Fontaine.2 »
L'enfant a pour marraine sa sœur, Aimée-Alexandrine Dumas (son ainée de neuf ans) et pour parrain le maréchal d'Empire Guillaume Brune3.
Entre 1804 et 1806, c’est au château des Fossés, loué par son père, qu’Alexandre Dumas a fixé ses tout premiers souvenirs : « Du plus loin qu’il me souvienne, c’est-à-dire de l’âge de trois ans, nous habitions, mon père, ma mère et moi, un petit château nommé les Fossés, situé sur les limites des départements de l’Aisne et de l’Oise, entre Haramont et Longpré. On appelait ce petit château les Fossés, sans doute parce qu’il était entouré d’immenses fossés remplis d’eau.4 ».
...
En septembre 1870, après un accident vasculaire qui le laisse à demi paralysé, Dumas s'installe dans la villa de son fils à Puys, quartier balnéaire de Dieppe. Il y meurt le 5 décembre 1870. Sa dépouille est transférée auPanthéon de Paris le 30 novembre 2002, à l'occasion du bicentenaire de sa naissance22.

..mon commentaire : début de lecture 12/04/11 - 12/04/11 fin de   lecture... 

mon appéciation : très courte nouvelle... plaisante et romantique... se laisse lire avec plaisir, pas grand chose à en dire de plus
 note :  bien


challenges et  curiosité de lectrice :

..http://www.babelio.com/forum/viewtopic.php?t=1824
..Roumanie les Carpathes constituent la partie orientale de l'ensemble montagneux situé au centre de l'Europe qui comprend également une partie occidentale, les Alpes, dont elles partagent les mêmes origines tectoniques et géologiques. Les Carpates s'étendent sur les territoires de l'Autriche, de la Slovaquie, de la Pologne, de la République tchèque, de laHongrie, de l'Ukraine, de la Roumanie et de la Serbie1.

Principale chaîne de montagnes de l'Europe centrale, les Carpates culminent à 2 655 m au mont Gerlachovský en Slovaquie1, à 2 544 m au mont Moldoveanu en Roumanie et à 2 499 m au Mont Rysy en Pologne.

....http://lacavernedankya.canalblog.com/archives/2010/11/23/19685142.html
.Le vampire est une créature mort-vivante qui, suivant différents folklores et selon la superstition populaire, se nourrit du sang des vivants afin d'en tirer sa force vitale. La légende du vampire puise ses origines dans des traditions mythologiques anciennes et diverses, et se retrouve dans toutes sortes de cultures à travers le monde.

Le personnage du vampire fut popularisé en Europe au début du xviiie siècle, plus précisément en Europe orientale, dans les Balkans. C'est en Serbie, vers 1725, que le mot « vampire » fait son apparition suite à un cas supposé, celui d'Arnold Paole. Selon les traditions locales, les vampires sont dépeints comme des revenants en linceul qui, visitant leurs aimées ou leurs proches, causent mort et désolation. Michael Ranft écrit un ouvrage, le De masticatione mortuorum in tumulis (1728) dans lequel il examine la croyance dans les vampires. Le revenant y est complètement, et pour la première fois, assimilé à un vampire, puisque Ranft utilise le terme slave de vampyri. Par la suite, le bénédictin lorrainAugustin Calmet décrit, dans son Traité sur les apparitions (1751), le vampire comme un « revenant en corps », le distinguant ainsi des revenants immatériels tels que les fantômesou les esprits.
Diverses explications ont été avancées au fil du temps pour expliquer l'universalité du mythe du vampire, entre autres les phénomènes de décomposition des cadavres, lesenfouissements vivants, des maladies telles que la tuberculose, la rage et la porphyrie, ou encore le vampirisme clinique affectant les tueurs en série qui consomment du sang humain. Des explications scientifiques, psychanalytiques ou encore sociologiques tentent de cerner la raison qui fait que le mythe du vampire a tant perduré à travers les siècles.
Le personnage charismatique et sophistiqué du vampire des fictions modernes est apparu avec la publication en 1819 du livre The Vampyre de John Polidori, dont le héros mort-vivant fut inspiré par Lord Byron, Polidori étant son médecin personnel. Le livre remporta un grand succès mais c'est surtout l'ouvrage de Bram Stoker paru en 1897Dracula, qui reste la quintessence du genre, établissant une image du vampire toujours populaire de nos jours dans les ouvrages de fiction, même s'il est assez éloigné de ses ancêtres folkloriques avec lesquels il ne conserve que peu des spécificités originelles.
Avec le cinéma, le vampire moderne est devenu une figure incontournable, aussi bien dans le domaine de la littérature que de celui des jeux vidéo, des jeux de rôlede l'animation ou encore de la bande dessinée. La croyance en ces créatures perdure et se poursuit aussi bien par le biais du folklore populaire que par celui de sous-cultures, notamment gothiques, qui s'y identifient.

Il est difficile de parler de la Roumanie, sans évoquer la célèbre figure du comte Dracula popularisé par l'écrivain irlandais Bram Stoker et des dizaines d'œuvres de l'industrie cinématographique américaine. Grâce à lui, l'image de la Roumanie est associée aux mythes des vampireset de ce personnage fictif inspiré par le nom et les vies de deux princes de ValachieVlad II le Dragon (Vlad Dracul, membre de l'ordre du Dragon initié par Sigismond de Luxembourg) et son fils Vlad III l'Empaleur (Vlad Ţepeş). Sa légende associe également (sur des critères non-historiques) la ville médiévale de Sighişoara et le château de Bran, qui sont devenus des destinations touristiques importantes, au détriment d'autres richesses plus authentiques comme la tour de Chindia à Târgovişte, moins spectaculaire mais réellement bâtie sous le règne de Vlad Ţepeş... 
en savoir plus : 

bibliographie : 

Le thème du vampire a inspiré les poètes et écrivains depuis 1748, année à laquelle Heinrich Augustin von Ossenfelder écrit un poème intitulé Der Vampyr. En 1797, soit un siècle avant Bram Stoker, l'Allemand Goethe, dans La Fiancée de Corinthe, aborde dans ce long poème narratif, sous forme de métaphore, l'état d'une jeune femme, évoluant entre la vie et la mort et se nourrissant de sang. Le premier texte anglais évoquant la figure du vampire demeure The Vampyre de John Stagg, publié en 1810. Mais c'est surtout le mouvement littéraire de la Gothic novel, initié par Horace Walpole avec Le Château d'Otrante (1764), que l'intérêt pour le vampire envahit la littérature. Le symbolisme sexuel et le personnage de la femme fatale densifient le mythe originel. Cependant, en dépit de cette explosion de romans et nouvelles, trois œuvres ont marqué l'histoire du vampirisme :Le Vampire de John William Polidori (1819), Carmilla de Sheridan Le Fanu (1872) et Dracula de Bram Stoker (1897).

Dans le village de Werst, en Transylvanie, un berger remarque un jour que le château en ruine de Rodolphe de Gortz est à nouveau habité, mais tous ceux qui apprennent la nouvelle sont persuadés que le château est hanté et que ce sont des fantômes qui sont venus l'occuper. Le jeune forestier Nic Deck accompagné du Docteur du village décident d'aller au château mais sont victimes de surprenants phénomènes. C'est à ce moment-là qu'arrive au village le jeune comte Franz de Télek. Il apprend la situation du château et est frappé par le nom de son propriétaire.
Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.
Le narrateur revient quelques années en arrière pour raconter l'histoire d'une cantatrice italienne, la Stilla. À chaque représentation, la jeune femme, fiancée au jeune comte Franz de Télek, sent peser sur elle un regard terrifiant ; il s’agit du baron Rodolphe de Gortz, follement épris d'elle. Or le jour où elle doit se marier elle meurt en scène, comme transpercée par ce regard. Les deux rivaux en conçoivent une haine réciproque, chacun tenant l'autre pour responsable du décès de la Stilla, Rodolphe de Gortz allant jusqu'à écrire au comte pour le maudire. Depuis, Franz de Télek voyage pour oublier sa douleur, ce qui l'a amené au village de Werst, où se trouve le château de son ennemi maudit.
Il décide d'explorer le château. Ayant réussi à y pénétrer, Franz entend et voit la Stilla chanter. Il est fait prisonnier par Rodolphe de Gortz mais réussit à s'échapper et retrouve son rival en compagnie, croit-il, de la Stilla. Mais lorsqu'il se précipite vers elle, Rodolphe de Gortz la poignarde et la cantatrice vole en éclats. Orfanik fait exploser le château et son maitre aussi. En fouillant dans les décombres, on retrouve Franz de Télek rendu fou par l'explosion . L'épilogue de l'histoire élucide le mystère : Orfanik, l'inventeur maudit et excentrique de Rodolphe de Gortz, avait mis au point un système qui permettait à Rodolphe de Gortz de projeter sur un miroir un portrait en pied de la Stilla tout en diffusant sa voix qu'il avait enregistrée sur des rouleaux à l'occasion des dernières représentations de la chanteuse.



source principale : 
************** innoubliable, coup de coeur

 excellent
 très bien
  bien
 moyen
 se laisse lire, sans plus
 bof ! pas génial
 nul 

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